L'EST

M. Ziari, le ministre de la Santé a commencé son séjour à Constantine avec la visite, hier dans la matinée de trois établissements hospitaliers à Benchicou, à la cité El Bir et à Didouche Mourad ce qui lui a permis de souligner des insuffisances tout en assurant que les retards accusés en matière d’équipement ou de structures seront rapidement comblés. Al’hôpital spécialisé en cardiologie à la cité El Hayat, le ministre a pu mesurer les efforts accomplis dans la prise en charge des maladies cardiaques tout en mesurant la saignée en spécialistes dans le domaine de la chirurgie. Retenons que l’EHS de Riad sera enfin doté d’un nouveau bloc opératoire équipé rationnellement lui permettant de mieux réussir ces interventions très délicates dont certaines à coeur ouvert. A l’EHS El Bir, plus axé sur la médecine générale, le ministre n’a pas manqué de déplorer un certain sous-équipement notamment dans le domaine ophtalmologique et surtout dans le secteur des urgences médicales. M. Ziari insistera sur la nécessité de doter cet hôpital d’un matériel adapté qui lui manque en incitant à plus d’effort et à une meilleure organisation des services « dont le rôle auprès des populations n’est pas à souligner ». Mais l’urgence concerne encore plus le personnel qualifié nécessaire au bon fonctionnement de ces services. La troisième visite d’inspection sera pour l’hôpital de Didouche Mourad dont l’ouverture complète est annoncée depuis des lustres et dont personne ne voit l’aboutissement. Le ministre est au fait des efforts locaux depuis que cet établissement a été cédé par l’armée à l’institution civile voici bientôt 4 années. Après deux années d’immobilisme, l’hôpital de Didouche Mourad à commencé lentement sa conversion et a reçu enfin des équipements entrant dans les besoins d’une relance annoncée. En attendant que celle-ci se concrétise, vraiment l’EHS de Didouche Mourad a pu tout de même ouvrir l’hôpital du jour et le service des urgences qui fonctionnent dans de bonnes conditions. Pour sortir de cette situation, le ministre a annoncé que 29 milliards sont débloqués afin de finaliser les aménagements nécessaires à l’ouverture de l’EHS. Selon M. Ziari, cet hôpital sera entièrement fonctionnel courant 2014. Dans l’après-midi le ministre devait rendre visite à la polyclinique à l’UV 9 de la nouvelle ville Ali Mendjeli avant de se rendre à l’hôpital militaire de cette ville où il a pu apprécier l’ordonnancement, les capacités d’accueil et surtout les équipements modernes qui font la réputation de cet établissement. Après la pose de la première pierre du centre national de contrôle des produits pharmaceutiques à Ali Mendjeli et l’inauguration du centre de don du sang, le ministre devait se rendre à la clôture des journées d’étude consacrées aux affections du cancer. Notons qu’auparavant le ministre a visité le CHU Benbadis et en particulier le centre de cancérologie où les nouveaux équipements (3) de radiothérapie déjà installés, doivent entrer en fonction.


Le parc des infrastructures scolaires sera renforcé par plus de 20 nouveaux établissements tous paliers confondus, dans la wilaya de Constantine. Selon des sources proches de la direction de l’éducation, plusieurs établissements seront fonctionnels dès le premier jour de cette rentrée prévue dimanche prochain, soit le 15 septembre courant. «La plupart de  ces établissements ont été réalisés dans le cadre du programme d’urgence de la mise à niveau de la nouvelle ville Ali Mendjeli afin de diminuer la surcharge constatée l’année dernière, résultat du  transfert massif et rapide de populations suite aux opérations de relogements effectuées», dit-il. Notre source a précisé qu’il s’agit de 10 groupements scolaires pour le niveau primaire, de 6 collèges d’enseignement moyen (CEM), et de 6 lycées pour le palier du secondaire.
Le secteur de l’éducation sera doté de 10 nouvelles écoles primaire dont 6 seront implantées à Ali Mendjeli, 2 à la ville nouvelle Massinissa, une à Hamma Bouziane et une a Ibn Ziad. Concernant le palier du moyen, 4 collèges seront fonctionnels à Ali Mendjeli, un dans la localité de Oued Hdjar, dans la commune de Didouche Mourad, et un autre à Bergli, dans la commune de Aïn Smara.
Le palier du secondaire sera renforcé par 6 nouveaux lycées, dont 4 réalisés à Ali Mendjli et deux autres dans les communes d’El Khroub et de Didouche Mourad. Le même responsable a affirmé que ces nouvelles infrastructures seront équipées de tous les moyens nécessaires pour accueillir les élèves dans les meilleures conditions, précisant que le transport et la restauration restent une priorité ; ils seront pris en charge à partir de la première semaine de la rentrée scolaire, notamment en milieu rural.
A noter que plus de 205 000 élèves sont attendus pour cette rentrée scolaire, tous paliers confondus, dont 170 680 nouveaux inscrits. Ratiba B.      


Le bibliobus fait recette

Published in La Revue de Presse September 08 2013

« Mettre en avant le livre sur toutes les places publiques afin d'intéresser et de faire aimer le livre et la lecture», tel est l'objectif du festival «Lecture en fête» qui se déroule du 1er au 15 de ce mois, nous déclare M. Bechiri Abdelaziz, bibliothécaire, responsable du bibliobus.

A cet effet, et pendant 15 jours, le bibliobus, qui durant l'année sillonne les 12 communes et leurs cités, a élu domicile fixe à la place du 1er Novembre 1954, en face du Théâtre régional de Constantine et la Grande Poste, soit au cœur du centre-ville.

M. Bechiri Abdelaziz, à qui on reprochait le choix de ce lieu «bruyant et presque chaotique, en matière de densité humaine», dira que «au contraire, c'est le lieu idéal pour un bibliobus qui ne fait que des prêts», dit-il, «c'est un passage obligé pour tout visiteur de Constantine». Et d'ajouter, « ici la culture est chez elle, et historiquement, cet espace a toujours été le lieu culturel de la ville», et «c'est ici que se produisaient, en plein air, chanteurs et groupes de théâtre». Et pour conclure sur ce chapitre, il assénera, «nous n'abdiquerons pas devant les revendeurs de portables et autres cambistes, car ce sont eux qui ne doivent pas y être». Pour ce qui est de l'engouement public pour la lecture, il indiquera que «l'opération connaît un début très encourageant». «En témoigne cette grande quantité de pièces d'identité qui sont autant de prêteurs, donc de lecteurs», se réjouit M. Bechiri Abdelaziz.

Des lecteurs d'âges, de profils et de goûts divers. On y rencontre des enfants et des retraités. Et «grâce à la richesse de nos rayons, 7.000 livres, on arrive à satisfaire toutes les demandes, soit en moyenne 100 livres prêtés, par jour», explique M. Bechiri Abdelaziz.

Les enfants, auxquels cette manifestation est destinée en particulier, sont les plus gâtés, dit-il.

«Nous disposons d'une gamme variée de bandes dessinées et de contes, adaptées et personnalisées, d'autres comportant des activités et des jeux de compréhension qui peuvent les amuser et les intéresser».

Au-delà du but affiché, donner l'envie de lire à l'enfant et aux jeunes, c'est aussi une façon de sauvegarder, d'enrichir et de promouvoir notre patrimoine «écrit», dit M. Bechiri. Il ajoute, «les enfants d'aujourd'hui risquent de ne plus connaître ce plaisir de prendre un livre, de le feuilleter, tellement ils sont envahis par le tout numérique».

Mais M. Bechiri Abdelaziz affiche la volonté de son institution qui «œuvre sans relâche à accompagner les enfants et les étudiants, dans leurs parcours, en mettant à leur disposition un moyen efficace de réussite : le livre». M. Bechiri loue les efforts consentis par la bibliothèque de Constantine qui «n'a pas lésiné sur les moyens pédagogiques, humains et matériels», jusqu'à «ne rien envier à celles, européennes, pionnières en la matière», conclut-il.


Les signalisations lumineuses et sonores du tramway de Constantine ont été prises en compte et «d'ici un mois à un mois et demi, il sera procédé à la mise en place des premiers équipements nécessaires à cet effet», nous a appris M. Bouras, responsable à la direction de la société d'exploitation Setram/Constantine. Même si, en vérité, fera-t-il remarquer, «les plaques de signalisation existantes suffisent amplement en indiquant l'essentiel, à savoir que la priorité en matière de circulation et selon le code de la route lui-même, est toujours au tramway». Ainsi, normalement «nous n'avons pas besoin de signalisations lumineuses, surtout en considérant également que nous avons recruté près de 140 agents, répartis entre les différents carrefours existant sur le parcours du tramway ainsi qu'à l'intérieur des 10 stations pour gérer le flux automobile au niveau des points de croisement. «Ces agents ont, aussi, pour principale mission d'informer et d'orienter les usagers pour tout ce dont ils ont besoin concernant le tramway». «Cependant nous allons installer ladite signalisation, car «les études initiées à cet effet sont actuellement achevées et ne reste que le passage à l'exécution du projet», indiquera-t-il. Et dans ce cadre, précise encore notre interlocuteur, «la Setram commencera à procéder à l'installation des équipements nécessaires, en panneaux lumineux au niveau des dix stations que compte le tramway et après une période de réglage indispensable qui ne saura excéder la fin de l'année en cours, le système sera opérationnel». Ultérieurement, il sera procédé aussi à la mise sur pied de la signalisation sonore au niveau des carrefours ainsi que des stations, pour l'orientation des citoyens handicapés visuels pour les encourager à prendre le tramway et leur signifier qu'il est fait également pour eux et qu'ils n'en sont pas exclus.


Le directeur des Affaires religieuses de la wilaya de Constantine, M. Azzouza, a annoncé, hier, à la radio qu'un certain nombre de mosquées anciennes, situées à l'intérieur et à l'extérieur du ‘Vieux rocher', sont concernées par le programme de rénovation et de réhabilitation, arrêté par son département, pour préparer l'avènement de la manifestation «Constantine capitale de la Culture arabe, en 2015». A ce propos, le responsable local du secteur des Affaires religieuses a cité, pêle-mêle, la mosquée du ‘Bey', la grande mosquée de la rue Larbi Ben-M'hidi, la mosquée ‘Sidi El-Kettani', les mosquées ‘Sidi Mimoune', ‘Sidi Abdelmoumène', la mosquée ‘Sidi Lakhdar' ainsi que celles des zaouias ‘Tidjania inférieure et supérieure, de ‘Sidi Berrar', ‘Essaïda Hafsa' et la zaouia ‘Aïssaouia'.

Ensuite, il a indiqué qu'environ 29 autres mosquées, situées en dehors du périmètre urbain de la vieille ville de Constantine, sont concernées par le même programme de rénovation et de ravalement des façades. Et de citer, dans ce cadre, la mosquée ‘Khadidja Oum- el-Mou'minine' d'El Ménia, ‘Aicha Oum el Mou'minine du ‘Chalet des pins', les mosquées ‘el-Islah' et ‘Al-Wihda' dont les constructions seront complétées avec les minarets et dotées d'éclairage.

M. Azzouza a indiqué, ensuite, que les opérations de ravalement et de rénovation seront confiées à l'office compétent du ministère de la Culture. Toutefois pour les projets situés hors de la commune de Constantine, le wali les a confiés au bureau étude de l'Urbanisme, du Bâtiment et de la Construction (Urbaco), qui travaillera en coordination avec la direction des Affaires religieuses. «Toutes les études sont sur le point d'être finalisées, a affirmé le directeur des Affaires religieuses et cela va permettre aux services concernés d'évaluer le coût financier de l'opération avant l'octroi de l'enveloppe financière. A ces projets seront associés tous les professionnels spécialisés dans l'architecture islamique de style maghrébine et mauresque.»

En plus de ces projets, qui verront le jour avant la manifestation, prévue à partir d'avril 2015, un centre arabe de recherches et d'études islamiques sera réalisé sur un terrain ‘wakf' faisant partie de l'enceinte de la mosquée ‘Emir Abdelkader'. Et ce projet sera concrétisé, également, avant le lancement de la grande manifestation internationale. Cette nouvelle structure sera placée sous l'égide du ministère des Affaires religieuses et du Wakf, mais il n'est pas exclu qu'elle puisse faire appel à un encadrement scientifique qui serait fourni par l'Université des Sciences islamiques (USIC) ‘Emir Abdelkader' qui, comme on le sait, fait partie du secteur de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.



Université Constantine 1 : Rencontre des recteurs et présidents d’universités - La rentrée universitaire 2013/2014 qui précède la rentrée solennelle devant avoir lieu le 1er octobre prochain, a été marquée hier par la tenue d’une importante rencontre à l’université de Constantine 1. Celle qui a réuni les recteurs, présidents des universités et des directeurs de grandes écoles et autres institutions d’enseignement supérieur membres de l’AUF (Agence universitaire de la Francophonie). Après le mot de bienvenue de Abdelhamid Djekoun, recteur de l’Université de Constantine et président de la Conférence régionale des universités de l’Est. Ce fut ensuite autour de Abdelatif Miraoui, président de l’AUF et de l’université Cadi Ayad de Marrakech et de madame Cristine Robalo-Codeiro, directrice du bureau maghrébin de l’AUF, de présenter tout à tour les grands axes de la stratégie du bureau Maghreb. Il s’agit, en premier  lieu, de procéder, est-il précisé, du projet pilote de l’auto-évaluation des universités. Une action qui commande la nécessité de la création d’un programme maghrébin de mobilité d’étudiants (Ibn Battuta), seul moyen capable pour les étudiants des pays du Maghreb de se rencontrer pour échanger les expériences pédagogiques, notamment. Tout comme il est indispensable que nécessaire d’aller vers la création d’un espace de concertation maghrébin des recteurs et présidents d’universités. Dans ce contexte, M. Lassaad El Asmi, président de l’université de Carthage (Tunis), a fait la présentation de la réunion des recteurs des Grands Lacs du bureau AUF (BACGL) pour justement permettre une évaluation des expériences lors de cette rencontre. Tout comme il fut question de la création d’une conférence maghrébine de dirigeants des établissements d’enseignement supérieur (CONFREM) : statut réglementaire, intérim, mode de fonctionnement.

M A.
 

 



Ballet ministériel

Published in La Revue de Presse September 04 2013

Pas moins de trois ministres sont attendus à partir de jeudi prochain à Constantine. Dès jeudi, donc, c'est le ministre des Travaux publics, M. Amar Ghoul, qui ouvre le bal. Ce dernier devrait procéder à l'inauguration du tronçon de l'autoroute Est-Ouest allant d'El Méridj à Zighoud Youcef, puis au lieu dit Mihoubi, situé au PK 228, avant la montée d'El Kantour en face de la mosquée Doghra pour faire la connexion avec le tronçon de Skikda, qui est déjà fonctionnel jusqu'à Aïn Cherchar à l'entrée de la wilaya d'Annaba.

Viendra ensuite le ministre de la Santé, M. Abdelaziz Ziari, qui est attendu dans la Ville des Ponts le samedi prochain pour une visite de travail et d'inspection. Celui-ci doit continuer encore sa virée à l'Est en se rendant le lendemain même à Skikda. Et pour clore ces visites, le ministre de l'Education nationale, M. Baba Ahmed, doit procéder à l'ouverture solennelle de l'année scolaire 2013/2014 dimanche 8 septembre à partir de Constantine. Dense activité ministérielle attendue à Constantine, chose qui va certainement provoquer une congestion terrible de la circulation routière.


Obligé de faire sa mue, l'hôtel, qui se confond avec le décor du cœur de la ville des ponts et qui porte d'ailleurs son nom, est l'objet de toutes les attentions des pouvoirs publics. M. Ahmed Mecheher, le chef de réception à l'hôtel «Cirta», qui nous a reçu, hier, ne tarit pas d'éloges en évoquant le passé, l'histoire et la «symbolique» que représente l'institution «Hôtel Cirta» dans la mémoire collective des Constantinois. Et ce, depuis plus d'un siècle (le centenaire célébré en 2012).

Passés ces courts moments d'émotion, M. Mecheher revient à la réalité actuelle de l'hôtel avec ses ambitions, chiffres, statistiques et graphiques à l'appui.

Questionné sur le taux d'occupation des chambres, le chef de réception distingue deux périodes : une période creuse qui s'étend de juillet à septembre et une période faste, le restant de l'année. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, mais pour M. Mecheher, si l'été est une période creuse, c'est «parce que les gens préfèrent la mer», dit-il. En cette période, le taux d'occupation est de 60%, alors qu'il est de 80% en période faste. C'est ainsi que pour la période janvier-juillet 2013, ce sont 707 étrangers qui ont séjourné à l'hôtel. On y trouve surtout des Français, des Anglais, des Américains et des Japonais. Pour la clientèle algérienne, et pour la même période, ce sont 3.980 personnes qui ont fréquenté l'établissement.

A la remarque qu'à la lecture de ces chiffres, ce n'est quand même pas la ruée, M. Mecheher avoue que «le plan de charge fonctionne beaucoup avec les séminaires, les colloques et autres rencontres nationales et internationales». En témoigne le profil des arrivants, locaux et étrangers, qui sont pour la plupart des cadres supérieurs représentant les grandes sociétés, des universitaires, des chercheurs et autres scientifiques venus dans le cadre d'échanges interuniversitaires.

Bien sûr, on ne peut éviter d'aborder le volet des prix, du cadre de vie à l'intérieur de l'hôtel, la qualité des prestations, l'hygiène et la sécurité. Côté prix, dira M. Mecheher, «nous pratiquons une politique susceptible de favoriser la destination Algérie». Et d'ajouter: «Des réductions de 10 à 20% sont accordées aux agences de voyages dont l'ONAT et le Touring voyages». Quant aux particuliers qui arrivent pendant les périodes creuses, les réductions peuvent atteindre 20%. Un tarif spécial est réservé aux nouveaux mariés qui effectuent un voyage de noces, 4.900 DA la nuitée dans une suite luxueuse, «c'est un prix qui défie toute concurrence», affirme M. Ahmed Mecheher.

Alors, l'hôtel Cirta a-t-il aujourd'hui les moyens pour pouvoir rivaliser avec ces monstres, leaders mondiaux de l'hôtellerie, qui voient le jour dans la ville et sa périphérie ? La réponse est «non… mais», rétorque notre interlocuteur, parce que l'hôtel est sur le point de lancer de grands travaux de rénovation. La rénovation de tout le matériel existant, toutes les installations électriques, la tuyauterie ainsi qu'une meilleure organisation de l'espace qui permettra la réalisation d'une grande salle de conférences. Ces travaux seront réalisés en collaboration avec la société d'investissement hôtelier et un organisme étranger «probablement la société Marriott», précise M. Mecheher. Une fois rénové et élevé au rang des grands hôtels modernes, Cirta sera-t-il géré par une entité étrangère, la chaîne Sheraton dont le nom est évoqué avec insistance ? «Oui, mais pas exclusivement étrangère», indique M. Mecheher, «ce sera en partenariat avec un organisme national».

Le chef de réception de l'hôtel Cirta est conscient qu'une adaptation aux normes universelles est nécessaire. Il y va de l'existence même de cette structure historique. Mais, pour lui, il n'est pas question non plus que sous le couvert de la modernité, «Cirta» perde de sa spécificité. L'aspect général extérieur doit être conservé, les fresques et les vieilles photos, en noir et blanc, qui ornent les murs sont éternelles, comme il ne sera jamais question que «Cirta» change de nom. «Oui pour que Cirta change de look, mais non pour qu'il perde son âme», conclut M. Ahmed Mecheher.


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