dimanche, 05 avril 2015 - Université Frère Mentouri - Constantine 1
dimanche, 05 avril 2015 11:40

Le Panoramic ne veut pas rater le 16 avril

        L'hôtel Panoramic sera-t-il fin prêt le 16 avril pour accueillir les tout premiers visiteurs et participants à l'événement culturel ‘‘Constantine capitale de la culture arabe'' ? Sinon, sera-t-il ouvert, pour ne serait- ce que trois ou quatre jours, à l'instar de l'hôtel Marriott, et fermer tout de suite après pour finir les travaux selon les règles de l'art ? D'après une affiche de la société chargée de la réhabilitation de l'hôtel Panoramic (sino-espagnole), pour l'heure encore en chantier, les travaux arriveront à leur terme dans quinze jours. « C'est en effet une récente promesse faite par les responsables de l'entreprise en question au wali, lors de sa dernière visite d'inspection des lieux, qui a déjà accordé auparavant à ladite entreprise une rallonge temporelle de deux mois, son contrat ayant déjà expiré », nous a informés, hier, un technicien sur les lieux. Toutefois, tout porte à croire que l'hôtel ouvrira prochainement, du moment que les ouvriers chinois étaient en train de finaliser les dernières phases des différentes installations. Et, surtout, que toutes les chambres ont été totalement équipées, et sont de ce fait fin prêtes pour accueillir des clients, comme on l'a constaté hier de visu. Le Panoramic, cette ancienne bâtisse qui faisait office de clinique au temps de l'occupation française, souligne-t-on, pourra espérer, une fois les travaux terminés, gagner de nouvelles étoiles. Une nouvelle cage d'escaliers indépendante a été annexée sur son aile gauche et servira exclusivement au déplacement du personnel entre ses 12 étages et donnera donc plus d'intimité aux clients, ce qui n'était pas le cas auparavant. Les séparations de briques entre les chambres ont été toutes supprimées pour être remplacées par un matériau appelé BA13 très moderne et très en vogue en Europe, dit-on. « Des couches plus minces de bois en contreplaqué font gagner de l'espace aux chambres, et donnent plus de commodités et de facilitations, si d'autres aménagements sont prévus, le cas échéant ultérieurement », note notre interlocuteur. Terminé aussi, les fils pendants et les canalisations à portée de vue des différentes installations, maintenant tout est encastré dans les murs, même le réseau Internet. Sans oublier, apprend-on de la part de notre interlocuteur, un important atout qui palliera le manque d'espace de stationnement, le futur parking souterrain étant actuellement en phase d'étude et sera aménagé au niveau du terrain vague jouxtant l'hôtel dans le quartier Bardo.

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             Ce n’est pas tous les jours qu’on rencontre des slameurs à Constantine. Mais l’atelier et le concours de slam organisés par l’institut français, et dirigés par le français Vincent le Borhis, slameur professionnel, ont été l’occasion inespérée de découvrir des trésors cachés. Des talents qui auraient fait le bonheur de Malek Haddad. La formation, entre dans le cadre du printemps des poètes 2015, sous le thème «Voix de la ville, voie de la rue», s’est étalée sur 4 jours, couronnée par un tournoi, organisé le 1er avril, et ce n’est pas une blague ! Lors de notre rencontre avec ces jeunes timides, le mot «thérapie», revenait comme un leitmotiv pour exprimer leur soif d’une expression libre. Mais avant d’aller plus loin, Qu’est-ce que le slam ? Il s’agit d’une poésie récitée sur fond musical ou pas ; c’est surtout un art d’expression orale populaire, pratiqué généralement dans des lieux publics, à la marge du système du showbiz. Le slam joint écriture et oralité, le tout dans une simplicité extrême. Tous les thèmes sont permis, à condition d’utiliser ses propres textes. A la base, c’est un mouvement américain initié par Marc Smith à Chicago en 1986, dans un bar de jazz, le Green Mill Tavern. «Pour moi, le slam est un besoin, qui s’est installé au fil du temps, surtout pour faire sortir mes ressentis vis-à-vis de tout ce qui m’entoure, chose qui n’est pas toujours aisée dans une société où la communication laisse à désirer», confie Sabrina, jeune slameuse rencontrée à l’IF. Expression libre Sabrina est une étudiante de médecine, tombée amoureuse de l’écriture dès son jeune âge ; elle est aussi l’heureuse lauréate du concours organisée mercredi. Elle aura donc l’occasion et la responsabilité de représenter la ville lors de la finale nationale, prévue le 14 avril à l’institut français d’Alger. Le gagnant de ce tournoi pourra participer au tournoi international qui aura lieu juin prochain en France. Lorsqu’on a abordé la question de la scène, en tant qu’espace d’expression, les jeunes participants à l’atelier, ont été unanimes à exprimer leur besoin de scènes, surtout ouvertes. Une scène ouverte est une scène où tout le monde peut déclamer ses rimes devant le public. Cette rencontre poétique a été l’occasion de découvrir des talents cachés, à l’image de Camelia, jeune fille d’à peine 14 ans, qui s’exprime d’une manière très subtile, avec beaucoup de profondeur. Son texte labyrinthe le montre si bien. Il n’y avait qu’à voir, le bonheur sur le visage de ces artistes en herbes qui se sont exprimés sur la scène ouverte de l’institut, même si pour beaucoup c’était la première fois. El Waw, Lord-M, Sabrina, Camelia, Camille, Youcef, Nora, Ayoub, Med-i, et tant d’autres n’ont pas lésiné sur les rimes pour nous faire entrer dans leurs mondes qui subliment la réalité avec beauté.

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dimanche, 05 avril 2015 11:37

La wilaya dispose de 2800 lits

      M. Hocine Labed, Directeur de wilaya du tourisme et de l’artisanat, à l’approche du grand évènement tant attendu du 16 avril 2015, a tenu à faire le point des capacités d’hébergement disponibles dans la wilaya qui ont fait un bon spectaculaire avec 2800 lits. Constantine dans la course au développement du tourisme a toujours montré des faiblesses chroniques en matière d’hébergement surtout de qualité. La capitale de l’Est, important centre d’échanges culturels et socio-économiques a accusé un retard préjudiciable à un moment ou d’autres villes comme Oran, Annaba misaient sur un avenir touristique. Les capacités d’accueil en déficit depuis 50 années se caractérisaient surtout par « leur bas de gamme » répondant à des besoins somme toute primaires, qui ne correspondent aucunement aux ressources touristiques à exploiter. Après l’indépendance et durant près d’un demi-siècle les opportunités offertes par le site urbanistique et naturel par le développement d’un artisanat séculaire ces dernières années pour voir se développer de nombreuses infrastructures hôtelières en nombre et en qualité chez le secteur public et privé. A ce sujet, le ministre citera l’hôtel « Mariott » dernier né de la série, ainsi que les hôtels Cirta, Novotel, Ibis et dans la daïra du Khroub Arc en ciel, Hocine, tous bénéficiant de 2 à 5 étoiles «de niveau international». Avec cette infrastructure hôtelière de qualité l’évènement d’avril 2015 de Constantine capitale de la culture arabe sera assuré de faire honneur aux centaines de visiteurs venus des pays arabes et au-delà. Toutefois dira le ministre, si le besoin s’en faisait sentir, nous n’hésiteront pas à utiliser les capacités hôtelières dans les wilayas limitrophes comme Sétif, Mila, Oum El Bouaghi, voire Annaba ou Skikda.

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    Hocine Ouaddah, le chef de l’exécutif s’est dit satisfait du rythme de travail imprégné sur les différents sites visités tels que le salon d’honneur de l’aéroport international Mohamed Boudiaf ou encore la mosquée Emir Abdelkader et le théâtre régional de Constantine. Un satisfécit exprimé au terme de la énième sortie effectuée, hier matin, et à travers laquelle il a constaté une très nette amélioration dans l’avancée des travaux. Ce qui lui a permis du reste, d’avancer les dates de réception des dits ouvrages, dont l’importance n’est plus à démontrer pour le succès de la grande manifestation de la culture arabe 2015 dont le coup d’envoi est fixé pour le 15 avril. Le wali s’est montré, par ailleurs très satisfait contrairement aux visites précédentes, de la qualité du travail effectué, notamment au salon d’honneur de l’aéroport où l’architecture arabo mauresque a donné une dimension supplémentaire à l’ouvrage qui se veut être la vitrine de la cité millénaire « élue » pour abriter l’événement culturel international de l’année. Autre motif de satisfaction du wali, la fin annoncée des travaux de l’esplanade de l’Emir Abdelkader et également ceux entrepris au niveau du TRC dont la réception est prévue pour la fin de la semaine en cours. De bon augure donc, après l’annonce également de la réception de l’imposant palais de la culture Mohamed Laïd Al Khalifa, dans les mêmes circonstances. Il est tout de même vrai que la forte mobilisation a contribué pour beaucoup dans le gain du temps et du résultat.

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     Dans le cadre de « Constantine capitale de la culture arabe 2015 », la commission exécutive de la manifestation annonce l’ouverture officielle, aujourd’hui à 10 h du centre de presse international (CPI) dont le siège est situé au Boulevard Zighoud Youcef dans le quartier de la Casbah. Tout comme il est précisé que la cérémonie d’inauguration sera présidée par Hamid Grine, le ministre de la communication en présence du wali Hocine Ouaddah, de Sami Bencheikh El Hocine le commissaire de la manifestation ainsi que plusieurs hauts responsables du secteur de la communication tels que Toufik Kheladi, directeur général de la télévision, Chaabane Lounakel directeur général de la radio national, Abdelmalek Houyou directeur générale de TDA, de Hamid Kacha directeur général de l’APS, de Tahar Bediar directeur du centre international de presse. A l’occasion, il sera procédé à la signature d’un protocole d’accord portant sur la coopération entre le commissariat de l’évènement et la télévision et radio algérienne, ainsi que le lancement de la revue « Maqam » chargée de l’information culturelle et de tous les supports publicitaires relatifs à la manifestation. M A.

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       Après la résiliation de son contrat : Cojaal reprend le projet du tunnel de Djebel Ouahch La résiliation du contrat avec le consortium Cojaal n’a finalement pas eu d’effet. L’entreprise japonaise revient à Constantine pour reprendre le chantier du tunnel de Djebel Ouahch, dont elle était en charge il y a tout juste quinze mois. C’est le ministre des Travaux publics, Abdelkader Kadi, qui a fait cette annonce lors de son passage, mercredi dernier, à la Télévision nationale. Après moult tractations au plus haut niveau, les Etats algérien et japonais ont fini par trouver un terrain d’entente. Cojaal aurait souhaité reprendre le projet comme sortie de crise. Le ministre de tutelle avait multiplié les déclarations concernant ce problème, dont il impute toute la responsabilité au partenaire nippon. Récemment, M. Kadi a réitéré devant l’APN le souci de parvenir à une solution arrangeant les deux parties : «Pour éviter le recours à l’arbitrage international, l’Algérie et le Japon ont entamé un débat d’Etat à Etat et non pas d’entreprise à Etat, ce qui nécessite un peu de temps, tandis que la compagnie japonaise cherchait des solutions techniques et s’employait à éviter l’arbitrage international.» Pour rappel, en raison du retard accusé dans la réalisation du deuxième tronçon de l’autoroute Est-Ouest d’une longueur de 399 km reliant trois wilayas de l’est du pays (Constantine, Annaba et El Tarf), l’Agence nationale des autoroutes (ANA) avait procédé à la résiliation du contrat avec Cojaal. Et pour résoudre les problèmes dus à l’effondrement du tunnel de Djebel Ouahch, survenu le 1er janvier 2014, la réalisation d’une rocade près du tunnel, sur 13 km, a été lancée mais sa réception, prévue pour le mois en cours, est reportée à juin prochain. Pour certains observateurs locaux, cette «livraison» est une vue de l’esprit, car beaucoup de contraintes techniques persistent, dont des fissurations. «Dans l’art minier et tout spécialement pour le creusement de tunnels, il n’est pas toléré de laisser longtemps un soutènement provisoire (cintres) à l’exercice des forces du terrain de recouvrement. Les cintres peuvent éclater, comme ce fut le cas le 1er janvier 2014. La structure en béton doit impérativement remplacer les cintres pour éviter les risques d’affaissement ou d’effondrement de l’ouvrage», a développé un expert. Il est évident que la réalisation de ce projet bute sur quelques écueils que les quatre entreprises nationales en charge actuellement des travaux auraient des difficultés à surmonter. D’où le déplacement, aujourd’hui à Constantine, pour la troisième fois en un mois, de M. Kadi qui a exigé une expertise de la stabilité du sol. Dans ce contexte, le retour du consortium Cojaal ne peut que répondre à une urgence. 

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