La 4e édition du colloque international « Eau et Climat : regards croisés Nord - Sud » se tiendra à Constantine, à l'université des frères Mentouri (campus Zouaghi), les 24 et 25 novembre 2015, sous le thème « Défis de l'eau et stratégie d'adaptation autour du Bassin méditerranéen ». Ainsi, après la tenue des précédents colloques, successivement en France (Rouen 2012), au Maroc (Fès, novembre 2013), et en Tunisie (Hammamet octobre 2014), la faculté des sciences de la terre, de la géographie et de l'aménagement du territoire et le laboratoire des sciences du territoire, ressources naturelles et environnement, organisent cette 4e édition avec la participation des spécialistes de plusieurs pays (Algérie, Tunisie, Maroc, France, Cameroun et Pays-Bas). La thématique de la rencontre est d'une importance vitale et d'actualité brûlante dans le monde et « dans les pays du Bassin méditerranéen où le phénomène du changement climatique est susceptible d'engendrer des perturbations majeures dans le cycle de l'eau et le fonctionnement des hydro-systèmes », note le communiqué afférant à cette manifestation scientifique, transmis, hier, à notre rédaction. Ajoutant que ce colloque sera « une occasion pour les spécialistes de débattre des questions contenues dans un riche programme d'intervention d'une part, et d'autre part dresser un état des lieux, et confronter les résultats de plusieurs programmes de recherche relatifs à l'échelle du Bassin méditerranéen ». L'eau, source de vie, peut devenir source de malheur lorsqu'elle est touchée par la pollution ou lorsqu'elle subit de plein fouet les effets du changement climatique qui se répercutent fatalement sur le fonctionnement des hydro-systèmes. « Eau et Climat, la paire est effectivement indissociable », estiment encore des spécialistes. Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source.



Total lance un challenge Startupper de l’année 2016 qui pourrait intéresser les étudiants ayant un projet ou une idée à développer

 

LE CHALLENGE

Une opportunité unique pour les startups !

Parce qu’en Afrique comme ailleurs, entreprendre, c’est une promesse d’avenir pour les jeunes, Total lance le challenge « Startupper de l’année par Total ».

Une idée mérite qu’on l’accompagne – surtout quand elle est la meilleure. Un projet justifie un coup de pouce quand il est prometteur.

Google, Facebook, Daily Motion, Twitter, Deezer, Airbnb, etc. : ces grands noms de l’économie 2.0 sont tous nés d’une idée simple germée dans de jeunes cerveaux éclairés…
En Afrique, les startuppers ne sont pas en reste… Icow1, Afate 3D Printer2, Cardiopad3, Obami4, Sense Ebola Follow up5 ou M-Iouma6 font déjà bouger le continent…

VOUS PRÉPAREZ UN PROJET D’ENTREPRISE ?
VOUS L’AVEZ TOUT JUSTE AMORCÉ ?
VOUS POUVEZ RELEVER NOTRE CHALLENGE !

Qui peut participer ?

Vous avez moins de 35 ans ? Vous souhaitez porter un projet de création ou de développement d’entreprise de moins de 2 ans ? Vous détenez la nationalité de l'un de ces 34 pays d’Afrique où est organisé le Challenge : Afrique du Sud, Algérie, Angola, Burkina Faso, Cameroun, Congo, Côte d’Ivoire, Egypte, Ethiopie, Gabon, Ghana, Guinée, Guinée équatoriale, Kenya, La Réunion, Madagascar, Malawi, Mali, Mauritanie, Maroc, Maurice, Mozambique, Namibie, Niger, Nigeria, Ouganda, République Démocratique du Congo, Sénégal, Tanzanie, Tchad, Togo, Tunisie, Zambie, Zimbabwe ?* Le challenge « Startupper de l’année par Total » s'adresse à vous !

Tous vos projets nous intéressent, sans distinction de domaine ou de secteur d’activité. Les maîtres-mots sont ceux qui font l’univers créatif des startups : innovation, compétitivité, facteur de croissance et potentiel d’emplois.

*Le candidat doit détenir la nationalité du pays dans lequel il dépose son dossier de candidature pour y créer ou y développer son projet. Un seul dossier est autorisé par candidat.

TENTEZ VOTRE CHANCE ET RELEVEZ LE DÉFI ! Pour participer, soumettez-nous votre projet en créant votre profil ici.

Think Global, Act Local

En Afrique, partout où Total est présent, nous mesurons la créativité, l’engagement de la jeunesse et son envie de changer le monde. Quels sont les défis là où vous vivez ? En quoi votre projet d’innovation peut-il permettre de les relever ? À vous d’y répondre et de le démontrer ! Ensuite, à nous d’accompagner ceux qui inspireront, concevront, investiront, emploieront et produiront pour changer « leur » monde…

1Startup kenyane : le conseil agricole sur téléphone mobile.
2Startup togolaise : des imprimantes 3D qui recyclent les déchets électroniques.
3Startup camerounaise : une tablette imaginée pour sauver des vies.
4Startup sud-africaine : une plate-forme pour « apprendre » autrement.
5Startup nigériane : le numérique pour lutter contre Ebola.
6Startup sénégalaise : la première bourse agricole en ligne du pays.



Institut Français de Constantine
Les rendez-vous à venir de Constantine
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Information mardi 03 novembre 2015
Les Prix Goncourt et Renaudot 2015 déjà disponibles à la médiathèque !
Mathias Enard, Prix Goncourt et Delphine de Vigan, Prix Renaudot 2015 !
Les Prix Goncourt et Renaudot 2015 déjà disponibles à la médiathèque !
 
Information lundi 09 novembre 2015
L’Institut français de Constantine recrute
L’Institut français de Constantine recrute
 
Art de la scène samedi 14 novembre 2015
LE LARRON - Pop / Chanson française
Le Larron accompagnait Jane Birkin, Ridan et Mademoiselle Rose...
LE LARRON - Pop / Chanson française
 
Cinéma lundi 16 novembre 2015
L’HOMME QU’ON AIMAIT TROP
Un film d’André Téchiné, avec Guillaume Canet, Catherine Deneuve, Adèle Haenel.
L’HOMME QU’ON AIMAIT TROP
 
Conférence mercredi 18 novembre 2015
TRANSPHILOSOPHIE
Rencontres cordonnées par Seloua Luste Boublina, professeure agrégée de philosophie, directrice de programme au Collège International de la Philosophie.
TRANSPHILOSOPHIE
 
Exposition lundi 23 novembre 2015
OCÉAN ET CLIMAT: DES ÉCHANGES POUR LA VIE
Exposition conçue par le secteur culture scientifique – DIC (IRD) Isabelle Mouas Soumah et Marie-Lise Sabrié.
OCÉAN ET CLIMAT: DES ÉCHANGES POUR LA VIE
 
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concours international intitulé INSPIRELI AWARDS 2015


Elles ont réuni plusieurs chercheurs qui, pendant deux jours, ont décortiqué les fondements, les techniques, les outils et les applications des nouvelles technologies de la chimie.

C’était dimanche et lundi derniers, lors des 9es Journées internationales sur la chimie abritées par le campus de 500 places de l’université Frères Mentouri. Selon le professeur A. Debbache, ces Journées, qui ont regroupé l’ensemble de universités algériennes et quelques unes du Bassin méditerranéen, ont pour finalité l’actualisation des connaissances en chimie organique, en phytochimie, en chimie analytique, en environnement, en chimie inorganique et théorique.

«Le choix des thèmes est en corrélation avec les spécialités dispensées et développées à l’université de Constantine», précise-t-il. Effectivement, ils étaient au moins deux cents, entre spécialistes et étudiants, à prendre part à cette rencontre scientifique qui s’est imposée, au fil des ans, comme un rendez-vous incontournable des «experts de la molécule».

Pour preuve, les multiples interventions autour des thèmes susmentionnés, assurées par des spécialistes qui ont effectué le déplacement depuis la France, l’Espagne, le Maroc et la Tunisie. «Nous ne sommes pas au stade du transfert de technologie, nous sommes encore au stade de la formation. Nous mettons à profit les expériences étrangères pour bâtir un socle dans le domaine de la recherche», fera remarquer le Pr Debbache et néanmoins directeur du département de chimie à l’université Mentouri.

En somme, l’une des visées des organisateurs est incontestablement le  renforcement des liens entre les différentes équipes de recherche aux fins d’accroitre la collaboration et l’échange. Les participants ont abondé dans le même sens, unanimes à reconnaître l’omniprésence de la chimie dans l’agriculture, l’industrie et  l’environnement immédiat. D’où son impact non négligeable sur la vie quotidienne. Il est évident qu’il valait mieux être bardé de diplômes pour pouvoir saisir les significations de cette pléthore de formules, aucunement fortuites, obéissant à un ordre savamment calculé pour aboutir à un équilibre total.

Il est aussi évident que les profanes n’avaient pas leur place au milieu des éminents chimistes et des étudiants en post-graduation. «L’analyse HPLC et caractérisation spectroscopique et spectrométrique des antibiotiques nouvellement apparus chez la souche pall l4 de streptomyces»  ou encore «Synthèse de nouvelles quinoléines par modifications autour de la réaction de Skraup» ne sont pas assimilables, de prime abord, par les non-initiés. Mais l’important est le résultat final qui s’avère, selon plusieurs communicants, très prometteur pour peu qu’il y ait «preneur».

Le professeur Tahar Sehili, chercheur et directeur du laboratoire des sciences et de la technologie de l’environnement à la faculté des sciences exactes de l’université Mentouri confirme la réalisation d’un grand pas dans le domaine de la recherche. Toutefois, il a soulevé la problématique de l’absence de jonction entre la recherche scientifique et le secteur de l’industrie, à titre d’exemple. Sans perdre de vue le fait que Constantine s’impose en tant que triple pole industriel, mécanique et pharmacologique, le constat est établi.


UN LEVIER POUR L’ESSOR INDUSTRIEL

Dans ses déclarations à la presse, en marge de ces journées internationales, le Pr Sehili a mis le doigt sur quelques dysfonctionnements dans certains secteurs, dont celui de la production de médicaments, qui ne sollicitent pas le concours de l’université. Etant l’épicentre de la recherche dans toute sa dimension et ses variations, cette dernière n’est pas associée aux stratégies économiques tant à l’échelle nationale que locale.

«Des laboratoires ont signifié des refus de stages à nos étudiants sous prétexte du secret de production», a-t-il dit pour illustrer la posture de défiance dans laquelle se complaisent certaines unités pharmaceutiques, quand bien même l’université représente pour elles un pourvoyeur de compétences. L’industrie pharmaceutique est basée sur la chimie, le médicament étant une molécule.

«Nous avons de très bons résultats en matière de recherche, particulièrement dans le domaine de l’environnement, mais notre travail n’est pas valorisé», s’accordent à dire plusieurs chercheurs abordés pendant la pause-café. Et de lancer un appel aux acteurs du monde économique pour tirer avantage de la recherche universitaire soit en la finançant, soit en mettant en application ce qui a déjà été mis au point.

A la lumière des constats établis par ces professionnels, d’aucuns viendront s’interroger sur le rôle de l’université dans l’essor économique national global  dans une conjoncture sujette à diverses fluctuations et évoluant au gré du baril du pétrole. Le marché économique est tributaire du secteur de la recherche scientifique, particulièrement. L’exemple le plus éloquent est celui de la pharmacologie. Constantine compte 18 laboratoires et ce nombre est appelé à augmenter.

Ces entités, pour la plupart d’entre elles, versent davantage dans le conditionnement du médicament que dans la production de la molécule. Les plus nanties se sont lancées dans la production — dont Saidal — et le font en collaboration avec des laboratoires étrangers de renom. Donc, ne disposant que peu ou prou de transfert de technologie. Inverser la vapeur serait-il possible ? Les réponses de nos interlocuteurs poussent à l’optimisme.

A l’heure où l’Etat se lance à corps perdu dans une politique de réduction de la facture des importations de médicaments (qui s’élève à près de 3 milliards de dollars par an) en misant sur la production de l’insuline sous ses trois formes et en encourageant la diversification des produits en dehors du générique, la recherche universitaire en chimie ne semble pas incluse dans cette vision. «Il est envisageable d’assurer l’ensemble des étapes de fabrication  d’un produit médicamenteux. Il faut juste impliquer l’université dans les processus  et c’est aux laboratoires de le faire par le truchement du financement des recherches», nous a-t-on encore confié.


Un volet exportation est pris en compte dans la vision globale du projet : 30% de la production seront exportés vers l’Europe. La future fonderie d’Etrag produira 15 000 à 18 000 tonnes/an de fonte.

Le pôle mécanique à Constantine ambitionne de revenir à sa vocation initiale qu’est la production, délaissée depuis une dizaine d’années en faveur du montage. Cela pourrait se réaliser avec le projet de fonderie que compte acquérir l’Entreprise tracteurs agricoles (Etrag) de Oued H’Mimime (Khroub), en partenariat avec l’entreprise belge Fonderie-Casting (Focast).

Ce projet était au centre d’une journée d’étude sur les technologies de fonderie, organisée, en octobre dernier, par le cabinet Meziani consulting à l’hôtel Marriott de Constantine et animée par des experts de deux entreprises partenaires, la Focast et Huttenes-Albertus. Cette dernière est une société allemande qui fabrique entre 90 et 95% des produits consommables pour l’industrie de la fonderie.

La fonderie, selon la présentation du projet, sera implantée sur le site de l’Etrag sur une superficie de 22 000 m2 couverts sur 53 000 m2 de terrain. «Nous travaillons avec Etrag depuis au moins une quinzaine d’années. L’année dernière, son PDG m’a demandé de lui présenter un audit concernant le projet de fonderie et je l’ai fait», a déclaré à El Watan, François Maraldi, représentant de Focast.

La concrétisation du projet «nécessiterait entre 2 et 4 années», nous a-t-il précisé. Focast est une entreprise à multiples activités. Elle couvre un peu plus du tiers du marché européen en besoins de fonderie. Elle est présente en Europe et en Afrique à travers plusieurs partenariats, dont Etrag et l’Entreprise de moteurs Constantine (EMO) en Algérie ; et aussi Renault Trucks ou encore GIMA (qui appartient à hauteur de 50% à l’américain Massey Fergusson, qui n’est autre que le partenaire d’Etrag et d’EMO). «C’est un client principal», dira M. Maraldi en parlant d’Etrag. Et comment peut-il en être autrement, puisque c’est le fournisseur de trois pièces maîtresses dans l’assemblage d’un moteur de tracteur, à savoir la trompette, le carter et le plan AR.

Avec 3500 à 4000 unités qui sortent annuellement des usines d’Etrag, le volume du partenariat ne peut être que très important. «Je peux affirmer qu’avec nos performances, nous avons sauvé la production de cette année et celle de l’année dernière des tracteurs DZ d’Etrag», a soutenu François Maraldi lors de la présentation de son entreprise. L’embellie financière qui en a résulté prendra une courbe ascendante avec la réalisation de la fonderie en question.

Ce projet, qui coûtera plusieurs millions d’euros, «autour de 30 millions d’euros», précisera A.Meziani, du cabinet du consulting, n’est pas destiné exclusivement à  la fabrication locale. Un volet exportation est pris en compte dans la vision globale du projet. «30% de la production seront exportés vers l’Europe», insistera F. Maraldi pour mettre l’accent sur la nature de ce partenariat qualifié de technologique avant d’être économique.

Focast l’a d’ailleurs répertorié en neuf points : définition des besoins produits et process, choix des équipements, achat des équipements, choix des fournisseurs, mise en place de équipements, démarrage des installations, formation des équipes locales, gestion de la production et enfin le relais commercial pour l’exportation. En somme, un accompagnement tout au long des différents jalons de ce projet qui représente, selon la formule consacrée, «un transfert de technologie et une formation en continu».

Vers la fin de l’industrie polluante ?

«Nous refondons nos produits selon les produits locaux», ont soutenu à la tribune trois experts. La matière première qu’est le sable sera extraite localement, donc elle coûtera moins cher qu’ailleurs, laisse-t-on entendre. Ce qui, in fine, rendra l’usine très compétitive, d’autant que l’élément humain, d’une importance capitale, viendra conforter cette option en raison de l’existence d’une main-d’œuvre jeune et en nombre. Il est question dans ce cas de la création de quelque 300 postes d’emploi.

Il est de notoriété publique que ce genre d’industries est des plus polluantes. Son impact sur l’environnement se pose donc tel un souci majeur. La future fonderie d’Etrag produira 15 000 à 18 000 tonnes/an de fonte. Les déchets qui y seront engendrés deviendront un véritable casse-tête pour les responsables et une source de nuisance pour toute la collectivité. Pour François Maraldi, la stratégie de son entreprise englobe l’aspect écologique. D’ailleurs, une communication y a été consacrée lors de cette journée d’étude. Tous les experts présents ont certifié une préservation optimale de l’environnement immédiat.

Focast, selon les informations communiquées, a réduit à 15% les rejets de carbone organique volatil (COV). La résine à vert, utilisée dans le compactage du sable est 100% organique, donc recyclable. «La crasse est inerte et très fine. Il faut la mélanger avec du sable à vert pour l’utiliser dans les soubassements des constructions, les couvertures des routes ou pour les décharges de déchets ménagers», a expliqué F. Maraldi, en réponse à une question sur le recyclage des déchets de la fonderie.


L'école des sciences de l'éthique propose un large programme de conférences, de débat, de réflexions et d'idées ayant pour objectif principal la diffusion d'un enseignement sur la culture scientifique et technologique avec une double démarche de valorisation et d'évaluation de l'impact du progrès scientifique sur les enjeux sociétaux et les relations entre les sciences et l'éthique.
Par ailleurs, l'existence de questionnements et de préoccupation éthique dans l'exercice des professions scientifiques conduit de nos jours à envisager une stratégie qui convient pour préparer les professionnels à affronter ces questions.
A cet effet, il est devenu nécessaire de réfléchir, d'organiser et d'instaurer des formations appropriées qui prennent en compte les questions d'éthique dans les parcours des scientifiques.
Cette école sur l'éthique des sciences organisée avec la collaboration de 1'OCAMEDH est d'une importance capitale pour promouvoir et développer et produire un enseignement qui répond à un besoin spécifique celui de former des compétences dans ce domaine (Sciences de l'Ethique).
Cette 1 ère école que nous organisation sur les sciences de l'éthique, se veut un espace pour engager la réflexion sur la proposition de parcours de formation diplômante du type Master qui intégrera toutes les disciplines scientifiques, telles que : la biologie, la Médecine, le Droit, la physique la philosophie et la sociologie... et de discuter la possibilité d'introduire une unité d'enseignement de l'éthique des sciences dans les différents parcours existants à l'université des frères MENTOURI-Constantine, (Unité d'enseignement de découverte).
Apprendre l'Ethique pour promouvoir
les Sciences au service de la société.

PRESENTATION DE LA CONFERENCE DU 20 NOV 2015 AU CONGRES DE SAMERE


le Bureau Maghreb de l'Agence universitaire de la Francophonie est heureux de vous annoncer l'ouverture de l'appel à candidatures pour le 4ème Forum Universitaire Maghrébin des Arts (mars 2016 - Rabat) placé sous le signe du Nombre d'Or, "Du déséquilibre à l'harmonie".

Nous invitons les étudiants issus des établissements membres de l'AUF en Algérie, au Maroc et en Tunisie (niveaux Master et Doctorat) de toutes disciplines à illustrer et commenter, au moyen d’un poster scientifique, la recherche de la juste proportion que symbolise le nombre d’or. Ce projet vise notamment à favoriser l’interdisciplinarité en suggérant de découvrir l’intuition mathématique à l’oeuvre dans une diversité de domaines (arts, sciences naturelles, humaines et sociales) et à renouveler, à la faveur d’un « mythe » séculaire, l’approche de questions actuelles comme celles de l’équilibre économique et social, du développement durable, de l’harmonie entre les peuples.

Les étudiants désirant présenter des productions individuelles ou collectives réalisées sous la supervision de leurs encadrants devront compléter, avant le 31 janvier 2016, la fiche descriptive de leur projet dûment complétée sur le formulaire https://formulaires.auf.org/.

Nous invitons les étudiants issus des établissements membres de l'AUF en Algérie, au Maroc et en Tunisie (niveaux Master et Doctorat) de toutes disciplines à illustrer et commenter, au moyen d’un poster scientifique, la recherche de la juste proportion que symbolise le nombre d’or. Ce projet vise ... Lire la suite

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