Constantine - Entamé il y a une année: La semaine culturelle de Constantine pour la clôture
La manifestation «Constantine, capitale de la culture arabe 2015» arrive à sa fin et la semaine culturelle de Constantine prévue du 2 au 6 avril en cours sera la dernière semaine du genre organisée dans ce cadre. Aussi, cette manifestation de 6 jours, visiblement conçue par les organisateurs comme la cerise sur le gâteau, devait être inaugurée hier à 17h par le ministre de la Culture M. Azzedine Mihoubi à la salle Ahmed Bey, en présence des autorités locales et d'un public nombreux constitué de familles constantinoises.
Si l'on se réfère au programme établi par les organisateurs, la cérémonie d'ouverture de la semaine culturelle constantinoise aura été marquée par un spectacle haut en couleur exécuté par des troupes participantes à partir de la galerie menant à la grande salle de spectacles. Ces troupes ont simulé un mariage constantinois accompagné de la ghaita, la zorna, le t'bal et l'inévitable orchestre de musique malouf, pour accompagner l'entrée à la salle des membres de la délégation officielle, des invités et des familles constantinoises. Ceci fait, suivra l'inauguration des différentes expositions organisées dans les galeries de la salle autour de l'artisanat traditionnel constantinois, expositions auxquelles participent plus d'une dizaine d'associations et de maisons constantinoises connues sur la place. Mais la cérémonie officielle et protocolaire se déroulera dans la grande salle de spectacles et elle sera suivie d'un gala de malouf animé par les maîtres du genre comme Salim Fergani, Abbas Righi, la troupe des Aïssaoua et par les artistes constantinois Zineddine Bouabdallah et Zineddine Bouchaala.
Les journées suivantes seront sensiblement du même tonneau pour ce qui est des spectacles de musique. Toutefois, les organisateurs ont tenu à apporter une touche de modernité avec une soirée de jazz qui sera animée par la troupe SMOKE le mardi 5 avril à la grande salle Ahmed Bey. Le programme de la semaine comprend aussi des représentations théâtrales pour adultes et pour enfants qui se dérouleront sur les planches du Théâtre régional de Constantine (TRC), de l'animation et du folklore. A remarquer que les différentes expositions de l'art pictural et des miniatures, de livres sur l'histoire et les élites de Constantine, de photographies sur l'histoire de la ville et ses personnages les plus représentatifs à travers l'histoire, d'un mariage constantinois authentique et de projections de films documentaires, organisées dans les galeries de la grande salle Ahmed Bey, se dérouleront parallèlement chaque jour et pendant toute la durée de la semaine culturelle. Celle-ci sera clôturée dans la soirée du 6 avril par une ultime représentation de la musique malouf qui sera animée par des artistes du genre avec, à leur tête le cheikh Ahmed Aouabdia.
Fermeture du pont Sidi Rached: Les accès au centre-ville à l'asphyxie
par A. Mallem
La fermeture à la circulation du pont de Sidi-Rached pour on ne sait encore combien de temps commence déjà à faire vivre le calvaire aux automobilistes.
Les conséquences de la fermeture de cet important axe de communication avec le centre de la ville se sont fait surtout ressentir au niveau des hauteurs de la ville où les automobilistes commencent à éprouver des difficultés dans leurs déplacements. En effet, nous avons pu le constater hier matin, et c'est encore le week-end, quand la circulation est devenue plus animée que les habitants des hauts quartiers de la cité Emir Abdelkader et Bab El-Kantara ont pu mesurer les conséquences de cette nouvelle restriction apportée à leurs déplacements : beaucoup de gens, surtout les plus âgés, ont dû attendre longtemps dans les stations habituelles en espérant qu'un taxi consente à les transporter au centre-ville. Mais tous les taxieurs fuient ce trajet à cause du plan de circulation, tout aussi contraignant, mis en place par la commune. Le plan oblige les automobilistes voulant se diriger vers la Brêche à emprunter la rue Tatache Belkacem (ex rue Thiers), plutôt une ruelle étroite, défoncée par endroits et mal colmatée par les services de la commune, toujours encombrée et fait perdre beaucoup de temps.
Hier matin, journée chômée pour l'administration et les entreprises publiques, la circulation n'était pas aussi dense que durant les journées œuvrées, mais elle était assez fournie par les vagues de véhicules qui prenaient le chemin du centre-ville, dissuadant tout taxieur qui voudrait s'y aventurer. C'est pourquoi nous avons remarqué des femmes d'un certain âge, des hommes aussi et des jeunes qui ont abandonné la recherche d'un taxi et entrepris de faire le chemin à pied. «Moi je suis descendu de la cité Emir Abdelkader à pieds car je n'ai pas trouvé de taxi qui va à la Brêche », nous a expliqué un citoyen rencontré à l'entrée de la rue Ben-M'hidi. Nous avons croisé pas mal de piétons qui remontaient cette rue où la circulation se fait à sens unique, de la Brêche vers la gare de chemin de fer et le quartier de Bab El-Kantara, tout en pestant car la pluie tombait et le temps était froid. «Et dire que nous allons endurer ce calvaire jusqu'à la fin de l'été. Les mêmes difficultés ont été signalées ailleurs pour les résidents de Sidi-Mabrouk, de Daksi, du 4ème Kilomètre et de Boumerzoug, contraints aussi de se plier à un véritable parcours du combattant s'ils veulent arriver au centre-ville. «Malheureusement, cela ne fait que commencer !», a fait remarquer un habitant de la cité Daksi alors qu'il venait d'arriver devant le palais de la culture Al Khalifa.
A world where everyone has a robot: why 2040 could blow your mind
Technological change is accelerating today at an unprecedented speed and could create a world we can barely begin to imagine.
Article tools
In March 2001, futurist Ray Kurzweil published an essay arguing that humans found it hard to comprehend their own future. It was clear from history, he argued, that technological change is exponential — even though most of us are unable to see it — and that in a few decades, the world would be unrecognizably different. “We won’t experience 100 years of progress in the 21st century — it will be more like 20,000 years of progress (at today’s rate),” he wrote, in ‘The Law of Accelerating Returns’.
Fifteen years on, Kurzweil is a director of engineering at Google and his essay has acquired a cult following among futurists. Some of its predictions are outlandish or over-hyped — but technology experts say that its basic tenets often hold. The evidence, they say, lies in the exponential advances in a suite of enabling technologies ranging from computing power to data storage, to the scale and performance of the Internet (see ‘Onwards and upwards’). These advances are creating tipping points — moments at which technologies such as robotics, artificial intelligence (AI), biology, nanotechnology and 3D printing cross a threshold and trigger sudden and significant change. “We live in a mind-blowingly different world than our grandparents,” says Fei-Fei Li, head of the Stanford Artificial Intelligence Laboratory in California, and this will be all the more true for our children and grandchildren (see 'Future focus').
Kurzweil and others have argued that people find this pace of change almost impossible to grasp, because it is human nature to perceive rates of progress as linear, not exponential — much as when one zooms in on a small part of a circle and it appears as an almost straight line. People tend to focus on the past few years, but pulling back reveals a much more dramatic change. Many things that society now takes for granted would have seemed like futuristic nonsense just a few decades ago. We can search across billions of pages, images and videos on the web; mobile phones have become ubiquitous; billions of connected smart sensors monitor in real time everything from the state of the planet to our heartbeats, sleep and steps; and drones and satellites the size of shoeboxes roam the skies.
Onwards and upwards
Exponential advances in enabling technologies have reached the point at which they could trigger disruptive change in sectors from artificial intelligence to robotics to medicine. As a result, many experts argue that tomorrow’s world will be unrecognizable from that of today.
ENABLERS
1. Computing power The exponential growth in supercomputing performance is one indicator of dizzying advances across computing. Supercomputers in 2020 are likely to be 30 times more powerful than those of today.
2. Really big data The amount of data worldwide is predicted to reach a whopping 44 zettabytes (1021 bytes) by 2020 — nearly as many digital bits as there are stars in the Universe. This gives more raw material for artificial-intelligence machines to learn from.
3. Communication speed Meanwhile, the performance and scale of the Internet improves. Broadband and WiFi speeds are increasing, and Internet data traffic will exceed a zettabyte this year and double by 2019.
DRIVERS
4. Talking devices By 2020, the number of connected sensors and devices in buildings, cities and farms — the ‘Internet of Things’ — will be twice that of the human population.
5. Biology booms Conceptual and technological advances are driving progress in biology. DNA sequencing costs have fallen at an exponential rate and the number of sequences has soared since 1985. Similar advances are happening in neuroscience and biological nanotechnology.
6. Like it, print it 3D printing is becoming cheaper and quicker — one factor that could disrupt manufacturing and allow once-pricey robotics to be mass produced.
7. Rise of robots Purchases of robots are set to rocket as their capabilities increase and costs fall, a trend driven by massive investments in artificial intelligence and robotics by the military and by computing giants such as Google.
All these factors are now converging to push seemingly futuristic technologies out of the lab, and set them on the same path taken by personal computing and consumer electronics.

Illustrations by Greygouar; Design by Wes Fernandes/Nature; Sources: 1. top500; 2. IDC Digital Universe Study, 2012; 3. Cisco Visual Network Index (VNI), 2015; 4. Cisco VNI Global IP Traffic Forecast, 2014–2019; 5. NCBI; 6. EPSRC; Direct Manufacturing Research Center; Roland Berger; 7. International federation of robotics, Japan Robot Association; Japan Ministry of Economy, Trade & Industry; euRobotics; BCG
If the pace of change is exponentially speeding up, all those advances could begin to look trivial within a few years. Take ‘deep learning’, a form of artificial intelligence that uses powerful microprocessor chips and algorithms to simulate neural networks that train and learn through experience, using massive data sets. Last month, the Google-owned AI company DeepMind used deep learning to enable a computer to beat for the first time a human professional at the game of Go, long considered one of the grand challenges of AI. Researchers told Nature that they foresee a future just 20 years from now — or even sooner — in which robots with AI are as common as cars or phones and are integrated into families, offices and factories. The “disruptive exponentials” of technological change will create “a world where everybody can have a robot and robots are pervasively integrated in the fabric of life”, says Daniela Rus, head of the Computer Science and Artificial Intelligence Laboratory at the Massachusetts Institute of Technology in Cambridge.
After decades in development, applications of AI are moving into the real world, says Li, with the arrival of self-driving cars, virtual reality and more. Progress in AI and robotics is likely to accelerate rapidly as deep-pocketed companies such as Google, Apple, Facebook and Microsoft pour billions of dollars into these fields. Gill Pratt, former head of the US Defense Advanced Research Projects Agency’s Robotics Challenge, asked last year whether robotics is about to undergo a ‘Cambrian explosion’ — a period of rapid machine diversification (G. A. Pratt J. Econ. Perspect. 29, 51–60; 2015). Although a single robot cannot yet match the learning ability of a toddler, Pratt pointed out that robots have one huge advantage: humans can communicate with each other at only 10 bits per second — whereas robots can communicate through the Internet at speeds 100 million times faster. This could, he said, result in multitides of robots building on each other’s learning experiences at lightning speed. Pratt was hired last September to head the Toyota Research Institute, a new US$1-billion AI and robotics research venture headquartered in Palo Alto, California.
Many researchers say that it is important to prepare for this new world. “We need to become much more responsible in terms of designing and operating these robots as they become more powerful,” says Li. In January 2015, a group including Elon Musk, Bill Gates and Stephen Hawking penned an open letter calling for extensive research to maximize the benefits of AI and avoid its potential pitfalls. The letter has now been signed by more than 8,000 people.
Yet predicting the future can be a fool’s game — and not everyone is convinced that technological change will hit humanity quite so fast. Ken Goldberg, an engineer at the University of California, Berkeley, questions the idea that technologies advance exponentially across the board, or that those that do will continue indefinitely. “The danger of overly optimistic exuberance is that it could set unrealistic expectations and trigger the next AI winter,” he says, alluding to periods in AI’s history where hype gave way to disappointment followed by steep cuts in funding. Goldberg says that recent warnings that AI and robots risk surpassing human intelligence are “greatly exaggerated”.
And Stuart Russell, a computer scientist at the University of California, Berkeley, questions the notion that exponential advances in technology necessarily lead to transformative leaps. “If we had computers a trillion times faster we wouldn’t have human-level AI; half in jest, one might say we’d just get wrong answers a trillion times sooner,” he says. “What matters are real conceptual and algorithmic breakthroughs, which are very hard to predict.”
Russell did sign the Hawking letter — and says it is important not to ignore the ways that technologies could be taken in potentially harmful directions with profound results. “We made this mistake with fossil-fuel technologies 100 years ago — now it’s probably too late.”
Future focus
Expert predictions
“A possible ‘Cambrian explosion’ in robotics with a rapid period of incredible machine diversification. Robots communicating with each other at speeds that are 100 million times faster than humans might allow swarms of robots to build on each other’s learning experiences at lightning speed.” Gill Pratt, Head of the Toyota Research Institute, Palo Alto, California
“A full brain-activity map and connectome by 2020 and by 2040 it will be routine to read and write data to billions of neurons. By 2040,1 billion people will have their whole genome sequenced and get constant updates of their immunomes and microbiomes.” George Church, Geneticist at Harvard Medical School, Cambridge, Massachusetts
“The promise for the future is a world where robots are as common as cars and phones, a world where everybody can have a robot and robots are pervasively integrated in the fabric of life.” Daniela Rus, Head of the Computer Science and Artificial Intelligence Laboratory at the Massachusetts Institute of Technology, Cambridge
“In the next couple of generations, we will seethe first phase of true personal, assistive robots in the home and other human environments. There will be a huge opportunity to better the quality of life, for example by freeing up people from work.” Fei-Fei Li, Head of the Stanford Artificial Intelligence Laboratory, California
“Tomorrow’s scientists will have armies of virtual graduate students, doing lab work, statistical analysis, literature search and even paper-writing for them.” Pedro Domingos, Machine-learning researcher, University of Washington, Seattle

Illustrations by Greygouar
Filière Sciences Biologiques Licence Bioinformatique (L3) Atelier ‘’Bases de données en Biologie’’ 3 au 11 avril 2016 (24 à 26h de Cours TD/TP)
Dimanche 3 Avril (1/2 journée)
- Présentation de la semaine
- Introduction : Rappels de biologie moléculaire
Lundi 4 Avril (journée complète)
- Introduction aux bases de données en biologie
- TP1 : Application à l’étude de la famille des beta-globines
Mardi 5 Avril (journée complète)
- Alignement de séquences : Méthodes graphique et des scores
- TP2: Comparaison des séquences de la famille multigénique de l’hémoglobine
Mercredi 6 Avril (journée complète)
- Protéines : Dynamique et fonctions, base PDB - Notion de “data-mining”
- TP3 : Premier pas avec PDB
Jeudi 7 Avril (journée complète)
- Introduction à la modélisation en biologie
- TP4: Prédiction du comportement d'un système complexe
Dimanche 10 Avril (journée complète)
- Annotation des génomes
- Génomique et méta-génomique.
Lundi 11 Avril (1/2 journée)
- Synthèse et évaluation des acquits
ORGANISATEURS :
Université Joseph Fourier –Grenoble, France
- Pr. Thierry Gautier
Université des frères MENTOURI Constantine –Algérie
- Pr. Nadia YKHLEF : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
- Pr. Mohamed Abdelhafid HAMIDECHI : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Slaughter of the song birds
Songbirds are a culinary delicacy in Cyprus — but catching and eating them is illegal. Even so, the practice is on the rise and could be threatening rare species.
It wasn't until I saw the blade glinting in the sunlight that I realized how grave the situation was. Broad and belligerent in army fatigues, the man strode along the track, ranting in Greek. Behind his back, his hands flexed a knife blade in and out of its wooden handle. This man was a trapper, a poacher of birds — and he clearly didn't want company. “What are you doing here?” he demanded.
“If this is your property, then I apologize — we didn't know, we are going,” Savvas said. We acted casual as the man escorted us back to the battered four-by-four in which we had come. “I shouldn't really be letting you go,” he muttered. Moments later, we were driving away.My companions and I had come to this dry scrubland on the Mediterranean island of Cyprus to look for evidence of songbird trapping. The birds are caught illegally and eaten in a traditional dish called ambelopoulia — and I was joining a September trip to monitor the extent of trapping. With me was Roger Little, a British conservation volunteer, and Savvas, a field officer with the conservation group BirdLife Cyprus whose name has been changed to protect his identity. We didn't expect to encounter trappers at this spot in the southeastern region of Cape Pyla; they usually work at night, when the birds are active. But now it seemed that they had started patrolling the site during the day. “You are on my land,” the trapper said to us in Greek.
Bird trapping in Cyprus has grown into a controversy that encompasses crime, culture, politics and science. The practice was made illegal more than 40 years ago — but that simply forced it underground. Today, trappers routinely cut wide corridors through vegetation and string fine 'mist nets' from poles to catch the birds, which are sent to local restaurants and quietly served. A platter of a dozen birds sells for €40–80 (US$44–87), and the trade in songbirds is responsible for an estimated annual market of €15 million. The delicacy is so prized and lucrative that it is suspected to be linked to organized crime, and those trying to stop it have been subject to intimidation and violence.
Conservation organizations say that the trapping is increasing and that it is threatening rare bird species that stop in Cyprus during their migration. Last March, a report by BirdLife Cyprus suggested that some 2 million birds had been killed in the previous autumn, including 78 threatened species. The group claims that trapping — on top of threats from climate change, habitat loss andinvasive species — could cause irreparable damage to some bird populations. “Illegal bird killing just cannot be justified, it's like the last kick off the cliff for some species,” says Clairie Papazoglou, executive director of BirdLife Cyprus near Nicosia.
But the picture is not black and white, in part because the extent of bird killing is disputed and its effects on bird populations are unclear. Critics have questioned the methods used by BirdLife Cyprus to estimate the numbers being captured on the island. The debate led to a workshop last July to discuss the science, with representatives from all agencies involved. Attendee Alison Johnston, an ecological statistician at the British Trust for Ornithology (BTO), a charitable research institute in Thetford, says that so little is known about the population sizes and routes of migratory birds in the Mediterranean that it is difficult to assess the full impacts of trapping. “If we knew more about the numbers,” she says, “we could say whether this is a critical number being killed.”
The debate over Cyprus's songbirds could have wider repercussions, because bird killing is rife in other parts of the world. A 2015 report from BirdLife International estimates that hunters are killing about 25 million birds a year over the whole Mediterranean region; Cyprus stands out because so many are killed in such a small country. Globally, more than half of the world's migratory bird populations are thought to be in decline. “This isn't just an issue for Cyprus, or Africa, or Europe,” says Claire Runge, a conservation scientist at the University of Queensland in Brisbane, Australia, who led a study published last December showing that only 9% of migratory birds worldwide are adequately protected across their range1. “Countries will need to work together to find a solution to what is essentially a human–wildlife conflict,” she says.
Papazoglou worries that what is happening in Cyprus sets a dangerous precedent. “This level of rampant illegality in an EU country sends a terrible message to the rest of the world. If rich, stable and well-run countries cannot enforce wildlife law, what hope is there to get fragile countries in the Middle East and Africa to act?”
Appel à Candidatures Atelier 1.1 Initiation au système d'exploitation GNU Linux mode commande
Du 09 au 11 Avril 2016
Clôture des candidatures le 05 Avril 2016
Lieu : Campus Numérique Francophone Partenaire de Constantine
Cette formation s'adresse aux :
* personnes dès à présent (ou futurs) responsables institutionnels dans le développement et la réalisation professionnels de systèmes et de réseaux interconnectés qui souhaitent participer à l'extension des technologies de l'information à l'échelle locale, régionale ou internationale ;
* personnels d'encadrement des universités (informaticiens et administrateurs réseaux).
* Enseignants/chercheurs et doctorants ayant besoin de l'utilisation de Linux en mode commande
Les candidatures se font UNIQUEMENT via le lien "participant " ci-dessous :
PRINTEMPS DES POÈTES 2016 : LA CORSE À L’HONNEUR
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Agenda
Printemps des poètes 2016 : la Corse à l’honneur - Lundi 28 mars 2016 à 18h00 Comme chaque année, la programmation de printemps de l’Institut Français d’Algérie fait la part belle à littérature en général, et en particulier à la poésie, avec une déclinaison algérienne du Printemps des poètes.
Lire l'évènement
Institut Français d'Algérie | Nous contacter Se désabonner Si vous ne parvenez pas à lire correctement cette newsletter, vous pouvez la consulter en ligne
LES RENDEZ-VOUS À VENIR DE CONSTANTINE
LES RENDEZ-VOUS À VENIR DE CONSTANTINE
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Information vendredi 01 janvier 2016 VOS PROCHAINS RENDEZ-VOUS À L'IF L'année 2016 se présente à nous et toute l'équipe de l'Institut français vous souhaite 365 jours de bonheurs vrais...
Printemps des poètes lundi 28 mars 2016 PRINTEMPS DES POÈTES 2016 : LA CORSE À L’HONNEUR Comme chaque année, la programmation de printemps de l’Institut Français d’Algérie fait la part belle à littérature en général, et en particulier à la poésie, avec une déclinaison algérienne du Printemps des poètes.
Art de la scène jeudi 31 mars 2016 LE GRAND KARAOKÉ Vous aimez chanter ? Vous chantez faux mais vous aimez vous amuser et vous n’avez peur de rien ? Venez défier vos amis le jeudi 31 mars lors du Grand Karaoké de l’IF Constantine !
Institut Français de Constantine | Nous contacter
Appel à candidature Coopération et des Echanges Inter-Universitaires (DCEIU)
La correspondance N°184 de la Direction de la Coopération et des Echanges Inter-Universitaires (DCEIU) relative à l’appel à candidature.
Programme algéro-français de bourses en doctorat PROFAS B+ Appel à candidatures 2016
Le programme PROFAS est un programme phare de la coopération algéro-française. Créé en 1987, il a été rénové et relancé en 2014 sous le nom de PROFAS B+. Depuis deux ans, le PROFAS B+ a permis à 180 boursiers algériens de rejoindre des laboratoires d’excellence en France.
Les bourses PROFAS B+ s’adressent à des doctorants en co-encadrement ou en cotutelle de thèse, enseignants ou non-salariés.
Dans le cadre d’une finalisation de thèse, le programme PROFAS B+ propose aux doctorants en co-encadrement de thèse un appui à la formation et à la recherche par l’octroi de bourses de 7 à 12 mois sur l’année universitaire 2016-2017.
Pour les doctorants en cotutelle de thèse, le programme PROFAS B+ propose l’octroi de bourses de 7 à 18 mois répartis sur les trois années de doctorat en séjours de 7 mois minimum par année universitaire.
Un appel à candidatures est ouvert du lundi 15 février au jeudi 31 mars 2016au titre de l’année universitaire 2016-2017. Il est disponible sur le site du Ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique (M.E.S.R.S.) www.mesrs.dz et sur le site de l’Institut Français d’Algérie (IFA) http://www.if-algerie.com/actualites/appels-a-projet.
Les candidats recevables à la suite de l’examen de conformité de leur candidature feront l’objet d’une sélection par un jury mixte d’experts français et algériens, sous la forme d’une évaluation de leur dossier de candidature et d’une audition.
Les candidats sélectionnés se verront attribuer une bourse pour une durée déterminée par le jury et non sujette à prolongation.
Les départs au titre de l’année universitaire 2016-2017 s’effectueront au 5 septembre 2016 pour les boursiers PROFAS B+ en co-encadrement.
Ø Critères d’éligibilité :
Seules pourront être présentées les candidatures s’inscrivant dans le cadre de collaborations scientifiques existantes de qualité, entre les deux pays.
Seront privilégiées les candidatures qui proposent une recherche innovante et celles qui s’inscrivent dans l’une ou plusieurs des thématiques suivantes :
· Le développement du numérique
· La protection de l’environnement et le développement durable
· Les questions d’économie et d’emploi
· Le patrimoine (historique, mémoriel, archéologique, etc.)
· Le sport
Seuls pourront candidater :
· Les enseignants-chercheurs et les doctorants non-salariés en co-encadrement de thèse, en phase de finalisation de thèse (+ de 50% d’avancement de la thèse)
· Les enseignants-chercheurs et les doctorants non-salariés inscrits en cotutelle de thèse
Seuls pourront postuler à une bourse PROFAS B+ les candidats maîtrisant la langue française.
Seules pourront être présentées les candidatures pour une mobilité dans un laboratoire de recherche français rattaché à une université.
Seuls les dossiers complets, correctement remplis et déposés selon les délais et les modalités inscrits dans l’appel seront examinés.
Ø Pièces nécessaires au dossier de candidature :
Le dossier de candidature doit impérativement comporter l’ensemble des pièces nécessaires (administratives, scientifiques et d’accueil) listées ci-dessous. Le candidat sera attentif à fournir certaines pièces selon sa situation : enseignant-chercheur ou doctorant non-salarié ; en co-encadrement ou en cotutelle de thèse.
Pièces à fournir par tous les candidats :
□ Le formulaire de candidature à une bourse PROFAS B+ 2016-2017 (à ne pas remplir à la main), visé par le directeur de thèse en Algérie et le co-encadreur ou le codirecteur de thèse en France. Utiliser le modèle téléchargeable sur le site du M.E.S.R.S. ou sur le site de l’Institut Français d’Algérie.
□ L’attestation d’engagement PROFAS B+ (droits et obligations du boursier). Utiliser le modèle téléchargeable sur le site du M.E.S.R.S. ou sur le site de l’Institut Français d’Algérie.
□ L’attestation de non-bénéfice d’une bourse de formation résidentielle à l’étranger d’une durée supérieure à 6 mois dans le cadre du doctorat, visée par le vice-recteur chargé des relations extérieures de l’université d’inscription en thèse pour les doctorants non-salariés ou de l’université de rattachement pour les doctorants enseignants-chercheurs. Utiliser le modèle téléchargeable sur le site du M.E.S.R.S. ou sur le site de l’Institut Français d’Algérie.
□ Une copie du diplôme du baccalauréat et des diplômes universitaires obtenus.
□ Une attestation de niveau de français en cours de validité (TCF niveau B2 minimum, DELF B2 ou DALF).
□ Un curriculum vitae en français.
□ Deux photos d’identité.
Pièces à fournir par les candidats en co-encadrement de thèse:
□ Une copie de la lettre d’accueil dans un établissement universitaire en France.Utiliser le modèle téléchargeable sur le site du M.E.S.R.S. ou sur le site de l’Institut Français d’Algérie.
□ Une copie des certificats d’inscription en doctorat en Algérie des années 2014-2015 et 2015-2016.
Pièces à fournir par les candidats en cotutelle de thèse :
□ Une copie de la convention de cotutelle de thèse entre l’établissement universitaire algérien et l’établissement universitaire français ou une copie de la déclaration d’engagement à signer une convention de cotutelle d’ici le jury d’audition (dans ce cas, utiliser le modèle téléchargeable sur le site du M.E.S.R.S. ou sur le site de l’Institut Français d’Algérie).
□ Une copie du certificat d’inscription en doctorat en Algérie de l’année 2015-2016.
Pièces à fournir par les doctorants enseignants-chercheurs :
□ Une copie du PV de la première installation pour les enseignants-chercheurs, les enseignants-chercheurs hospitalo-universitaires et les chercheurs permanents.
□ Une copie de l’arrêt de titularisation pour les enseignants-chercheurs, les enseignants-chercheurs hospitalo-universitaires et les chercheurs permanents.
Pièce à fournir par les doctorants non-salariés:
□ Une attestation de non-exercice d’une activité rémunérée pour les doctorants non-salariés. Utiliser le modèle téléchargeable sur le site du M.E.S.R.S. ou sur le site de l’Institut Français d’Algérie.
Ø Modalités pratiques pour le dépôt des candidatures :
Les candidats devront impérativement déposer leur dossier au plus tard le 31 mars, dernier délai auprès du service de post-graduation de leur faculté, institut ou école d’inscription en thèse pour les doctorants non-salariés ou de rattachement pour les doctorants enseignants-chercheurs.
Les dossiers seront obligatoirement déposés sous format papier ET sous format numérique (CD ou clé USBavec une étiquette comportant vos NOM et Prénom en français). Chaque pièce du dossier doit être enregistrée au format .doc ou .pdf dans un fichier séparé portant le nom de la pièce.
Les candidats en co-encadrement sont invités à solliciter dès le lancement de l’appel à candidatures une convention d’accueil auprès de l’établissement d’accueil en France. L’original de la lettre d’accueil devra être présenté le jour de l’audition.
Les candidats en cotutelle de thèse ayant fourni une déclaration d’engagement à signer une convention de cotutelle devront présenter une copie de cette convention le jour de l’audition.
Les candidats ne disposant pas d’une attestation de français en cours de validité peuvent solliciter un rendez-vous pour passer l’examen TCF à l’accueil de l’un des cinq Instituts français en Algérie :
- Institut français d’Alger : 7, rue Hassani Issad - 16000 Alger
- Institut français d'Annaba : 8 Bd du 1er Novembre 1954 - 23000 Annaba
- Institut français de Constantine : 1 boulevard de l'Indépendance - 25 000 Constantine
- Institut français d'Oran : 112, rue Larbi ben M'Hidi- 31009Oran
- Institut français de Tlemcen : 1 rue Commandant Djaber- 13000Tlemcen