Un espace de travail et de partenariat entre les entreprises économiques de la filière agroalimentaire et l’université Saâd-Dahleb de Blida a été créé hier dans cet établissement de l’enseignement supérieur au titre d’une convention signée par les deux parties, en présence du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Tahar Hadjar, et de nombreux chefs d’entreprises économiques nationales.

Baptisé du nom de "Groupe industriel de la filière agroalimentaire", cet espace, constituera un cadre de "rencontres entre les étudiants du Master, les chercheurs universitaires et les représentants d’entreprises économiques, en vue d’examiner et chercher ensemble des solutions aux multiples problèmes rencontrées par la région, dont la pollution, les encombrements de la circulation, voire même la réalisation de projets, qui profiteront tant aux entreprises qu’à l’université", a indiqué le recteur de l’université de Blida, Abadlia Mohamed Tahar. Dans son allocution, à l’occasion, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a estimé que cette démarche s’inscrit au titre du processus général de rapprochement de l’université de son environnement économique et social. "Une orientation qui a été désormais consacrée, aujourd’hui, par l’université de Blida", a t-il soutenu. "L’initiative vient également palier à quelques insuffisances accusées par le secteur économique qui s’est toujours plaint du fait que les étudiants, sur le plan pratique, sont insuffisamment formés", a ajouté le ministre, estimant que la création de ce Groupement permettra aux étudiants de se frotter à l’environnement socio-économique, tout en leur offrant des opportunités de stage et d’entraînement, pour en faire, en fin de parcours, des éléments qualifiés sur le double plan académique et pratique. De nombreux chefs d’entreprises, présents à cet événement, ont loué cette initiative. Parmi ces derniers, le président du forum des chefs d’entreprises, Ali Haddad, qui l’a considéré comme "une consécration de l’ouverture de l’université sur l’environnement économique". Le président de la Chambre nationale de l’industrie et du commerce, Laïd Benamar, a, pour sa part, qualifié cette démarche de "pont de communication entre l’université et les entreprises économiques, qui réduira les délais de transition de l’étudiant vers le monde du travail", considérant qu’"il s’est déjà adapté avec l’environnement économique", a t-il ajouté. Pour le chef des entrepreneurs et industriels de la Mitidja, Kamel Moula, l’initiative assurera, pour les entreprises économiques de la wilaya, une main-d’œuvre qualifiée, qui contribuera, à son tour, au développement de son tissu industriel. Cet espace d’échanges est le deuxième du genre au niveau de l’université Saâd-Dahleb de Blida, qui compte déjà un espace aéronautique, dans l’attente de la création d’autres espaces avec les opérateurs économiques de la région. L’université de Blida, qui compte, cette année, plus de 31.000 étudiants inscrits, est également dotée d’une pépinière d’entreprises, destinée à abriter les projets des étudiants diplômés.

La loi d'orientation sur la recherche scientifique a conféré un intérêt capital à la formation
 La loi d'orientation sur la recherche scientifique a conféré un intérêt "capital" à la formation et à la recherche économique, a affirmé, hier à Blida, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Tahar Hadjar. "Cette nouvelle loi d'orientation sur la recherche scientifique a fourni une plate-forme pour la recherche scientifique, tout en légiférant la recherche scientifique productrice", a souligné le ministre lors d'une cérémonie de création d’un espace pour les étudiants et les industriels de l’agroalimentaire, à l’université Saad-Dahleb de Blida. Pour M. Hadjar, les réformes enregistrées au sein de l’université algérienne visent à promouvoir les formations en relation avec le monde économique, par l’ouverture des portes des usines et des entreprises économiques devant les étudiants du Master et du Doctorat, pour la préparation de leur thèse. Il a insisté, à cet effet, auprès des universités nationales, afin de "jouer pleinement leur rôle" pour se mettre au diapason du développement socioéconomique, à travers "la couverture des besoins des différents secteurs en main-d’œuvre et cadres qualifiés". Il a cité en exemple la wilaya de Blida, la qualifiant de "bassin pour l’agriculture et l’industrie agroalimentaire, qui pourra contribuer, dans une grande mesure, dans le relèvement du défi de la sécurité alimentaire". "L’université algérienne est la pierre angulaire de cette opération, à travers l’investissement dans l’élément humain", a t-il ajouté, estimant que la création, au sein de l’université de Blida, de cet espace de travail entre les étudiants et les opérateurs économiques, constitue "un axe principal de l’industrie agroalimentaire dans le bassin de la Mitidja, sur lequel l’Algérie compte s’appuyer comme substitut aux hydrocarbures, au vu du recul des cours de ces derniers et leur impact sur l’économie nationale". Le ministre a, aussi, fait part d’une "généralisation programmée de ce type de conventions pour englober toutes les universités du pays" au titre des "instructions données aux chefs des entreprises d’étudier leur environnement et de s’y adapter", a-t-il souligné. "Il est temps pour l’université algérienne d’étudier son environnement, de s’informer sur les potentialités de chaque wilaya et de s’y adapter", a encore observé M. Hadjar, illustrant ses propos en citant les wilayas de Sétif, Oran et de Tiaret, réputées respectivement pour leurs industries électronique, automobile, et mécanique, entre autres.


CONSTANTINE- Une conférence internationale sur le rôle de l’association des Oulémas musulmans algériens dans la préservation de la langue arabe et son impact sur l’identité linguistique algérienne sera ouverte mercredi à Constantine, a indiqué mardi le secrétaire général du Haut conseil de la langue arabe (HCLA), Ali Taleb Djilali.

"Le rôle pionnier de l'association dans la protection et la diffusion de la langue arabe durant la période coloniale et le grand héritage légué par les érudits qui ont marqué l’histoire et les esprits" sera exposé au cours de cette rencontre, a précisé M. Djilali au cours d’une conférence de presse.

Plus de vingt communications seront présentées au cours de deux jours de cette conférence internationale, a-t-il a ajouté, soulignant que des universitaires du Maroc et du Liban enrichiront les débats en traitant de la lutte de l’imam réformiste Abdelhamid Benbadis et de ses disciples contre ‘‘la politique assimilationniste de l’Etat français’’

Rappelant les efforts de l’association des oulémas musulmans algériens, M. Djilali a également précisé qu’un atelier portant sur les actions de Bachir El-Ibrahimi et son combat contre les tentatives de dépersonnalisation et d’acculturation des Algériens sera organisé dans le cadre de cette rencontre.

Le secrétaire générale du HCLA, après avoir rappelé que les érudits de l’association étaient ‘‘porteurs d’un projet de renaissance de la nation’’, a affirmé que le choix du thème pour cette conférence internationale procédait de la volonté de ‘‘relancer le projet de Benbadis et de ses disciples’’, à savoir, a-t-il précisé, la promotion de la langue arabe et sa préservation.

Organisée par le département Colloques et Séminaires du commissariat de la manifestation ‘‘Constantine, capitale 2015 de la culture arabe’’, la conférence, prévue à la maison de la culture Malek-Haddad, se déclinera en cinq axes dont l’état des lieux de la langue arabe avant la création de l’association des oulémas musulmans algériens, le poids de la dimension linguistique dans les actions de ce mouvement historique et les travaux des érudits de l’association dans les programmes éducatifs et les études académiques. a-t-on conclu.

 


    Le centre national de formation du personnel pour handicapés (CNFPH) de Constantine organise, les 28 et 29 octobre, les 3èmes journées médicales de solidarité nationale au profit des médecins exerçant au niveau des organismes et établissements du secteur de la solidarité nationale sous le thème : «L’alimentation et les troubles alimentaires au sein de l’établissement spécialisé». D’après les organisateurs de ces journées, «la couverture médicale des pensionnaires des établissements spécialisés constitue une action essentielle du secteur de la solidarité nationale, de même que la majorité des déficiences prises en charge et présentant des aspects médicaux qui requièrent une assistance médicale par des équipes pluridisciplinaires. Ce qui a conduit le secteur à l’emploi de médecins, notamment au niveau des établissements spécialisés». Ainsi, on relève dans un communiqué lié à cet évènement que les organisateurs considèrent que cette mission de couverture médicale et de prise en charge de l’handicapé «nécessite l’accompagnement des médecins du secteur». Et depuis quelques années, le CNFPH a été sensible à ce besoin de formation et il y a répondu positivement. Donc, ces 3èmes journées médicales «seront à même de rassembler les médecins du secteur de la Solidarité nationale, de leur offrir un espace de concertation et d’échanges des vécus professionnels. Elles seront également en mesure d’harmoniser les approches en matière des aspects relatifs à la restauration collective».


Les «métalleux», les hard rockers, les férus de son lourd et de «disto» se frottent les mains et comptent les jours qui les séparent du rendez-vous de novembre et l’événement qu’ils attendent depuis des années.

Les 7 et 8 du mois prochain aura lieu, en effet, le 1er Festival de hard rock de Constantine, le 213 Fest, tel que baptisé par ses concepteurs. Mais pourquoi ce nom bizarre ? 213 fait référence à l’indicatif téléphonique international de l’Algérie. C’est aussi simple !  Au programme : Acyl et Arka, des groupes franco-algériens, Traxxx de Tizi Ouzou, Oktav de Constantine et Numidis sorti du fin fond des Aurès.

Pour une première, le menu est prometteur et cela promet des décharges électriques. Rien à voir bien entendu avec les clichés surannés et les préjugés «stigmatisants» débités récemment par une chaîne de télé idiote sur la scène du métal en Algérie et les prétendues pratiques de satanisme. Le hard rock, qui a connu un essor durant les années 1990, est d’abord un mouvement musical animé par une population jeune et rebelle, mais pas marginale.

Hichem Kikaï, qui galère depuis quatre ans pour réussir ce challenge assez personnel, se réjouit de la concrétisation de l’événement et parle d’un rêve. Avec le collectif de jeunes organisateurs et l’association ACT, le 213 Fest vient enrichir la série d’événements musicaux de la ville de Constantine. Il intervient cependant dans une conjoncture de déclin de cette musique en Algérie. L’organisateur reste cependant optimiste : «Nous avons un potentiel important en Algérie et de bons groupes, mais la scène stagne depuis quelques années pour un certain nombre de raisons.

En tout cas, il est temps qu’elle se professionnalise au contact de groupes internationaux.» Amen !  Le 213 Fest se prépare dans des conditions difficiles en l’absence d’un lieu approprié, surtout à cause de ressources financières pour le moins timides. Les pouvoirs publics sont sourds devant de telles initiatives et les sponsors sont réticents, ce qui est compréhensible sachant la nouveauté de l’événement. Dans ce tableau plutôt négatif, le commissariat de «Constantine, capitale de la culture arabe» a le mérite de répondre favorablement à la sollicitation des organisateurs en faisant la promesse d’une assistance généreuse.

L’aide des fans est aussi remarquable, note Hichem, qui décrit une communauté qui se soutient mutuellement. Le mérite revient aussi à ce dernier et à toute l’équipe du 213 Fest, qui font preuve d’une mobilisation admirable, soutenue par une conviction inébranlable.

«C’est surtout pour les fans qui nous encouragent que nous agissons. La passion est le moteur de ma motivation personnelle, bien sûr, et j’ai toujours voulu faire cela», avoue Hichem. Notre interlocuteur et ses amis n’en sont pas à leur première expérience ; ils ont affûté leurs armes à l’occasion d’une tentative en 2011 et ensuite en 2012, quand ils ont ramené les Tunisiens déchaînés de Myrath.




Il existe à l’heure actuelle 3.021 entreprises nationales et internationales activant dans le domaine de l’agroalimentaire ce qui, non seulement renseigne sur les possibilités d’embauche existantes, mais laisse également augurer des lendemains prometteurs pour la filière.

PUBLIE LE : 11-10-2015 | 0:00

 

Il existe à l’heure actuelle 3.021 entreprises nationales et internationales activant dans le domaine de l’agroalimentaire ce qui, non seulement renseigne sur les possibilités d’embauche existantes, mais laisse également augurer des lendemains prometteurs pour la filière.

 L’université Mentouri de Constantine vient de publier sur son portail un rapport particulièrement éloquent sur le recrutement dans la filière de l’agroalimentaire, et ce aussi bien dans le secteur public que celui privé. Ainsi, il apparaît à la lecture des données mises en ligne que, contrairement à certaines allégations, la filière en question, deuxième industrie du pays après l’Énergie, connaît une dynamique de recrutement notable. En effet, rien que pour l’année en cours, de nombreux postes ont été créés, en premier lieu dans le secteur de l’enseignement supérieur, et plus précisément au niveau des directions des Œuvres universitaires (DOU) de Constantine, Oran et Biskra, qui ont procédé au recrutement d’ingénieurs de laboratoire universitaires ainsi que d’ingénieurs de laboratoire en nutrition et sciences alimentaires, de même qu’au niveau des universités de Constantine et Oum El Bouaghi à l’Est, Tizi Ouzou au centre, Mascara et Oran à l’Ouest et Djelfa au Sud. Le secteur du commerce n’est pas en reste, pour preuve, les annonces passées par les directions du commerce des wilayas de Batna, Béjaïa, Aïn Defla, Bouira, Oran et Béchar pour l’embauchage d’inspecteurs principaux de la répression des fraudes diplômés en nutrition et technologies agroalimentaires. D’autres départements, à l’image de celui de l’Industrie ou encore celui de la Formation et de l’Enseignement professionnels, proposent de leur côté des postes d’ingénieurs d’État et d’enseignants. Cependant, la part du lion revient au secteur privé lequel offre davantage de perspectives aux diplômés de l’institut de la nutrition, de l'alimentation et des technologies agroalimentaires (INATAA), en ce sens qu’il y a un foisonnement et une diversité des postes proposés, et qui vont d’agent qualifié en assurance qualité à ingénieur en agroalimentaire, en passant par  ingénieur de laboratoire, acheteur de produits alimentaires et responsable de la production agroalimentaire.
Par ailleurs, les auteurs de cette étude «non exhaustive», la collecte de données n’étant basée que sur les placards publicitaires parus dans la presse et sur les sites de recherche d’emploi, rappellent qu’il existe à l’heure actuelle 3.021 entreprises nationales et internationales activant dans le domaine de l’agroalimentaire (source : www.annugate.com), ce qui, non seulement renseigne sur les possibilités d’embauche existantes, mais laisse également augurer des lendemains prometteurs pour la filière. La seconde partie de la publication reprend les textes de loi, arrêtés interministériels et décrets exécutifs, régissant le recrutement des diplômés du domaine, avec notamment la correspondance de la direction générale de la fonction publique portant la référence DGFP 01/2012 laquelle précise les catégories de fonctions pour les diplômés de l’INATAA, à savoir inspecteur principal de la répression des fraudes pour les corps particuliers à l’administration du commerce, ingénieur d’État en agronomie dans les corps particuliers des administrations de l’agriculture, ingénieur d’État en agronomie dans les corps particuliers des directions de l’industrie et de la promotion des investissements, enseignant spécialisé dans la formation et l’enseignement professionnels, ingénieur d’État de laboratoire universitaire, avec en prime l’accès à tous les concours de la fonction publique exigeant le diplôme d’ingénieur d’État ou équivalent, ce qui prouve, de manière irréfutable, que le titre délivré par l’institut en question est pleinement reconnu.
Pour rappel, une partie des étudiants de l’INATAA avait entamé en janvier passé un mouvement de grève dont la revendication principale était justement la reconnaissance de leur diplôme par la fonction publique, ce qui dénote au mieux une incompréhension, au pire une méconnaissance des dispositions appliquées en la matière.
Le spectre de l’année blanche a été écarté de justesse grâce au travail de sensibilisation mené par l’administration de l’université Mentouri et la reprise des cours s’est opérée au mois de mai, d’où la prolongation de l’année universitaire jusqu’en octobre.
I. B.


Le tourisme, le transport et la topographie sont les nouvelles offres de formation qui seront enseignées à l'université Mentouri à partir de cette année universitaire 2015/2016. Cette institution de formation supérieure accueille plus de 8 600 nouveaux étudiants et ce nombre porte l'effectif total de l'université à 38 000 étudiants.

Telles sont, en quelque sorte, les nouveautés soulignées par le recteur de cette université lors de la cérémonie de rentrée universitaire solennelle organisée, hier matin, à l'auditorium Mohamed-Seddik bienyahia du campus Mentouri. Quant à l'encadrement, le recteur a indiqué qu'il est composé actuellement de 1700 enseignants. Le professeur Abdelhamid Djekoune, recteur de l'université des Frères Mentouri, a souligné qu'en matière de formation, son institution universitaire s'est toujours préoccupée d'être au diapason du développement économique et en phase avec son environnement socio-économique.

«Nous veillons toujours, a-t-il dit, à ce que les spécialités retenues pour la formation que nous dispensons aient une relation directe, une relation dialectique avec notre environnement socio-économique. Et nous attachons aussi beaucoup de prix à la qualité de la formation que nous enseignons». Et de passer ensuite à une cérémonie de remise des distinctions à de nombreux enseignants qui ont été promus au grade de professeur de l'enseignement supérieur. Deux d'entre eux, en l'occurrence Chérif Bahloul et Chaib Rachid, ont fait des déclarations et souhaité que la récompense de l'enseignant universitaire doit refléter son niveau scientifique et venir récompenser les efforts qu'il a déployé pour la mériter.

«Elle ne doit pas être conjoncturelle et délivrée seulement dans des occasions officielles comme celle d'aujourd'hui, ont-ils souligné.

Avant d'ajouter que l'enseignant universitaire «souffre beaucoup, mais il fait de son mieux, avec les moyens mis à sa disposition, de travailler sur le plan scientifique pour hisser son institution universitaire à la place qu'elle mérite, ne serait-ce que sur le plan africain».


Des «Campus numériques partenaires » (CNFP), première rencontre du genre organisée par l'université constantinoise des Frères Mentouri, en collaboration avec le bureau Maghreb de l'Agence universitaire de la francophonie (AUF), seront organisés les 14 et 15 octobre en cours au campus Ahmed Hamani de Zerzara, a annoncé hier un communiqué émanant du vice-rectorat des relations extérieures, de la coopération, de l'animation, de la communication et des manifestations scientifiques de cette université. Selon ce document, l'objectif de ces journées est de permettre le partage des expériences entre les différents partenaires des trois pays du Maghreb (le Maroc, la Tunisie et l'Algérie), en mettant en valeur les efforts fournis par chaque CNFP dans la promotion des technologies de l'information et de la communication (TIC) au service de la recherche et de la formation universitaire. Et, bien entendu, des participants venant des trois pays du Maghreb cités seront les hôtes de l'université Mentouri pendant ces deux journées.

On annonce également la venue de la directrice du bureau Maghreb de l'AUF, en l'occurrence Mme Christina Robalo-Cordelo. Et tous ces participants aux campus numériques francophones partenaires vont proposer des actions plus performantes pouvant apporter une valeur ajoutée aux actions menées dans le cadre des grands axes du programme de l'Agence universitaire de la francophonie (AUF). La rencontre en question se fera aux dates indiquées à partir de 8h30 au campus numérique de l'AUF de Zerzara.


Du matériel de dernière génération permettant des prévisions météorologiques plus exactes et valables à courte échéance équipera bientôt les stations météo du pays, selon Azzedine El Amiri, ingénieur à la direction de la météo de la wilaya de Constantine. Et ce responsable de préciser, lors de l'émission «forum» de la radio régionale diffusée, hier, en direct qui a porté sur la «prévention des risques de l'hiver et autres catastrophes naturelles, à l'instar des inondations», qu'il s'agit de l'acquisition et de l'installation prochainement de trois radars ultramodernes et de dernière génération au niveau des stations d'Alger, de Sétif et de Ouargla. Ces équipements de grande puissance peuvent couvrir une distance de 200 km à vol d'oiseau, autrement dit le radar qui sera installé à la station météo de Sétif pourra sans problème fournir des données fiables pour la wilaya de Constantine, «sinon rien n'empêche la wilaya de s'en équiper à son tour», dira-t-il.

Pour sa part, le directeur de la protection civile de la wilaya, le colonel Malek Kessal, et porte-parole de la commission de wilaya de préparation des conditions de prévention contre les risques de l'hiver, fera savoir que tout le travail de protection et de prévention est mis en branle sur la base du bulletin météo spécial (BMS). Et de poursuivre que la commission qui a été installée par le wali cet été 2015, est composée des directions des travaux publics, de l'action sociale, des services de sécurité (police et gendarmerie), de la protection civile, etc.

Interrogé sur les moyens dont dispose la commission et s'ils sont suffisants, il répondra «qu'il s'agit de moyens humains des directions en question et de leurs matériels, qu'elles seront amenées à mobiliser dans les interventions». Et d'indiquer que tous les points noirs et zones susceptibles de connaître des inondations, à l'instar de celles qui ont touché Ali Mendjeli au mois d'août dernier, ont été recensés et des mesures de prévention ont été prises et ce, en attendant leur éradications qui demandent du temps.

Le cas de Ali Mendjeli, ajoutera-t-il, est indicatif à plus d'un titre, où il est apparu que sur une moyenne mensuelle de précipitation de 12 mm, il est tombé plus de 100 mm en une demi-heure. Et c'est l'effet de surprise concernant l'importance des pluies et les prévisions approximatives en la matière, qui est à la base des cauchemars des autorités locales, conclura-t-il.


Page 16 of 25

Social Networks

 Twitter     

 Facebook  

  Instagram

  Youtube 

  LinkedIn

On line documentation

National system of on line documentation.



Articles by date

« April 2024 »
Mon Tue Wed Thu Fri Sat Sun
1 2 3 4 5 6 7
8 9 10 11 12 13 14
15 16 17 18 19 20 21
22 23 24 25 26 27 28
29 30          

 

 

 

University Frères Mentouri Constantine 1

University Frères Mentouri Constantine 1  P.O. Box, 325 Ain El Bey Way, Constantine, Algeria, 25017, Phone Number : +213 (0) 31 81 12 71