Wednesday, May 15, 2024

December 2016 - Université Frère Mentouri - Constantine 1
Tuesday, 28 October 2014 12:21

Le marché «perdu» de Bellevue

par A. Mallem | le quotidien d'oran

« C'est un projet conçu à l'époque pour doter chaque quartier d'un marché de proximité. Ensuite, les autorités locales l'ont annulé à cause de l'anarchie et les conditions anormales qui avaient entouré l'élaboration de ce dossier, notamment la procédure de versement dans les comptes bancaires des entrepreneurs choisis pour la réalisation de ces marchés. Franchement, à l'heure actuelle, je n'ai aucune information sur la suite qu'a connue ce projet dont je n'ai plus entendu parler. Mais il est certain que beaucoup de jeunes commerçants ont versé de l'argent aux entrepreneurs ». Tel est le contenu de la réponse qui nous a été fournie, hier, par le responsable du patrimoine de l'APC de Constantine à propos du projet, datant de l'année 2000, pour la construction d'un marché couvert au niveau du quartier de Bellevue. A part ce responsable, nous avons tenté en vain de joindre pour avoir, ne serait-ce que des bribes d'informations sur le sort réservé à ce marché « fantôme », ce marché « mort-né », comme l'ont qualifié certains. Et chaque responsable répondait qu'il n'était pas au courant de ce dossier après la succession de trois maires à la tête de la municipalité du vieux rocher.

Pourtant, ceux qui ont versé de l'argent dans les comptes bancaires des entrepreneurs, des jeunes commerçants, qui ne sont plus de cet âge aujourd'hui, sont encore là à attendre la concrétisation des engagements faits par les services de la mairie de construire à leur intention un marché couvert dans le quartier de Bellevue.

«Nous sommes environ 70 qui ont été retenus dans le cadre du dispositif de l'emploi de jeunes et qui avons versé, chacun, 132.000 dinars (treize millions de centimes) en quatre mensualités opérées entre le 24 novembre 2000 et le 20 février 2001. Et cet argent ne nous a jamais été restitué», nous a déclaré hier l'un d'eux, M. Boughazi Fouad, qui s'est présenté à notre bureau en nous révélant cette histoire. Et de nous présenter la copie de la convocation qui leur avait été adressée à l'époque par la mairie de Constantine les invitant à verser au compte bancaire de l'entrepreneur en indiquant son nom, prénoms et le numéro du compte bancaire ouvert dans une banque de la place Si El-Haouas.

«Nous avons suivi la procédure qui nous a été indiquée et versé, chaque mois, les montants demandés sur le compte bancaire de l'entrepreneur, explique notre interlocuteur. Ensuite, nous avons attendu. Au bout de quelque temps, nous avons vu que les premières fondations du marché, à peine sorties du sol, ont été détruites et nous avons commencé alors à douter. Nous avons commencé à faire des démarches pour savoir où en est le dossier. Et nous n'avons trouvé sur notre chemin aucun responsable pour nous éclairer. Les maires qui se sont succédé nous ont déclaré, chacun à son époque, qu'ils n'étaient pas au courant du dossier. Entre-temps, nous avions perdu la trace de l'entrepreneur. Le wali auquel nous nous sommes adressés ensuite, nous avait répondu qu'il n'y a pas de marché à octroyer, mais qu'il a des locaux à vendre. Quel est notre sort maintenant, à qui devons-nous nous adresser pour avoir gain de cause et être intégrés dans l'une des formules commerciales initiées par les pouvoirs publics? Ou, du moins, se faire restituer l'argent que nous avons versé ? Autant de questions dont nous sommes convaincus qu'il est dans notre droit d'avoir des réponses convaincantes et justes », a estimé notre interlocuteur qui était accompagné d'autres jeunes commerçants qui n'ont pas, non plus, obtenu gain de cause.

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Monday, 20 October 2014 12:02

Des prothèses auditives pour 450 enfants

Un contingent de 450 enfants malentendants, scolarisés dans les centres spécialisés de la wilaya, qui sont rattachés au secteur de la solidarité nationale ou dans les établissements du secteur de l'éducation nationale, vont être pris en charge par la DAS qui va leur fournir des prothèses auditives équipées d'amplificateurs de son. «Cette opération que nous avons lancée la semaine dernière est exécutée actuellement par les APC auxquelles nous avons fourni les fonds nécessaires. Quant au recensement des élèves qui nous a permis de déterminer le nombre exact de ceux dont l'état nécessite l'emploi de tels appareils, il a été mené avec le secteur de l'éducation», nous a expliqué hier M. Abderrahmane Tigha, directeur de l'action sociale de la wilaya de Constantine.

Profitant de l'opportunité, M. Tigha nous a révélé une autre action de solidarité qui vient d'être initiée par sa direction dans le domaine du transport scolaire en milieu rural. «Pour ce qui est du transport scolaire en faveur des élèves des zones rurales, nous avons proposé à notre ministère de tutelle de doter la commune de Constantine de 10 bus de transport scolaire qui seront opérationnels, si le projet est accepté, au mois de décembre prochain». «En tout cas, précise le DAS de Constantine, la promesse nous a été faite par la tutelle». Et d'ajouter que l'objectif visé par cette opération est de lutter contre l'exclusion des filles du bénéfice de l'éducation scolaire. «Il faut dire, hélas ! a affirmé M. Tigha, que dans nos campagnes la catégorie d'élèves la plus visée par l'exclusion sont bien entendu les filles. Et quand bien même la fille rurale est studieuse, qu'elle réussit dans tous ses examens, elle reste soumise aux aléas d'ordre matériel et social car il suffit d'un petit problème, comme celui de l'absence de transport scolaire, pour que ses parents décident de la retirer de l'école».

Il expliquera ensuite que la DAS de Constantine a élaboré une étude sociale pour déterminer les besoins de la wilaya dans ce genre d'équipement, à savoir le transport scolaire. Ensuite, a-t-il signalé, le wali a donné des instructions aux présidents des APC afin de renforcer ce secteur, et ce en les invitant à signer des conventions avec le secteur privé pour la prise en charge du transport scolaire des enfants habitant dans les zones rurales et ce en s'appuyant sur les budgets supplémentaires qui leur sont souvent alloués par la wilaya.

«Les besoins que nous avons dénombrés dans ce domaine sont de l'ordre de 27 bus. Et toute dotation qui viendra d'un secteur ou de l'autre est la bienvenue», a conclu le directeur de l'action sociale.

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La chambre des arts et des métiers de Constantine a lancé un cycle de formation en ferronnerie d'art, qui a démarré hier et va durer jusqu'au 18 novembre, au profit de 30 jeunes artisans, originaires d'une dizaine de wilayas de l'est du pays. C'est ce que nous a annoncé hier la responsable du service «formation» à ladite chambre. Les participants à ce stage, qui viennent notamment des wilayas de Mila, El Taref, Skikda, Annaba, Sétif, Oum El Bouaghi et Jijel, auront à suivre un enseignement théorique concernant le volet conception de cet artisanat d'art, mais également une formation pratique sur le tas. Ainsi et selon notre interlocutrice, en vertu d'une convention signée avec la direction de la formation professionnelle de la wilaya de Constantine, les cours de conception seront assurés par des enseignants du centre de formation CFPA «Palma» et au niveau de ce centre, qui est situé à la zone industrielle du même nom, à proximité de la gare routière de la cité Boussouf. Tandis que le volet pratique et la formation sur le tas se fera auprès de deux maîtres artisans, dont les ateliers sont situés au quartier de Sidi Mabrouk. Et d'indiquer que ce cycle de formation initié pour la première fois dans la wilaya donnera droit à terme à des attestations de qualification délivrées par la chambre, qui ouvriront droit à l'obtention de la carte d'artisan.

Toujours selon notre vis-à-vis, cette carte qui fait office de registre de commerce donne également droit à son titulaire la possibilité d'ouvrir un atelier pour travailler à son propre compte, ou de se faire recruter dans un atelier de ferronnerie d'art. La même source indique, encore, que la chambre des arts et métiers de Constantine a déjà organisé une formation de 32 candidates dans la fameuse et célèbre «Djouzia», confiserie typique du terroir et spécialité constantinoise, s'il en est, dont la durée a été d'une semaine et qui a vu des candidates du centre du pays (Tipaza) y participer et passer le stage avec succès. Et de signaler, enfin, que la chambre est actuellement en train de préparer un autre cycle de formation programmé pour le mois de décembre prochain, dont la durée sera de près de 30 jours, et qui concernera un autre artisanat d'art et spécialité du terroir, à savoir la dinanderie ou travail sur cuivre.

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La chambre de Commerce et d'Industrie «Rhumel» (C.CI.R) de Constantine, a reçu, hier, une délégation d'hommes d'affaires allemands, dont la visite à la ‘ville des ponts' constitue une première halte d'une tournée qu'ils effectuent, dans le pays, et qui va les mener, également, à Oran, Annaba et Alger.

Selon la représentante de la chambre algéro-allemande de Commerce et d'Industrie, Sabrina Abdelatif, il s'agit, surtout, d'entreprises spécialisées dans les équipements de Travaux publics, qui sont venues pour présenter leurs matériels, mais aussi pour prospecter toutes les possibilités d'accord de partenariat, dans ce domaine. Domaine qui a trait à la réalisation de tunnels et de pose de conduites, sans tranchées, concernant les gros diamètres (jusqu'à 19 m), toutes les géologies destinées aux domaines d'application, chemin de fer, route et autoroute, métro, énergie hydraulique, etc. Les micro-tunnels ne sont pas, non plus, exclus, à l'instar de l'installation, dans les communes, de réseaux d'alimentation d'eau potable, de réseaux d'assainissement et d'évacuation des eaux usées.

A l'atelier, organisé pour l'occasion, au siège de la chambre de Commerce et d'Industrie «Rhumel», l'assistance était nombreuse et on y comptait des représentants de la Seaco, de l'Office national d'assainissement (ONA), de la direction des TP, de l'Hydraulique et de la Société de distribution d'électricité et de gaz de l'Est (SDE.) Selon le membre du bureau de la chambre C.C.I.R chargé de l'Urbanisme et de l'Aménagement du territoire, Riad Lakrem, «cette visite représente une bonne opportunité pour réfléchir à ces possibilités et technologies de pointe qui creusent des tunnels, sans tranchées, qui n'impactent pas la circulation (automobile et piétonne), ni sur l'économie ni sur l'environnement».

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«Une académie des sciences et des technologies sera bientôt créée en Algérie» a indiqué, hier, le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Med Mebarki, sur les ondes de la Chaîne 3.

Au sujet de l'approfondissement de la réforme en cours de l'enseignement supérieur en Algérie, le premier responsable du secteur a déclaré qu'elle «répondait à de nombreux objectifs, à commencer par la lutte contre les déperditions constatées dans ce segment stratégique qu'est la formation supérieure, l'ouverture sur l'environnement socio-économique par la définition d'un certain nombre de formations et, surtout, l'alignement de l'université algérienne sur les normes internationales». L'invité de la rédaction de la Chaîne 3 de la radio nationale a également indiqué que cette réforme «sera appliquée, progressivement, tout au long de l'année universitaire en cours et qu'elle vise, par ailleurs, à adapter les modules dispensés dans les établissements d'enseignement supérieur aux besoins socio-économiques du pays». Concernant la cohabitation des deux systèmes (classique et LMD), Mohamed Mebarki a affirmé que «des mesures sont en train d'être prises pour écourter cette transition», ajoutant que «cela sera fait avant la fin de l'année universitaire en cours». Explicitant sa pensée, Med Mebarki a expliqué que «l'heure est venue pour que l'université se mette au service du développement du pays, en initiant des profils de formation qui soient au diapason des besoins en cours d'identification du marché de l'emploi» a-t-il souligné, ajoutant que «l'université algérienne n'a pas pour vocation de recruter son produit que sont ses diplômés». A une question sur les raisons à l'origine de la saturation de certaines filières comme les sciences commerciales, le marketing ou encore le management, le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a expliqué «qu'il ne s'agit pas là d'un effet de mode, mais plutôt d'une adaptation à l'environnement socio-économique en ce sens que l'étudiant cherche à faire une formation qui lui assure du travail à court terme» a-t-il affirmé. Estimant que «la démocratisation de l'enseignement supérieur est aujourd'hui une réalité palpable avec l'existence d'au moins un centre universitaire dans toutes les wilayas du pays», M. Med Mebarki a expliqué qu'outre la réception de plusieurs infrastructures dans certaines régions du pays, plus de 62.000 places pédagogiques et plus de 60.000 lits nouveaux ont été créés, au titre de l'année universitaire en cours. Avec actuellement plus de 1,3 million de places pédagogiques physiques au niveau national, l'invité de la Chaîne 3 a reconnu que «certains problèmes persistent, comme la mauvaise répartition des nouvelles infrastructures», citant l'exemple de la wilaya d'Alger qui «se retrouve avec plus de 140.000 étudiants» a-t-il dit.

Concernant une éventuelle révision du prix du ticket de restauration, actuellement fixé symboliquement à 1,20 DA, le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a expliqué que «le souci des autorités publiques était plus dans l'amélioration de la qualité de vie de l'étudiant à l'intérieur des campus, qui influe directement sur la qualité de l'enseignement dispensé» a-t-il souligné. Interrogé sur la création d'universités privées, M. Med Mebarki a répondu que «la loi le permet depuis plus de six ans, et qu'un cahier des charges et des règles ont été mises en place pour cela», ajoutant «qu'à ce jour, un seul soumissionnaire s'est manifesté, il y a moins de trois mois». De la reconnaissance par l'Etat des diplômes délivrés par des écoles privées d'enseignement supérieur, le ministre a répondu que celles-ci «ne sont pas censées exister, ceux qui les gèrent ont des agréments pour faire de la formation professionnelle à l'origine, avant de s'accorder à eux-mêmes l'autorisation de faire de formation supérieure sans être qualifiés pour cela. Les diplômes qu'ils délivrent ne sont, donc, pas reconnus par l'Etat algérien» a-t-il mis en garde. Au sujet du système LMD et de son éventuel abandon, Med Mebarki a indiqué «que, si beaucoup de voix montent au créneau pour réclamer son abandon, toutes les conditions ne sont pas encore réunis pour faire une évaluation globale et objective de ce système», non sans faire remarquer que des universités algériennes ont gagné plus de mille places dans le dernier classement académique des universités mondiales, publié par le Centre pour les universités de niveau mondial (CUNM) attaché à l'École universitaire d'éducation de l'Université Jiao Tong de Shanghai en Chine.

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par A. M. | le quotidien d'oran

Parce qu'ils veulent éviter à tout prix d'être les laissés pour compte de l'opération, les architectes de Constantine, une fois qu'ils sont entrés dans les bonnes grâces du ministère de tutelle, celui de l'Habitat en l'occurrence, et que leur situation est prise en compte par le wali, ont demandé à être associés aux programmes des constructions lancés dans le cadre de la préparation de l'évènement «Constantine, capitale de la culture arabe 2015», ainsi que dans les projets du Fonds national du logement (Fonal ) et l'habitat rural. Car, en l'absence de plans de charges, de nombreux architectes de Constantine sont toujours au chômage, ceci au moment où de nombreux projets qui se déroulent sous leurs murs sont confiés à des architectes étrangers. Et c'est surtout dans cette optique que le Conseil de l'ordre des architectes (Cloa) de Constantine a provoqué, samedi, une assemblée générale de la corporation pour dénoncer la situation qui leur est faite et relever les «anomalies» existantes. Le déroulement de ce conclave a été marqué par la présence du représentant du ministre de l'Habitat et d'un membre du Conseil national de l'ordre des architectes et de 180 architectes sur les 200 que compte le Cloa de Constantine. Après l'approbation des bilans financiers, les architectes de Constantine n'ont pas manqué d'exprimer leur satisfaction à propos des décisions prises dernièrement par le wali en instaurant les concours d'architecture pour tout projet lancé dans la wilaya, mesure qui favorise grandement l'insertion des architectes locaux, surtout ceux qui se trouvent en chômage et vont bénéficier de plans de charge, ainsi que les instructions du ministre concernant le travail des architectes étrangers. Ceci étant fait, les architectes de Constantine ont pris deux décisions pour améliorer leur situation et celle de leurs collègues qui se trouvent au chômage : la première consiste à demander au wali de se pencher sur le cas de la vingtaine d'architectes inscrits au niveau des dispositifs de l'emploi de l'Ansej et de la Cnac, qui n'arrivent pas à avoir des plans de charge leur permettant de travailler, et ce pour les programmer dans les projets en cours ou dégager à leur profit une formule satisfaisante. La seconde décision prise par l'AG des architectes vise à demander aux pouvoirs publics d'interdire désormais l'utilisation des noms commerciaux en obligeant tout architecte en activité d'apposer son nom et prénom sur les dossiers des projets pris au lieu du cachet portant le nom du bureau d'études, utilisé actuellement pour échapper au paiement des impôts. «Dorénavant nous a expliqué Mme Djeradi Lamia, présidente du bureau du Cloa de Constantine, l'architecte doit agir en son nom propre, en tant que personne privée, et s'acquitter de ses impôts. Cette disposition vise en même temps à contrôler les permis de construire et les marchés».

L'AG du Cloa s'est penchée également sur l'élaboration d'un barème des honoraires de l'architecte afin, ont dit les participants, de faire barrage aux «casseurs des prix». Le projet de ce règlement a été arrêté et approuvé par l'AG et il entrera en application au mois de janvier prochain. Dans la foulée, les participants à l'AG ont fixé la date de tenue du séminaire international sur l'architecture qui sera organisé au mois de novembre 2014 par le Cloa de Constantine sous l'égide et le parrainage du ministère de l'Habitat sous le thème de : «l'architecture, défi du 21ème siècle». L'AG a demandé également au Cloa d'intervenir auprès du wali pour que les programmes du Fonal et de l'habitat rural soient répartis sur les architectes au chômage. Le Cloa a demandé à ceux qui n'ont pas de plan de charge à présenter un bilan négatif prouvant leur situation afin d'adresser un rapport global au wali.

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A l’occasion de l’inauguration du bureau régional de Constantine, lequel a été rénové de fond en comble pour l’adapter aux normes de l’exercice du metier, plusieurs personnalités du monde journalistique, des magistrats et des amis du journal, tels Me Boujemaâ Ghechir (ex Président de la LADH), le journaliste chroniqueur Boubaker Hamidechi et bien d’autres, ont été conviés, dans l’après-midi de samedi dernier, à une sympathique collation.

La réception s’est déroulée dans une ambiance bon enfant emprunte de fierté et de satisfaction pour cette réalisation entrant dans le cadre de la modernisation des bureaux d’El watan et l’amélioration des conditions de travail des journalistes, correspondants de presse et employés du journal. Ont pris part aussi à cette rencontre une brochette de journalistes des régions de l’est qui participent cette semaine à une session de formation encadrée par Christophe Préault, de l’école de journalisme de Lille.

Les invités ont tous reconnu l’excellence de ce bureau en termes d’aménagement, de décor et équipements modernes. «Même si le journal fait face à une multitude d’attaques et de coups-bas assénés par des cercles activant pour le déstabiliser voire le faire disparaître du paysage médiatique national, El Watan reste combatif. Il poursuit son développement et demeurera un contre-pouvoir au service des citoyens et pour le bien de la patrie», a confié Omar Belhouchet, directeur d’El watan lors de son intervention. Pour sa part, Nouri Nesrouche, directeur des bureaux de l’Est,a exprimé sa fierté devant ce nouvel acquis. «Ce bureau flambant neuf et moderne nous permettra d’assurer notre mission dans les meilleures conditions. Ça ne peut que nous stimuler davantage.»

Souvenirs, partage et émotion n’ont pas manqué au rendez-vous aussi. «En cette heureuse circonstance, je ne peux qu’avoir une pensée pour notre collègue, le regretté feu Selim Mesbah que j’aurai aimé voir présent parmi nous», a ajouté le même responsable. A noter que les bureaux de Tizi Ouzou, Sétif, Blida et récemment Oran et Annaba ont été relookés également dans le même style. Par ailleurs, le nouveau siège national d’El Watan, un bâtiment de neuf étages érigé en plein centre d’Alger, sera inauguré à son tour au mois de Janvier 2015.                                       

Hafèdh Moussaoui
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Quatorze (14) médecins chefs de services ont été installés hier matin au niveau du CHU Dr Benbadis en  présence du directeur de l’établissement Ahmed Brachia et du directeur de la santé Azzouz Assassi.

 

Selon ce dernier, ces chefs de services sont les lauréats du concours national organisé il y a deux mois. Ils sont tous des professeurs spécialistes dans différentes branches médicales. «Avant, nous avons rencontré des difficultés pour ouvrir ces postes, car il s’agit de procédures interministérielles ; ce n’est qu’après la dernière visite du ministre de la santé à ces services que nous avons pu ouvrir ces postes dans le but de combler un déficit en gestionnaires et améliorer le travail.

Il y a eu également des propositions pour que les hôpitaux d’El Khroub, de la cité El Bir, et de Ali Mendjeli soient des centres hospitaliers, et il y aura de nouveaux postes pour réduire la surcharge au sein du CHU, mais elles ont été refusées par le ministère de l’enseignement supérieur», a déclaré le DSP. L’on saura que seul le service d’ophtalmologie qui ne dispose pas encore de responsable, car il n’y a pas eu de postulants dans cette spécialité.

D’autre part, le directeur du CHU nous a avoué qu’il y a eu une centaine de lauréats d’un autre concours qui vont être installés incessamment comme des chefs d’unités, au niveau des 52 services du même CHU. Notons que durant la même journée, 7 médecins chefs de services ont été installés à l’hôpital de Didouche Mourad, un à l’hôpital psychiatrique de Djebel Ouahch et un autre au service de néphrologie de la clinique de Daksi.

 

Yousra Salem
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Thursday, 11 September 2014 13:55

1ER COLLOQUE INTERNATIONAL SUR L'ETAT NUMIDE

Massinissa roi de la Numidie est de retour

Le mausolée de Massinissa à El Khroub, les sites romains de Cherchell, Tipasa, Timgad à Batna, les Ksour de Boussemghoune à El Bayadh, rappellent la mémoire des ancêtres amazighs.

Le premier colloque international qui porte sur l'histoire ancienne du pays et qui s'intitule «Massinissa, au coeur de la consécration d'un premier Etat numide», aura lieu, du 20 au 22 septembre au centre culturel M'hamed-Yazid d'El Khroub à Constantine Le colloque accueillera de nombreux conférenciers qui viendront de plusieurs pays africains et européens, afin d'animer l'événement. Et pour mieux saisir l'importance de cet événement, nous nous sommes rapprochés des organisateurs et spécialistes en la matière afin de s'exprimer sur cette rencontre qui revêt une importance particulière.
Abderrezak Dourari, directeur du centre Cnplet, éminent chercheur, dira dans un esprit scientifique: «Cirta était capitale de la Numidie pendant 55 ans. On aurait pu remplacer Constantine, capitale de la culture arabe en 2015 par'' Cirta, capitale de la Numidie'' afin de redonner à l'histoire du pays toute sa dimension culturelle, civilisatrice et historique», tout en saluant l'initiative de l'organisation du colloque international sur le premier Etat de la Numidie à El Khroub. «Cirta», actuellement Constantine, était capitale de l'Etat numide (202 av J.-C.- 46 av J.-C.). Le premier Etat numide en Afrique du Nord, se forma au IIIe et IIe siècle avant l'ère chrétienne, sous le règne de Syphax puis Massinissa, chefs de la cavalerie numide et aguellids (rois) respectifs des Masaesyles et des Massyles, avec comme capitale Siga puis Cirta, centre économique prospère et puissant dans l'Antiquité. «Le tifinagh est la première langue transcrite en langue amazighe en Afrique du Nord,», précise-t-on, auprès des spécialistes en la matière qui relèvent du musée du Bardo a Alger. Contacté sur le choix de la ville d'El Khroub, qui devra abriter le colloque, Si El Hachemi Assad, secrétaire général du Haut Commissariat à l'amazighité, a précisé que «le choix et l'organisation de cette rencontre première du genre répondent en premier lieu, à l'existence du mausolée de Massinissa à El Khroub». M. Assad a ajouté que «le programme était mis en place depuis janvier 2014».
Résultat d'un très long sacrifice pour la noblesse de cette cause depuis des décennies, de nombreux spécialistes en la matière, n'ont pas manqué de toucher le problème du doigt.
En effet, ils regrettent le fait que «cette langue ne soit pas, n'est pas enseignée à l'école, que la langue amazighe ne bénéficie pas d'une académie qui la prenne en charge». Cependant, des rencontres comme celles qu'organise le HCA apportent un plus pour la culture, l'histoire et la langue amazighes». Sous le règne de Massinissa, l'Etat numide développe l'agriculture en fixant les populations nomades, fonde des villes, organise une administration efficace, met sur pied une armée fortement équipée et donne un élan sans précédent aux arts et à la culture, tout en assimilant les apports puniques et hellènes qu'il a su intégrer et transformer.
Le colloque organisé sous le haut patronage du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, le Haut Commissariat à l'amazighité (HCA) qui a été appuyé par le soutien du ministère de la Culture et de la wilaya de Constantine, signe une première sortie mémorable qui s'inscrit dans l'histoire de la Numidie.

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A l’occasion de la journée nationale de l’étudiant, La Direction Générale de la Recherche Scientifique et du Développement Technologique en collaboration avec l’université Mentouri Constantine 1 a organisé le salon national de la vulgarisation de la science, qui s’est déroulé au sein del’université Mentouri à Constantine, du 19 au 22 Mai 2014.
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