Saturday, September 21, 2024

par A. M. | le quotidien d'oran

Parce qu'ils veulent éviter à tout prix d'être les laissés pour compte de l'opération, les architectes de Constantine, une fois qu'ils sont entrés dans les bonnes grâces du ministère de tutelle, celui de l'Habitat en l'occurrence, et que leur situation est prise en compte par le wali, ont demandé à être associés aux programmes des constructions lancés dans le cadre de la préparation de l'évènement «Constantine, capitale de la culture arabe 2015», ainsi que dans les projets du Fonds national du logement (Fonal ) et l'habitat rural. Car, en l'absence de plans de charges, de nombreux architectes de Constantine sont toujours au chômage, ceci au moment où de nombreux projets qui se déroulent sous leurs murs sont confiés à des architectes étrangers. Et c'est surtout dans cette optique que le Conseil de l'ordre des architectes (Cloa) de Constantine a provoqué, samedi, une assemblée générale de la corporation pour dénoncer la situation qui leur est faite et relever les «anomalies» existantes. Le déroulement de ce conclave a été marqué par la présence du représentant du ministre de l'Habitat et d'un membre du Conseil national de l'ordre des architectes et de 180 architectes sur les 200 que compte le Cloa de Constantine. Après l'approbation des bilans financiers, les architectes de Constantine n'ont pas manqué d'exprimer leur satisfaction à propos des décisions prises dernièrement par le wali en instaurant les concours d'architecture pour tout projet lancé dans la wilaya, mesure qui favorise grandement l'insertion des architectes locaux, surtout ceux qui se trouvent en chômage et vont bénéficier de plans de charge, ainsi que les instructions du ministre concernant le travail des architectes étrangers. Ceci étant fait, les architectes de Constantine ont pris deux décisions pour améliorer leur situation et celle de leurs collègues qui se trouvent au chômage : la première consiste à demander au wali de se pencher sur le cas de la vingtaine d'architectes inscrits au niveau des dispositifs de l'emploi de l'Ansej et de la Cnac, qui n'arrivent pas à avoir des plans de charge leur permettant de travailler, et ce pour les programmer dans les projets en cours ou dégager à leur profit une formule satisfaisante. La seconde décision prise par l'AG des architectes vise à demander aux pouvoirs publics d'interdire désormais l'utilisation des noms commerciaux en obligeant tout architecte en activité d'apposer son nom et prénom sur les dossiers des projets pris au lieu du cachet portant le nom du bureau d'études, utilisé actuellement pour échapper au paiement des impôts. «Dorénavant nous a expliqué Mme Djeradi Lamia, présidente du bureau du Cloa de Constantine, l'architecte doit agir en son nom propre, en tant que personne privée, et s'acquitter de ses impôts. Cette disposition vise en même temps à contrôler les permis de construire et les marchés».

L'AG du Cloa s'est penchée également sur l'élaboration d'un barème des honoraires de l'architecte afin, ont dit les participants, de faire barrage aux «casseurs des prix». Le projet de ce règlement a été arrêté et approuvé par l'AG et il entrera en application au mois de janvier prochain. Dans la foulée, les participants à l'AG ont fixé la date de tenue du séminaire international sur l'architecture qui sera organisé au mois de novembre 2014 par le Cloa de Constantine sous l'égide et le parrainage du ministère de l'Habitat sous le thème de : «l'architecture, défi du 21ème siècle». L'AG a demandé également au Cloa d'intervenir auprès du wali pour que les programmes du Fonal et de l'habitat rural soient répartis sur les architectes au chômage. Le Cloa a demandé à ceux qui n'ont pas de plan de charge à présenter un bilan négatif prouvant leur situation afin d'adresser un rapport global au wali.


A l’occasion de l’inauguration du bureau régional de Constantine, lequel a été rénové de fond en comble pour l’adapter aux normes de l’exercice du metier, plusieurs personnalités du monde journalistique, des magistrats et des amis du journal, tels Me Boujemaâ Ghechir (ex Président de la LADH), le journaliste chroniqueur Boubaker Hamidechi et bien d’autres, ont été conviés, dans l’après-midi de samedi dernier, à une sympathique collation.

La réception s’est déroulée dans une ambiance bon enfant emprunte de fierté et de satisfaction pour cette réalisation entrant dans le cadre de la modernisation des bureaux d’El watan et l’amélioration des conditions de travail des journalistes, correspondants de presse et employés du journal. Ont pris part aussi à cette rencontre une brochette de journalistes des régions de l’est qui participent cette semaine à une session de formation encadrée par Christophe Préault, de l’école de journalisme de Lille.

Les invités ont tous reconnu l’excellence de ce bureau en termes d’aménagement, de décor et équipements modernes. «Même si le journal fait face à une multitude d’attaques et de coups-bas assénés par des cercles activant pour le déstabiliser voire le faire disparaître du paysage médiatique national, El Watan reste combatif. Il poursuit son développement et demeurera un contre-pouvoir au service des citoyens et pour le bien de la patrie», a confié Omar Belhouchet, directeur d’El watan lors de son intervention. Pour sa part, Nouri Nesrouche, directeur des bureaux de l’Est,a exprimé sa fierté devant ce nouvel acquis. «Ce bureau flambant neuf et moderne nous permettra d’assurer notre mission dans les meilleures conditions. Ça ne peut que nous stimuler davantage.»

Souvenirs, partage et émotion n’ont pas manqué au rendez-vous aussi. «En cette heureuse circonstance, je ne peux qu’avoir une pensée pour notre collègue, le regretté feu Selim Mesbah que j’aurai aimé voir présent parmi nous», a ajouté le même responsable. A noter que les bureaux de Tizi Ouzou, Sétif, Blida et récemment Oran et Annaba ont été relookés également dans le même style. Par ailleurs, le nouveau siège national d’El Watan, un bâtiment de neuf étages érigé en plein centre d’Alger, sera inauguré à son tour au mois de Janvier 2015.                                       

Hafèdh Moussaoui

 

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Quatorze (14) médecins chefs de services ont été installés hier matin au niveau du CHU Dr Benbadis en  présence du directeur de l’établissement Ahmed Brachia et du directeur de la santé Azzouz Assassi.

 

Selon ce dernier, ces chefs de services sont les lauréats du concours national organisé il y a deux mois. Ils sont tous des professeurs spécialistes dans différentes branches médicales. «Avant, nous avons rencontré des difficultés pour ouvrir ces postes, car il s’agit de procédures interministérielles ; ce n’est qu’après la dernière visite du ministre de la santé à ces services que nous avons pu ouvrir ces postes dans le but de combler un déficit en gestionnaires et améliorer le travail.

Il y a eu également des propositions pour que les hôpitaux d’El Khroub, de la cité El Bir, et de Ali Mendjeli soient des centres hospitaliers, et il y aura de nouveaux postes pour réduire la surcharge au sein du CHU, mais elles ont été refusées par le ministère de l’enseignement supérieur», a déclaré le DSP. L’on saura que seul le service d’ophtalmologie qui ne dispose pas encore de responsable, car il n’y a pas eu de postulants dans cette spécialité.

D’autre part, le directeur du CHU nous a avoué qu’il y a eu une centaine de lauréats d’un autre concours qui vont être installés incessamment comme des chefs d’unités, au niveau des 52 services du même CHU. Notons que durant la même journée, 7 médecins chefs de services ont été installés à l’hôpital de Didouche Mourad, un à l’hôpital psychiatrique de Djebel Ouahch et un autre au service de néphrologie de la clinique de Daksi.

 

Yousra Salem

Massinissa roi de la Numidie est de retour

Le mausolée de Massinissa à El Khroub, les sites romains de Cherchell, Tipasa, Timgad à Batna, les Ksour de Boussemghoune à El Bayadh, rappellent la mémoire des ancêtres amazighs.

Le premier colloque international qui porte sur l'histoire ancienne du pays et qui s'intitule «Massinissa, au coeur de la consécration d'un premier Etat numide», aura lieu, du 20 au 22 septembre au centre culturel M'hamed-Yazid d'El Khroub à Constantine Le colloque accueillera de nombreux conférenciers qui viendront de plusieurs pays africains et européens, afin d'animer l'événement. Et pour mieux saisir l'importance de cet événement, nous nous sommes rapprochés des organisateurs et spécialistes en la matière afin de s'exprimer sur cette rencontre qui revêt une importance particulière.
Abderrezak Dourari, directeur du centre Cnplet, éminent chercheur, dira dans un esprit scientifique: «Cirta était capitale de la Numidie pendant 55 ans. On aurait pu remplacer Constantine, capitale de la culture arabe en 2015 par'' Cirta, capitale de la Numidie'' afin de redonner à l'histoire du pays toute sa dimension culturelle, civilisatrice et historique», tout en saluant l'initiative de l'organisation du colloque international sur le premier Etat de la Numidie à El Khroub. «Cirta», actuellement Constantine, était capitale de l'Etat numide (202 av J.-C.- 46 av J.-C.). Le premier Etat numide en Afrique du Nord, se forma au IIIe et IIe siècle avant l'ère chrétienne, sous le règne de Syphax puis Massinissa, chefs de la cavalerie numide et aguellids (rois) respectifs des Masaesyles et des Massyles, avec comme capitale Siga puis Cirta, centre économique prospère et puissant dans l'Antiquité. «Le tifinagh est la première langue transcrite en langue amazighe en Afrique du Nord,», précise-t-on, auprès des spécialistes en la matière qui relèvent du musée du Bardo a Alger. Contacté sur le choix de la ville d'El Khroub, qui devra abriter le colloque, Si El Hachemi Assad, secrétaire général du Haut Commissariat à l'amazighité, a précisé que «le choix et l'organisation de cette rencontre première du genre répondent en premier lieu, à l'existence du mausolée de Massinissa à El Khroub». M. Assad a ajouté que «le programme était mis en place depuis janvier 2014».
Résultat d'un très long sacrifice pour la noblesse de cette cause depuis des décennies, de nombreux spécialistes en la matière, n'ont pas manqué de toucher le problème du doigt.
En effet, ils regrettent le fait que «cette langue ne soit pas, n'est pas enseignée à l'école, que la langue amazighe ne bénéficie pas d'une académie qui la prenne en charge». Cependant, des rencontres comme celles qu'organise le HCA apportent un plus pour la culture, l'histoire et la langue amazighes». Sous le règne de Massinissa, l'Etat numide développe l'agriculture en fixant les populations nomades, fonde des villes, organise une administration efficace, met sur pied une armée fortement équipée et donne un élan sans précédent aux arts et à la culture, tout en assimilant les apports puniques et hellènes qu'il a su intégrer et transformer.
Le colloque organisé sous le haut patronage du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, le Haut Commissariat à l'amazighité (HCA) qui a été appuyé par le soutien du ministère de la Culture et de la wilaya de Constantine, signe une première sortie mémorable qui s'inscrit dans l'histoire de la Numidie.


A l’occasion de la journée nationale de l’étudiant, La Direction Générale de la Recherche Scientifique et du Développement Technologique en collaboration avec l’université Mentouri Constantine 1 a organisé le salon national de la vulgarisation de la science, qui s’est déroulé au sein del’université Mentouri à Constantine, du 19 au 22 Mai 2014.

      Plus d'un million trois cents mille (1 300 000) étudiants tous cycles confondus rejoindront dimanche les établissements universitaires, à travers le territoire national, à l'occasion de la rentrée universitaire 2014-2015, a affirmé samedi à Alger le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Mohamed Mebarki.
Lors d'une visite d'inspection de certains établissements universitaires à Alger en compagnie du wali d'Alger, la veille de la rentrée universitaire 2014-2015, le ministre a souligné que les universités algériennes étaient prêtes à accueillir ce nombre important d'étudiants. Tous les moyens matériels et humains ont été garantis pour assurer la réussite de cette rentrée universitaire, en dépit du nombre important d'étudiants enregistré dans certaines wilayas, comme Alger, a-t-il dit. Pour la réussite de ce rendez-vous important, 62 000 nouvelles places pédagogiques ont été créées cette année portant le nombre global à plus de 1,01 million de places pédagogiques. A cette occasion, le ministre a souligné que la rentrée universitaire 2014-2015 sera marquée cette année par «l'approfondissement des réformes du système éducatif, l'ouverture de plusieurs points de formation, tel le centre universitaire d'Illizi, des facultés de médecine de Ouargla, Laghouat, Bechar et des écoles supérieures spécialisées en biotechnologie et en Informatique à Constantine et Sidi Bel Abbès. «Des écoles supérieures de formation des formateurs dans l'Education nationale à Oran, Alger et Laghouat seront également ouvertes dans le souci d'améliorer la qualité de la formation et de l'enseignement supérieur, en accordant plus de temps à la formation», a précisé le ministre. Après la visite d'inspection qui l'a conduit à la faculté de médecine de Ben Aknoun, à la résidence universitaire de Bouzaréah, à la faculté de Dely Brahim et à la résidence universitaire de Said Hamdine, M. Mebarki a toutefois reconnu qu'il existait une «légère surcharge» concernant le nombre d'étudiants au niveau d'Alger, affirmant que le nombre d'étudiants a atteint 145 000 étudiants dont, 30 000 nouveaux bacheliers. La capitale dispose de 19 établissements universitaires dont quatre grandes universités et écoles supérieures nationales et est «prête à absorber ce nombre d'étudiants», a indiqué le ministre. Aprés avoir visité la Faculté de médecine de Ben Aknoun, le ministre, accompagné du wali, a inspecté le projet de réalisation de 8 000 places pédagogiques à la résidence universitaire de Bouzaréah, appelant l'entreprise en charge du projet (chinoise) à accélérer sa réalisation et assurer 4 000 places pédagogiques au minimum pour sa réception en janvier 2015. Le ministre a également inspecté les projets de réalisation d'un stade universitaire, 1 000 places pédagogiques à l'université de Dely Brahim (Alger III) et 3 000 lits à la résidence universitaire Saïd Hamdine. A une question sur les logements destinés aux enseignants, M. Mebarki a salué les efforts du ministère de l'Habitat, de l'urbanisme et de la ville et les walis «qui ont aidé le ministère à assurer des logements au profit des enseignants en attendant l'achèvement de la réalisation d'un projet de 10 000 logements au profit de cette catégorie».
APS

 

 

 


    L'Algérie dispose de tous les moyens humains et matériels pour «faire sa révolution numérique» et se «classer parmi les grandes puissances mondiales», en matière de technologie de l'information et de la communication (TIC), a indiqué, samedi à Alger, Younes Grar, expert et consultant en TIC.
«L'Algérie regorge de compétences dans le domaine des technologies de l'information ainsi que d'importants moyens technologiques, pour se hisser parmi les grandes puissances mondiales en TIC et faire ainsi sa propre révolution numérique », a précisé M. Grar, lors d'une conférence-débat, sur le thème de l'«utilisation de la connexion Internet en Algérie», organisée au forum du quotidien DK-News. L'Algérie était à l'avant-garde des pays utilisateurs des nouvelles technologies dans les années 1970, a ajouté M. Grar, rappelant que l'Institut national d'informatique (INI) avait formé de nombreux responsables africains et arabes, dans le secteur de l'informatique et de l'électronique. Pour l'intervenant, le domaine de l'Internet s'est imposé de lui-même dans le monde et l'Algérie a suivi les étapes de développement des moyens technologiques et informatiques, en se dotant des nouvelles techniques et formules. M. Grar a aussi fait remarquer l'engouement que manifestent les Algériens pour les nouvelles offres technologiques, précisant que «plus de deux millions» d'Algériens se sont abonnés à la 3G depuis son lancement. Il a rappelé dans ce sens que l'utilisation de l'Internet réduit les distances de communication et facilite la tâche aux citoyens dans de nombreux domaines, comme l'enseignement, la formation, les démarches administratives, le commerce et la santé. Selon le même conférencier, l'avènement du e-commerce, ebanquing, e-paiement et esanté, permettra aux Algériens de réduire les temps d'attentes dans les administrations et d'éviter les «contraintes bureaucratiques ». Au sujet du e-learning, Khaled Kaïd, expert et consultant en e-enseignement, a expliqué l'intérêt de l'enseignement et de la formation à distance et via internet. Pour le consultant, le service de formation par Internet permet de réduire les difficultés relatives aux déplacements, aux coûts, aux temps et durées et aux démarches administratives. Il a souligné à cet effet que les apprenants peuvent s'inscrire sans avoir à fournir un nombre important de documents administratifs et bénéficier des enseignements souhaités, aux moments voulus, sans avoir à s'absenter de leurs emplois, durant la période de formation. Le e-learning met aussi à la disposition des étudiants des plates-formes en ligne, avec des tuteurs et encadreurs, avec lesquels ils peuvent communiquer en direct, tout en s'évaluant, à l'aide d'exercices et questionnaires. Pour les deux intervenants, la numérisation et informatisation des administrations nationales nécessitent «des systèmes Internet à haut débit, sans coupures intempestives »,d'où la nécessité d'opter pour la fibre optique, plus fiable et efficace.

 

 

 


 par A. Mallem | le quotidien d'oran

    Le secteur de la formation professionnelle de la wilaya de Constantine a entamé hier la préparation de la rentrée de la première session programmée pour le 28 septembre prochain. C'est au cours d'une conférence de presse organisée hier au siège de la direction de wilaya sise à la zone industrielle le Palma que les dispositions prises pour cette rentrée et les chiffres correspondant à la nouvelle rentrée de la formation professionnelle ont été révélés. Ainsi, selon les animateurs de la conférence de presse, faite en présence de la directrice de wilaya, Mme Belmadjate, toutes les informations relatives à cette rentrée ont été communiquées à la presse. Selon M. Karouche Saïd, chef du service formation à la direction de wilaya, le ton sera donné, à partir d'aujourd'hui, par le lancement d'une semaine d'information et de sensibilisation à travers les communes de la wilaya. Elle sera organisée à l'intention des jeunes pour les inciter à s'inscrire dans les centres de formation professionnelle afin d'acquérir un métier et se lancer dans le monde du travail. Dans cette optique, 8 communes ont été ciblées et les opérations d'information, d'orientation et de sensibilisation vont se dérouler au niveau des centres culturels. Il s'agit des communes de Aïn Abid, Benbadis, Hamma Bouziane, Didouche Mourad, Zighoud Youcef, Ibn Ziad et Messaoud Boudjériou. Pour Constantine, un stand et des bureaux seront ouverts aujourd'hui, à partir de 1Oh, sur l'esplanade de la Brèche où il sera procédé à l'inscription en ligne des candidats.

Abordant les données chiffrées de la nouvelle rentrée, le chef du service de la formation a indiqué que 8.600 postes, tous types de formation confondus, sont offerts lors de cette première session (une seconde session est prévue pour le début de l'année prochaine). «Actuellement, a annoncé le conférencier, nous sommes parvenus à un chiffre de 2.000 candidats inscrits. Et c'est pour cela que nous avons décidé de mettre le paquet en organisant cette campagne d'information». Relativement aux spécialités offertes, M. Kerrouche n'a pas signalé de nouvelles qui sont venues s'ajouter aux 92 spécialités enseignées dans les différents niveaux de formation (du niveau CAP jusqu'à technicien supérieur) dans les 16 branches professionnelles enseignées dans les centres de la wilaya. Question structures, les mêmes centres d'enseignement et d'apprentissage seront sollicités aussi cette année. Et ces centres sont au nombre de 4, dont 3 INSFP (Institut national spécialisé de la formation professionnelle) et un IEP (Institut de l'enseignement professionnel). Les trois INSFP sont ceux de Sidi Mabrouk et de Zerzara à Constantine et le 3e celui d'El-Khroub. L'IEP se trouve au niveau d'Ali Mendjeli. En terminant, le cadre de la formation professionnelle a signalé que les structures de la formation professionnelle de la wilaya ont formé la saison dernière 7.500 stagiaires. Et cette année, le secteur compte avoir 13.000 apprenants, tous types de formation confondus. En matière d'encadrement, la wilaya compte sur 650 enseignants et la direction prévoit le recrutement de formateurs dont le nombre n'est pas encore arrêté.

 

 

 


Une nouvelle étude menée sur des météorites martiennes témoigne de l’existence de poches de gaz de méthane sous la surface martienne. Un élément propice au maintien de la vie comme certains micro-organismes des milieux extrêmes que l’on peut observer sur Terre. Depuis des années, les astronomes s’attèlent à la recherches de preuves sur Mars attestant de l’existence de formes de vie actuelles et passées. Alors que ces indices ne semblent jamais avoir été aussi insaisissables, une nouvelle étude suggère de s’intéresser à ce qui se cache sous la surface de la planète rouge. Pour en arriver à de telles conclusions, les scientifiques ont mené des travaux sur six météorites martiennes provenant de diverses collections de musées. Leurs résultats, publiés dans la revue Nature Communications affirme la présence de poches de gaz méthane à l’intérieur de ces roches. Selon les chercheurs, cette découverte laisse sous-entendre la possibilité pour des organismes méthanotrophes, tels que des bactéries, de se développer dans le sol de la planète. Se concentrer sous la surface "Nous devons être clair sur le fait que nous n'avons pas détecté la vie. Toutefois, si la vie existe sur Mars, alors nous devrions nous concentrer sur le sous-sol", a résumé dans un communiqué Nigel Blamey, directeur des travaux et chercheur à l'Université Brock en Ontario. L'an dernier, le robot de la NASA Curiosity a identifié de curieuses fluctuations de méthane provenant d’une zone située sous le cratère Gale. Toutefois, des questions demeuraient quant à son origine. Ces observations suggèrent ainsi que le gaz est toujours produit sur la planète à l’heure actuelle. La surface de Mars, constamment bombardée par les radiations, est considéré comme un environnement hostile à la vie dans lequel les températures peuvent chuter aussi bas que -90°C. Un environnement propice aux organismes des milieux extrêmes ? Toutefois, les analyses menées sur les météorites suggèrent que les conditions sous la surface pourraient être plus favorable, tout du moins pour les micro-organismes des milieux extrêmes. Ces bactéries, habituées aux environnement riches en méthane et pauvres en oxygène vivent ici sur Terre dans les vases, les marais et tourbières. Les scientifiques restent néanmoins divisés quant à l’origine de ce méthane sur Mars. Sur Terre, une grande partie de ce gaz présent dans l'atmosphère est produite par la vie, y compris les micro-organismes méthanogènes et les animaux. Cependant, le méthane dans les météorites pourrait avoir été produit par des bactéries, il y a plus d'un milliard d'années à une époque où l'eau liquide coulait à la surface de la planète rouge. Le programme ExoMars développé par l'Agence spatiale européenne devrait apporter plus de réponses sur ce mystère. Il est prévu qu’un robot soit envoyé sur la planète rouge et arrive en 2019 pour récolter des échantillons jusqu’à deux mètres en dessous de la surface.

Publié par Maxime Lambert, le 19 juin 2015

 

 

 


 

As a young physicist in Tunisia, Imen Sfar gave little thought to politics until March 2010, when a street vendor set himself on fire to protest about corruption in the city of Monastir, where Sfar worked.

Two months later, an influential blogger and close friend of Sfar's was arrested and interrogated for helping to organize a demonstration opposing Internet censorship in Tunisia. His detention gave Sfar the “courage factor”, she says, to join the revolution that erupted in December 2010, after another street vendor set himself aflame in Sidi Bouzid to protest against harassment by local officials. That act unleashed years of pent-up frustrations against the repressive government of President Zine al-Abidine Ben Ali, who had ruled the country for almost a quarter of a century (see Nature 469, 453454; 2011).

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