Friday, April 26, 2024

 

 

 

La nécessité de numériser les modes d’exposition du patrimoine pour «le mettre en va- leur et mieux le sauvegarder» a été mise en exergue, dimanche à Constantine, lors du 3 e colloque international «Rencontres du numérique». Les séminaristes réunis au palais Ahmed-Bey à l’initiative de l’université Cons tantine3, du Centre de recherches en anthropologie sociale et culturelle (CRASC) et des universités Paris-8 et Paris-Ouest (France), ont engagé une ré- flexion en vue de mettre en place «les conditions de documentation et de valorisation des patrimoines du Maghreb, en général, et de l’Algérie, en particulier, à l’ère du numérique».

Les travaux de ce colloque scientifique de trois jours, organisés en coordination avec le ministère de la Culture, ont été marqués par la présence d’experts algériens et étrangers venus des universités de Paris (France), de Berne (Suisse), d’Allemagne, du Bénin, du Maroc et de Tunisie. Intervenant lors de la cérémonie d’ouverture de cette rencontre dont la seconde partie est prévue à la faculté d’architecture et d’urbanisme de l’université Constantine-3, Samira Debache, membre du comité scientifique du colloque, a estimé que le patrimoine, en tant que «médium entre le passé et le futur», est «porteur de connaissances pour construire la ville durable et nécessite, donc, d’être situé dans une vision dynamique, en tant que facteur de développement». Pour la directrice du musée public des arts et expressions culturelles traditionnelles, Chadia Khalfallah, «l’inestimable valeur du patrimoine, riche et varié, de la région du Grand Constantine nécessite la mise en place d’une stratégie nationale à même de lui assurer la pérennité afin qu’il soit davantage protégé et sauvegardé». Cette responsable, animant, dans le cadre du colloque, une table ronde sur les expositions de Constantine- 2015, a notamment souligné «l’apport du numérique dans la mise en valeur du patrimoine» et souligné «l’importance de s’inspirer des expériences universelles en rapport avec les moyens numériques, appuyées sur une connaissance historique précise des présentations du patrimoine à travers le temps».

Le colloque annuel «Les rencontres du numérique» dont les deux premières éditions avaient été organisées à Alger, s’appuie sur les expériences menées au Maghreb, en relation avec les réseaux européens et américains, a précisé, de son côté, Bernadette Nadia Saou Dufrêne, de l’université Paris-8, co-organisatrice de ce séminaire. «La mise en perspective historique de l’histoire des expositions au Maghreb», «l’exposition de la mémoire nationale», «l’ex- position des patrimoines», «l’ex- position de l’art moderne et contemporain» et «les dispositifs numériques d’exposition» ont constitué les principaux thèmes de cette rencontre organisée dans le cadre de la manifestation Constantine, capitale 2015 de la culture arabe.

 

 

 


 La maison de la culture Malek Haddad abritera à partir d'aujourd'hui, 1er juin, et pour une semaine durant, le Festival international de la calligraphie arabe avec la participation de plus d'une dizaine de pays arabes et musulmans, selon le directeur de la culture de la wilaya, Djamel Foughali. L'édition de ce festival sera la première du genre dans la ville des ponts, fera-t-il savoir, car de tradition le festival en question se déroulait dans une autre wilaya et c'est sur décision du ministère de tutelle que ce festival aura lieu dans la ville des ponts, à l'occasion de la manifestation « Constantine, capitale de la culture arabe». «L'objectif est d'honorer la ville du vieux rocher qui le mérite bien, dira-t-il, ainsi que pour être en phase avec le grand évènement culturel qui s'y déroule depuis avril dernier».

Les pays qui prendront part à ce festival sont réputés pour être des contrées de grandes traditions dans l'art de la calligraphie, ajoutera-t-il, à l'instar de l'Egypte, de l'Irak, du Liban, de l'Iran en sus des Maghrébins, Tunisie, Maroc et Algérie. Et de poursuivre que le festival comportera plusieurs activités, à savoir des expositions des œuvres des artistes participant à la manifestation, des conférences animées par des spécialistes autour de l'histoire de cet art, dans les différentes régions du monde arabe et musulman, mais également sur ses tendances et évolutions récentes, etc. Et d'indiquer que la cerise sur le gâteau concernera l'organisation d'un concours de calligraphie entre les artistes exposants pour déterminer les trois premiers qui seront bien sûr primés. Et de préciser, dans ce cadre, qu'une commission nationale se chargera de l'opération de sélection et de désignation des lauréats en toute objectivité, même si la chose est difficile lorsqu'il s'agit d'art et qu'une certaine dose de subjectivité subsistera toujours malgré tout.

 

 

 


 Le centre de carrière de l’université des frères Mentouri de Constantine en partenariat avec la direction générale de la sûreté nationale DGSN, ont organisé hier, une journée portes ouvertes sur la police scientifique sous le thème «vous avez des qualifications, nous avons les métiers».

 Une journée dédiée aux étudiants en fin de cycle, des branches scientifiques. Le département des sciences de la nature et de la vie, a accueilli le stand de la police scientifique, qui a connu un engouement de la part des jeunes étudiants voulant connaître les modalités de recrutement. En parallèle, une série de communications a eu lieu à la salle des conférences de la faculté des sciences. «C’est une bonne initiative de ramener la police scientifique a notre rencontre, mais hélas nous ne pourrons pas assister aux conférences toute la journée car nous sommes en plein période d’examens», nous a confié Islem, étudiant en biologie, année de licence.

Des opérations variées, allant de la simple présentation des différents départements : biologie légale, toxicologie légale, et le département de chimie criminalistique et légale, à l’exercice de la médecine légale en police scientifique et les techniques biométriques pour la vérification d’identité, ont été présentées.

Dr. Benlatreche, du laboratoire régional de la police scientifique, a souligné l’importance de la médecine légale, dans la restriction des champs d’investigation et le gain de temps pour la résolution des enquêtes. Le représentant de la DGSN, a expliqué que les portes de la sûreté nationale sont toujours ouvertes aux étudiants algériens, désirant avoir d’avantage d’informations, et qui n’ont pas pu assister à cette journée.  

 


         Est-ce le début d’un plan d’humanisation dans les deux villes nouvelles du Khroub dès lors que les équipements socio-éducatifs doivent procéder ou suivre l’installation de nouvelles familles dans des logements sociaux. Ainsi l’attribution de 3000 logements destinés à l’UV 16 d’Ali Mendjelli a été retardée d’une part pour permettre aux élèves concernés d’achever leur scolarité avant de rejoindre leur nouvelle attribution. D’autre part il a fallu redresser le tir dès lors qu’à l’UV 16 peu de choses avaient été prévues non seulement pour la scolarité des enfants mais aussi pour l’humanisation de cette unité de voisinage. Ainsi après moult sorties du wali le plan d’aménagement sera accéléré de sorte que sur les six écoles primaires quatre ont été réceptionnées et ce afin d’assurer une rentrée scolaire 2015 – 2016 avec moins de 32 élèves par classe. La réalisation d’un centre de santé et surtout d’un marché de proximité donneront enfin un aspect plus humain ou il fera bon de vivre et de prospérer à cette unité de voisinage comme ce fut le cas de l’UV 14.

 

 

 


       Les travaux de réhabilitation du chemin des touristes de Constantine, confiés à la Société algérienne des ponts et travaux d’art (SAPTA), viennent d’être lancés, a-t-on constaté, hier, lors d’une visite d’inspection du wali, Hocine Ouadah. Au cours de cette sortie de terrain consacrée à l’inspection des projets lancés dans le cadre de la manifestation «Constantine capitale de la culture arabe» et de la prochaine rentrée des classes, le wali a précisé que la réhabilitation du chemin des touristes a été «confiée à la SAPTA après désistement de l’entreprise étrangère désignée initialement pour la conduite de ce chantier». Le chef de l’exécutif a souligné «la complexité des travaux de réhabilitation» qui nécessitent à la fois, a-t-il estimé, «des techniques ultramodernes, mais également des interventions manuelles fastidieuses». Il a cité, dans ce cadre, l’évacuation des tonnes de talus formés dans les tunnels longeant plusieurs parties de ce chemin touristique qui va nécessiter le recours à des «techniques anciennes incontournables au vu de la topographie des lieux, comme, par exemple, l’utilisation de baudets». M. Ouadah, après avoir également souligné que ce projet de réhabilitation sera soumis à un suivi «rigoureux et permanent» de la part des services de la wilaya, a précisé que les travaux «ne pourront cependant pas être achevés avant la fin de l’année de la capitale arabe». Il a toutefois affirmé que les parties du projet qui seront progressivement achevées, «seront ouvertes au public qui aura ainsi l’opportunité de suivre de près l’évolution de ce chantier qui a nécessité un investissement public de près de 550 millions de dinars». La réhabilitation du chemin des touristes devrait être réalisée en «quatre étapes», ont indiqué de leur côté les responsables concernés par le projet, rappelant que l’ascenseur menant au site sera aussi modernisé et remis en état dans le cadre de cette action. Conçu et réalisé entre 1848 et 1895 sur un parcours de 2,5 km, le chemin des touristes, «accroché» aux parois du ravin, relie le pont du Diable au pont des Chutes, en permettant de suivre le fond des gorges du Rhumel sur toute leur longueur. Inauguré en 1895, il est l’œuvre de l’ingénieur-constructeur Frédéric Remes. Au cours de sa tournée, le wali s’est également enquis de l’avancement des travaux de réhabilitation de l’ex-siège de la wilaya, de la Medersa, de l’esplanade de la mosquée Emir-Abdelkader et de la bibliothèque urbaine de Bab El Kantara, tous lancés dans le cadre de la manifestation «Constantine capitale de la culture arabe 2015». Il a également inspecté les projets de réalisation d’un jardin botanique au quartier Rahmani-Achour (ex-Bardo) et plusieurs établissements scolaires devant être réceptionnés avant la rentrée scolaire, à Ali-Mendjeli.

 

 

 


Quand la belle parole épouse la belle musique dans une nuit douce, cela donne un spectacle de haute facture.

C’est la forte démonstration que la délégation irakienne a donnée lundi soir au Zénith de Constantine, lors de l’ouverture de la semaine culturelle de son pays à l’occasion de la manifestation culturelle de 2015. La soirée a baigné dans une atmosphère festive qui a enthousiasmé un public jeune pour la plupart, et avide d’ambiances bien rythmées.

Il faut dire surtout que malgré le nombre réduit des participants, en raison des drames et des déchirures que ce pays vit depuis l’invasion américaine de 2003, le plat proposé en cette soirée a été du premier choix. Pour preuve, l’on notera la présence à ce rendez-vous de la crème des poètes irakiens en la personne de Nadjah Al Irssali, Modhar Al Aloussi et Nadhir Al Moudhaffar.

Une entame jalonnée de poèmes racontant l’amour d’un pays à la civilisation qui remonte à l’aube de l’humanité. Des vers qui révèlent aussi tous les malheurs que cette nation affronte avec courage et dignité. Mais le bouquet de la soirée, a été le spectacle tant attendu de la troupe du Maqam Al Iraqi, dirigée par le non moins célèbre maitre de ce genre musical, Mohamed Zaki Derouiche, qui jouait sur le fameux Santour, un instrument vieux de 2000 ans, accompagné de trois percussionnistes.

Le récital, qui a été de toute beauté, a été lancé par le morceau populaire irakien «Ala chouati Dejla Mour» (passez sur les rives du Tigre), pour enchainer par les chansons du folklore de ce pays telles «Ya hilw ma aqssa Qalbek» (O belle comme ton cœur est dur), «Tadakertou Leila» (je me suis rappelé de Leila) et «Ya Oum El Abaya», avant de passer à d’autres rythmes avec les fameuses « Talaâ min beit abouha» et «Talaât Ya mahla nourha» chantées sur des airs qui ont déchainé un public en folie.  Vivement applaudi, Mohamed Zaki Derouiche tiendra à saluer le public à sa manière, en interprétant avec grande élégance Nedjma Kotbia du maitre Rabah Deriassa. Organisée par l’Office national de la culture et de l’information (ONCI), la semaine culturelle de l’Irak à Constantine compte dans son programme la projection de longs et de courts métrages. La soirée de clôture prévue ce jeudi promet aussi d’être riche en moments forts en émotions musicales

 

Arslan Selmane

 

 

 


     Le Forum des chefs d’entreprise a organisé, hier à l’hôtel Sheraton, une rencontre débat, à l’occasion de la célébration de la Journée nationale de l’étudiant, sous le thème «Pour un partenariat entreprise-recherche au service du progrès technologique et de l’innovation». Cette rencontre s’est déroulée en présence du président du FCE, Ali Haddad, et de nombreux spécialistes et universitaires. Les intervenants ont insisté sur la nécessité de renforcer la coopération entre l’université et l’entreprise qui constitue, réellement, la pierre angulaire de la modernisation de l’enseignement supérieur et du développement de l’industrie. Les spécialistes trouvent regrettable qu’à ce jour la culture de coopération entre l’entreprise et l’université reste toujours à concrétiser. S’exprimant à cette occasion, le président du FCE a souligné que «le défi majeur devant lequel est aujourd’hui placé notre pays est d’avoir à réussir son émergence en comptant, non plus sur les revenus de ses ressources naturelles, mais sur le travail et la créativité des Algériens». «Un tel défi nous met face à l’impératif, a-t-il précisé, pour poursuivre notre développement économique et social, d’avoir à développer rapidement nos capacités compétitives, d’innovation technologique et de dynamisme créatif, et cela est indissociable de la nécessité de concevoir et mettre en œuvre une politique vigoureuse et renouvelée de recherche scientifique et technique.» Tout en appuyant sur la nécessité «d’opérer de profondes révisions» dans la manière d’organiser les rapports du monde économique, c’est-à-dire le rapport entre l’entreprise et le monde scientifique, selon lui, l’expérience entre l’université et l’entreprise, depuis 50 ans, n’ont permis ni l’émergence d’une entreprise compétitive, ni celle d’un système d’enseignement et de recherche efficient. Ali Hadad a salué, à cette occasion, les universités du pays qui ont mis en place des bureaux de liaison entreprise-université, en vue de l’établissement d’une démarche de partenariat pour commencer à construire ces synergies que nous appelons de nos vœux. Le patron du FCE a réitéré, à cet effet, la volonté et la disponibilité d’établir des relations étroites, structurées et durables entre le monde de l’entreprise et l’université. «Il nous appartiendra à nous tous, associations d’entrepreneurs et établissements d’enseignement et de recherche, de nous organiser pour que ces initiatives importantes puissent constituer un point de départ pour concevoir une démarche nouvelle qui libérerait le potentiel de notre économie et qui permettrait aux porteurs d’idées et de projets de réaliser leurs activités», a-t-il dit. Investir dans la ressource humaine, a-t-il ensuite ajouté, « signifie qu’il faut consacrer davantage de ressources et de moyens aux étudiants, aux enseignants, aux écoles de métiers, aux universités, à la recherche, à l’innovation, à la compétitivité des entreprises». Hafid Aourag, directeur de la recherche scientifique au ministère de l’Enseignement supérieur a mis l’accent sur l’historique de la recherche scientifique en Algérie, en indiquant que «ce domaine est récent», et en précisant qu’un retard important est accusé par l’Algérie en matière de recherche scientifique. S’agissant du nombre de chercheurs actuel, Hafid Aourag a souligné que celui-ci reste toujours «insuffisant» par rapport aux normes internationales. Concernant la recherche au niveau des entreprises, il a rappelé la nécessite des entreprises de se doter d’un centre de recherche et de développement.

Makhlouf Aït Ziane


 

 

 

      Ils sont 60 jeunes universitaires de Constantine, diplômés en langues étrangères, français et anglais plus précisément, qui vont faire, lundi prochain, le déplacement à Tamanrest, via l’aéroport Houari Boumediène d’Alger. Ils seront chargés, 15 jours durant, de donner des cours de soutien aux élèves de cette wilaya de l’extrême sud du pays. Il s’agit, selon Lamine Rehailia, le chargé de communication au niveau de la direction de l’action sociale, d’une idée conjointement initiée par l’agence de développement social (ADS) et la DAS et dont l’objectif est de développer, selon lui, les relations entre les deux wilayas. C’est un CTI ( un contrat de travail limité) offert à des jeunes universitaires, a-t-il tenu à préciser, qui seront totalement pris en charge durant cette quinzaine de jours. Quant à la rémunération de ces 60 diplômés, elle serait estimée à 30 000 DA. Un montant jugé encourageant et qui permettra, certainement, à ces jeunes de s’investir davantage dans cette excellente expérience professionnelle. Un véritable challenge pour ces universitaires qui ont certainement besoin d’enrichir leur C.V. Que cette expérience soit le début d’une longue carrière dans l’enseignement des langues étrangères. Un vœu que ces jeunes tiennent légitimement à «exprimer».

 

 

 


 

 

 

      On dirait que ce qui manquait le plus à l'Algérie est en train de se réaliser avec la symbiose parfaite que nous avons trouvée entre l'enseignement supérieur et les entreprises économiques, dans une complémentarité exemplaire entre la Science et l'Industrie. Et c'est, peut-être, grâce au Groupe SIM, très actif dans cette option que nous assistons à ce rapprochement. En effet, le P-DG du Groupe SIM, M. Abdelkader Taieb Ezzraimi, a conclu des accords avec de nombreuses universités, à commencer par celle de Blida, et a reçu, il y a quelques jours, 10 étudiants de l'université de Béjaïa, accompagné du recteur, du doyen de la faculté de Biologie et d'un professeur de Biologie de Sciences alimentaires. Selon le recteur de l'université de Béjaïa, le Pr Boulaneur Saidani, c'est après avoir rencontré et fait la connaissance du P-DG de SIM, à l'université de Blida et qu'il ait discuté avec lui, qu'il décida de mieux connaître ce groupe. Sa décision a été renforcée par des recherches sur Internet qui lui ont permis de mieux connaître ce fleuron de l'Industrie agroalimentaire algérienne, les ambitions de son P-DG et les moyens sophistiqués mis en œuvre. Il affirma que lorsqu'il fit part de son désir de faire visiter les installations du Groupe SIM par quelques étudiants, il reçut une réponse positive très rapidement et se rendit, donc, en compagnie de 10 étudiants (5 en master 1 et 5 en master 2) dans la filière agroalimentaire. Les dix étudiants ont été choisis parmi les meilleurs et ils furent donc accompagnés du recteur, du doyen de la faculté et d'un professeur. Lors de cette visite dans l'imposante usine de semoule, couscous et pâtes d'Ain Romana, les étudiants, filles et garçons, se sont dits impressionnés par le matériel et, surtout, l'utilisation de technologies de pointe pour gérer et améliorer la qualité et le rendement. Toujours à l'intérieur des différentes parties de l'usine, ils n'arrêtaient pas de poser, question sur question, au P-DG de SIM qui a tenu à les accompagner personnellement. « La propreté, l'hygiène et le savoir-faire, nous les avons ressentis dès l'entrée et à travers notre tournée, c'est impressionnant », a affirmé une étudiante du groupe visiteur. Elle fut relayée par sa camarade qui déclara que : « nous entendions, bien sûr, parler de SIM, nous avons goûté à tous ses produits, chez nous, ou au restau U, mais, vraiment, nous ne nous attendions pas à trouver ce matériel, cette technologie, cette programmation de toutes les actions, à la seconde près ». Après avoir visité toute l'usine de production d' ‘Agro SIM', les étudiants ont été conviés, au deuxième jour de leur séjour à Blida, à visiter l'usine ‘Aqua SIM', situé à quelques 20 km de là, dans la commune de Mouzaia. Là aussi, autant les étudiants que leurs accompagnateurs de l'université de Bejaia n'en revenaient, en découvrant une technologie de pointe pour présenter aux clients d' ‘Aqua SIM' un produit 100% naturel, dans des conditions d'hygiène très strictes. Que ce soit au niveau des puits, des cuves de stockage, des chaînes de mixage ou celles d'embouteillage, l'hygiène et la sécurité prévalaient sur tout. Les ouvriers portaient des tenues réglementaires très propres et: «nous avons aussitôt envie de goûter aux boissons de différentes couleurs et de différents goûts qui nous étaient présentées, vraiment bravo pour le Groupe SIM ! » déclara une étudiante avec enthousiasme. Quant à M. Abdelkader Taieb Ezzraimi, il annonça que son groupe entretenait d'excellentes relations avec plusieurs universités du pays, qu'il avait des conventions de partenariat avec elles, dans le domaine de l'assistance scientifique et de la formation. Pour l'université de Bejaia, il affirma que c'est la seule université, pour le moment, qui lui a proposé un partenariat formation/emploi, Bejaia étant la seule université à avoir fait cette proposition et : « nous sommes très heureux de travailler avec cette université pour assurer un développement scientifique et mutuellement bénéfique pour l'institution scientifique et le secteur socio-économique » a tenu à préciser le P-DG du groupe. C'est la même impression qui se dégage des propos du recteur de l'université de Bejaia qui déclara que : « nous tenons à vous remercier, une nouvelle fois, pour l'accueil chaleureux que vous nous avez réservé et de nous avoir donné cette opportunité de nous rencontrer et de faire la connaissance d'un groupe industriel des plus importants et des plus performants sur le plan national ». Ce partenariat université/entreprise devrait être généralisé et ce genre de visites devrait être plus fréquent, au sein des grandes entreprises afin d'imprégner, nos universitaires, de la réalité socio-économique de notre industrie et, d'un autre côté, permettre aux industriels de faire connaître leurs besoins et leurs problèmes afin que des solutions concrètes leur soient proposées.

 

 

 


L’institut de Constantine, en collaboration avec la faculté de médecine vétérinaire de Liège en Belgique, organisent des journées internationales, du 9 au 12 mai, sous le thème «Méthodes et innovation pédagogiques en enseignement supérieur».

La rencontre est un plus pour la formation continue des enseignants et permet une mise à jour des connaissances, car les sujets traités sont d’ordre pédagogique en premier lieu.

Les ateliers ont été assurés par le professeur Christian Hanzen de l’université de Liège, auteur et co-auteur de plusieurs ouvrages sur la production bovine. Le professeur a évoqué les systèmes d’évaluation des étudiants, en précisant que l’évaluation est surtout un moyen de progrès et non pas une sanction, comme il se fait chez nous, et que le but principal de toute évaluation est la consolidation des connaissances. Les journées auront aussi un volet pratique, car un atelier de formation aux techniques d’échographie aura lieu aujourd’hui. Le directeur de l’institut vétérinaire, El Hacen Bererhi, a exprimé son souhait d’améliorer davantage le niveau de la formation, à travers la formation continue, le suivi de l’actualité médicale, et les partenariats avec des universités étrangères. 

Ilhem Chenafi

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