N. Yassaa

Ghardaïa : un hub des énergies renouvelables

Ghardaïa est appropriée pour devenir un hub des énergies renouvelables en Algérie. Située à 600 km au sud d’Alger, Ghardaïa est accessible via le transport terrestre et par voie aérienne grâce à son aéroport. En plus de son territoire très vaste, la capitale de la Vallée du M’zab dispose d’un potentiel solaire extraordinaire en termes de durée d’ensoleillement, tout au long de l’année, et d’’intensité du rayonnement solaire...


S. Zitouni

La sécurité de la chaine d’approvisionnement de produits chimiques en Algérie

Les produits chimiques sont l’élément fondamental de tout l’univers. Les produits chimiques peuvent être d’origine naturelle ou synthétique. Ou encore des sous-produits de processus chimiques. De la conférence de Stockholm de 1972 à la conférence de Rio 1992 le développement durable reste une étape importante dans l’objectif de réaliser un développement économique durable qui doit satisfaire les besoins du présent sans compromettre ceux des générations futures...


A. Boufertella

Les Smart Grids, l’avenir du réseau électrique

L’augmentation des installations de production d’énergie d’origine renouvelable a conduit à de nouveaux défis pour les compagnies d’électricité nationales. Ces défis concernent particulièrement l’intégration de ces sources décentralisées dans un réseau électrique existant, compte tenu des problèmes qui leur sont associés et notamment, l’intermittence de la puissance produite...



Institut Français de Constantine
Les rendez-vous à venir de Constantine
  > Accèder au site
Atelier samedi 17 octobre 2015
Atelier théâtre avec Cédric Gourmelon
Atelier reporté à une date ultérieure.
Atelier théâtre avec Cédric Gourmelon
 
Atelier dimanche 25 octobre 2015
Atelier danse, musique et light-painting
Ateliers proposés par la compagnie Turn Off The Light.
Atelier danse, musique et light-painting
 
Art de la scène lundi 26 octobre 2015
Empreinte(s)
Dans le cadre de Constantine Capitale de la Culture Arabe 2015. Danse, musique et arts visuels
Empreinte(s)
 
Institut Français de Constantine | Nous contacter

   

logo-ccca2015

Programme Culturel (Octobre 2015)

La Nouba à l'honneur

---
 
---
 
 
La Nouba à l'honneur ce week-end à la maison de la culture Malek Haddad au programme soirées musicales, conférences et table ronde:
 
 
 

Du 14 au 15 Octobre 2015
au CNFp de Constantine
Campus Ahmed Hammani - Zerzara
Université des Frères Mentouri Constantine


LAUREAT - L'Américano-Britannique, Angus Deaton, a remporté ce lundi le prix Nobel d'économie pour ses recherches sur la consommation, en particulier celles des pauvres. Tout au long de sa carrière, l'économiste s'est notamment penché sur cette question : l'argent fait-il le bonheur ?

C'est un Nobel particulièrement en lien avec la société, surtout en ces temps de crise. L'Américano-Britannique Angus Deaton a remporté ce lundi le prix Nobel d'économie pour ses recherches sur la consommation, en particulier celles des pauvres.

Ce professeur de 69 ans, né en Ecosse et qui travaille à l'université de Princeton aux États-Unis, a été primé "pour son analyse de la consommation, de la pauvreté et du bien-être", a indiqué le jury suédois. Angus Deaton s'est en particulier posé trois questions : comment les consommateurs répartissent-ils leurs dépenses ? Combien, dans une société, est consommé et épargné ? Et enfin, comment mesurer le bien-être individuel ?

Deaton avait calculé le revenu du bonheur

Ces questions ont poussé l'économiste à une analyse fine de "problèmes comme la relation entre le revenu et la quantité de calories consommées, et l'ampleur de la discrimination entre les sexes au sein de la famille", détaille l'Académie royale des sciences. Qui estime qu'"en liant des choix individuels précis et des conséquences collectives, sa recherche a contribué à transformer les champs de la microéconomie, de la macroéconomie et de l'économie du développement".

Concrètement, par exemple, Angus Deaton avait publié en 2010 une étude avec le prix Nobel d'Economie 2002, Daniel Kahneman, portant sur le rapport entre l'argent et le bonheur. En se plongeant dans les statistiques d'un organisme de sondage évaluant le bien-être de 450.000 Américains, les deux chercheurs étaient parvenus à calculer le niveau de revenu auquel l'argent rendait heureux : très précisément 75.000 dollars par an et par ménage, soit 55.000 euros. En-dessous, avaient-ils constaté, les sondés ne sont pas satisfaits ("L’argent ne fait pas le bonheur des pauvres", disait Coluche). Mais au-dessus, avaient-ils également découvert, le moral des sondés patine.

Promouvoir le bien-être et réduire la pauvreté

"Pour élaborer des politiques économiques qui promeuvent le bien-être et réduisent la pauvreté, nous devons d'abord comprendre les choix de consommation individuels. Plus que quiconque, Angus Deaton a amélioré cette compréhension", souligne aujourd'hui le comité qui a primé ses travaux.

Le prix d'économie est le dernier de la saison des Nobel, marquée cette année par le couronnement de la Bélarusse Svetlana Alexievitch en littérature et, pour la paix, du quartette d'organisations qui a permis de sauver la transition démocratique en Tunisie. En économie, Angus Deaton succède au Français Jean Tirole, qui avait été primé pour son analyse de la régulation des marchés. Souhaitons-lui de garder le moral, car la somme qu'il empoche avec son prix se monte bien au-delà de son estimation du revenu du bonheur : 860.000 euros.


Il existe à l’heure actuelle 3.021 entreprises nationales et internationales activant dans le domaine de l’agroalimentaire ce qui, non seulement renseigne sur les possibilités d’embauche existantes, mais laisse également augurer des lendemains prometteurs pour la filière.

PUBLIE LE : 11-10-2015 | 0:00

 

Il existe à l’heure actuelle 3.021 entreprises nationales et internationales activant dans le domaine de l’agroalimentaire ce qui, non seulement renseigne sur les possibilités d’embauche existantes, mais laisse également augurer des lendemains prometteurs pour la filière.

 L’université Mentouri de Constantine vient de publier sur son portail un rapport particulièrement éloquent sur le recrutement dans la filière de l’agroalimentaire, et ce aussi bien dans le secteur public que celui privé. Ainsi, il apparaît à la lecture des données mises en ligne que, contrairement à certaines allégations, la filière en question, deuxième industrie du pays après l’Énergie, connaît une dynamique de recrutement notable. En effet, rien que pour l’année en cours, de nombreux postes ont été créés, en premier lieu dans le secteur de l’enseignement supérieur, et plus précisément au niveau des directions des Œuvres universitaires (DOU) de Constantine, Oran et Biskra, qui ont procédé au recrutement d’ingénieurs de laboratoire universitaires ainsi que d’ingénieurs de laboratoire en nutrition et sciences alimentaires, de même qu’au niveau des universités de Constantine et Oum El Bouaghi à l’Est, Tizi Ouzou au centre, Mascara et Oran à l’Ouest et Djelfa au Sud. Le secteur du commerce n’est pas en reste, pour preuve, les annonces passées par les directions du commerce des wilayas de Batna, Béjaïa, Aïn Defla, Bouira, Oran et Béchar pour l’embauchage d’inspecteurs principaux de la répression des fraudes diplômés en nutrition et technologies agroalimentaires. D’autres départements, à l’image de celui de l’Industrie ou encore celui de la Formation et de l’Enseignement professionnels, proposent de leur côté des postes d’ingénieurs d’État et d’enseignants. Cependant, la part du lion revient au secteur privé lequel offre davantage de perspectives aux diplômés de l’institut de la nutrition, de l'alimentation et des technologies agroalimentaires (INATAA), en ce sens qu’il y a un foisonnement et une diversité des postes proposés, et qui vont d’agent qualifié en assurance qualité à ingénieur en agroalimentaire, en passant par  ingénieur de laboratoire, acheteur de produits alimentaires et responsable de la production agroalimentaire.
Par ailleurs, les auteurs de cette étude «non exhaustive», la collecte de données n’étant basée que sur les placards publicitaires parus dans la presse et sur les sites de recherche d’emploi, rappellent qu’il existe à l’heure actuelle 3.021 entreprises nationales et internationales activant dans le domaine de l’agroalimentaire (source : www.annugate.com), ce qui, non seulement renseigne sur les possibilités d’embauche existantes, mais laisse également augurer des lendemains prometteurs pour la filière. La seconde partie de la publication reprend les textes de loi, arrêtés interministériels et décrets exécutifs, régissant le recrutement des diplômés du domaine, avec notamment la correspondance de la direction générale de la fonction publique portant la référence DGFP 01/2012 laquelle précise les catégories de fonctions pour les diplômés de l’INATAA, à savoir inspecteur principal de la répression des fraudes pour les corps particuliers à l’administration du commerce, ingénieur d’État en agronomie dans les corps particuliers des administrations de l’agriculture, ingénieur d’État en agronomie dans les corps particuliers des directions de l’industrie et de la promotion des investissements, enseignant spécialisé dans la formation et l’enseignement professionnels, ingénieur d’État de laboratoire universitaire, avec en prime l’accès à tous les concours de la fonction publique exigeant le diplôme d’ingénieur d’État ou équivalent, ce qui prouve, de manière irréfutable, que le titre délivré par l’institut en question est pleinement reconnu.
Pour rappel, une partie des étudiants de l’INATAA avait entamé en janvier passé un mouvement de grève dont la revendication principale était justement la reconnaissance de leur diplôme par la fonction publique, ce qui dénote au mieux une incompréhension, au pire une méconnaissance des dispositions appliquées en la matière.
Le spectre de l’année blanche a été écarté de justesse grâce au travail de sensibilisation mené par l’administration de l’université Mentouri et la reprise des cours s’est opérée au mois de mai, d’où la prolongation de l’année universitaire jusqu’en octobre.
I. B.


Le tourisme, le transport et la topographie sont les nouvelles offres de formation qui seront enseignées à l'université Mentouri à partir de cette année universitaire 2015/2016. Cette institution de formation supérieure accueille plus de 8 600 nouveaux étudiants et ce nombre porte l'effectif total de l'université à 38 000 étudiants.

Telles sont, en quelque sorte, les nouveautés soulignées par le recteur de cette université lors de la cérémonie de rentrée universitaire solennelle organisée, hier matin, à l'auditorium Mohamed-Seddik bienyahia du campus Mentouri. Quant à l'encadrement, le recteur a indiqué qu'il est composé actuellement de 1700 enseignants. Le professeur Abdelhamid Djekoune, recteur de l'université des Frères Mentouri, a souligné qu'en matière de formation, son institution universitaire s'est toujours préoccupée d'être au diapason du développement économique et en phase avec son environnement socio-économique.

«Nous veillons toujours, a-t-il dit, à ce que les spécialités retenues pour la formation que nous dispensons aient une relation directe, une relation dialectique avec notre environnement socio-économique. Et nous attachons aussi beaucoup de prix à la qualité de la formation que nous enseignons». Et de passer ensuite à une cérémonie de remise des distinctions à de nombreux enseignants qui ont été promus au grade de professeur de l'enseignement supérieur. Deux d'entre eux, en l'occurrence Chérif Bahloul et Chaib Rachid, ont fait des déclarations et souhaité que la récompense de l'enseignant universitaire doit refléter son niveau scientifique et venir récompenser les efforts qu'il a déployé pour la mériter.

«Elle ne doit pas être conjoncturelle et délivrée seulement dans des occasions officielles comme celle d'aujourd'hui, ont-ils souligné.

Avant d'ajouter que l'enseignant universitaire «souffre beaucoup, mais il fait de son mieux, avec les moyens mis à sa disposition, de travailler sur le plan scientifique pour hisser son institution universitaire à la place qu'elle mérite, ne serait-ce que sur le plan africain».


Page 51 sur 71

Réseaux sociaux

Twitter Facebook  |    Instagram |    Youtube |    LinkedIn

 

SDN - المنصات الرقمية

Study in Algeria

Portes Ouvertes


 

 

 

Réseaux sociaux

 Twitter     

 Facebook  

  Instagram

  Youtube 

  LinkedIn

Documentation en Ligne

Système National de Documentation en ligne.



Articles Par Date

« Mai 2025 »
Lun Mar Mer Jeu Mer Sam Dim
      1 2 3 4
5 6 7 8 9 10 11
12 13 14 15 16 17 18
19 20 21 22 23 24 25
26 27 28 29 30 31  

Université Frères Mentouri Constantine 1

Université Frères Mentouri - Constantine 1 BP, 325 Route de Ain El Bey, Constantine, Algérie, 25017  Téléphone : +213(0)31 81 12 71