Saturday, April 20, 2024

avril 2016 - Université Frère Mentouri - Constantine 1

«...Une vision commune visant le développement durable, qui met les bases d’une culture d’ouverture sur la vie et rompt avec la culture de la mort, de l’extrémisme et du repli », dira hier, Mme Sonia M’barek, la ministre tunisienne de la Culture en recevant le flambeau lui passant l’honneur d’organiser à Sfax la ville du sud, l’événement culturel de « Capitale de la culture arabe », de son homologue algérien, M. Azzedine Mihoubi. Une invitation officielle a été, par ailleurs, adressée au président tunisien de la commission d’organisation de la manifestation culturelle « Sfax Capitale de la Culture Arabe 2016 », afin de faire bénéficier ce pays frère de la riche expérience algérienne dans ce domaine, l’événement CCCA formidablement réussi, selon la ministre. Constantine capitale de la culture arabe 2015, a passé le flambeau de la manifestation à Sfax, la ville tunisienne lors d’une soirée pleine de musicalité animée, hier, au niveau de la salle des Grands Spectacles Ahmed Bey. Symbolisant la réconciliation entre Cirta et Syfax et renforçant ainsi, par ce passage intermaghrébin de  l’événement culturel, les liens très étroits, remontant aux époques les plus anciennes, entre les deux pays frères et voisins, comme l’a souligné M. Azzedine  Mihoubi, notre ministre de la Culture. Ces liens, nul ne l’ignore, vont  du domaine politique au sportif, passant par le social, familial, pour toucher  le sécuritaire, ces liens sont une histoire commune et un avenir inéluctablement commun. C’était une soirée où les plus belles voix algériennes et tunisiennes, se sont entremêlées harmonieusement,  Ziad Gharssa, Djamel Chabbi  Abdallah El Menai, Sofia Sadek qui a chanté les paroles d’Azzedine Mihoubi,  Abdou Deriassa qui a fait revivre les chansons de son père, Mehrzia Touil a épaté dans le style Tarabi, ainsi que des chansons collectives tirées du répertoire de  Mohamed El Djemmoussi, et de  Dahmene El Harrachi « ya rayh wine messefer ». Soulignons qu’hier, à son arrivée à Constantine, Mme M’barek, la ministre tunisienne accompagnée par M. Azzedine Mihoubi  et le wali de Constantine, a été invitée à inaugurer l’annexe de la maison de la culture d’Ali Mendjeli. Après une présentation de cette infrastructure, une visite guidée à travers ses différentes ailes, une belle exposition de tableaux de peinture attendait la ministre. Au niveau de la salle des spectacles flambant neuve, une chorale de 7 jeunes talents,  a chanté à la mémoire de Benbadis, « Chaab el djazir mouslimoune », en version moderne très rythmée et ensuite classique,  une œuvre mise en scène par  Islam Mamoune. On soulignera  à la fin, que la ville de Sfax va bénéficier dans le cadre  de cet événement de beaucoup de projets,  citons la transformation de l’église catholique en bibliothèque numérique et un théâtre accueillant 200 spectateurs, la réhabilitation de l’ancienne ville afin de l’introduire dans le patrimoine international de l’Unesco et l’aménagement de la corniche de Sfax pour devenir un espace de détente.   

Rekibi Chikhi

L'est republicain

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ALGER- Les membres de l'assemblée populaire nationale (APN) ont adopté, mercredi à la majorité, le projet de loi relatif à l'utilisation de l'empreinte génétique dans les procédures judiciaires et l'identification des individus.

Le vote du texte de loi a eu lieu lors d'une séance plénière, présidée par M. Mohamed Larbi Ould Khelifa, président de l'APN, et en présence de la ministre de la Solidarité nationale et de la condition de la femme Mounia Meslem en remplacement du ministre de la Justice Garde des sceaux Tayeb Louh.

A l'issue du vote, Mme Meslem a indiqué que la loi mettait en place le cadre législatif pour l'utilisation de l'empreinte génétique dans les procédures judiciaires et l'identification des individus dans le respect de leur  vie privée et de leurs données personnelles.

"Il s'agit d'un outil a même de contribuer au développement de l'action judiciaire conformément aux objectifs du programme du président de la République que le gouvernement s'attelle à mettre en oeuvre", a-t-elle dit.

Pour la ministre, la loi sur l'utilisation de l'empreinte génétique permettra à la justice d'opérer un bond qualitatif dans l'utilisation des procédés scientifiques en matière de preuve. "Une avancée dans la voie de la consolidation de la justice en tant que fondement de l'édification de l'Etat de droit et garant des libertés et droits fondamentaux", a encore soutenu Mme Meslem précisant que le texte adopté fixait les règles d'utilisation de cette technique et les autorités habilitées à ordonner le prélèvement d'échantillons biologiques pour procéder à ces prélèvements ainsi que les services qui peuvent demander le recours à cette technique.

La ministre a ajouté que le texte définissait les catégories à soumettre aux analyses de l'empreinte génétique, les personnes habilitées à   faire les prélèvements, les services agréés pour faire les analyses ainsi que les conditions et limites d'utilisation de l’empreinte génétique.

La commission des affaires juridiques, administratives et des libertés de l'APN a fait savoir dans son rapport qu'aucune proposition d'amendement  n' a émané des députés au regard de l'aspect technique du texte de loi.

APS

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L’Assemblée populaire nationale a également procédé à l’adoption à la majorité absolue du projet de loi relative à l’utilisation de l’empreinte génétique dans les procédures juridiques et l’identification des personnes, un texte de loi qui vient combler un vide juridique en dépit de l’utilisation de cette technique depuis des années et encadrer ces opérations en définissant les règles garantissant qu’aucun usage abusif ne soit fait de l’empreinte génétique. Prenant la parole au nom du ministre de la Justice, la ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme, Mounia Meslem, qui a salué les députés pour ce vote positif, a indiqué que la loi vient mettre en place le cadre législatif pour l’utilisation de l’empreinte génétique dans les procédures judiciaires et l’identification des individus dans le respect de leur vie privée et de leurs données personnelles. Elle a ajouté que ce nouvel outil contribuera au développement de l’action judiciaire conformément aux objectifs du programme du Président de la République que le gouvernement s’applique à mettre en œuvre.  
Le texte garantit également que les échantillons obtenus pour ne pas être utilisés à des fins illicites, conformément à la Déclaration universelle sur le génome humain et les droits de l’homme, promulguée par l'UNESCO le 11 novembre 1997. La loi qui vient d’être votée repose sur plusieurs principes dont la protection de la vie privée des personnes et l’établissement d’un équilibre entre celle-ci et la nécessité de préserver la sécurité et de protéger la société contre la criminalité sous toutes ses formes.
Elle intervient pour adapter et harmoniser la législation nationale aux progrès enregistrés en matière de moyens de preuve et de recherche scientifique concernant l’ADN. Les membres parlementaires ont également procédé à l’adoption des rapports de validation de la qualité d’un député du RND en remplacement de Miloud Chorfi, désigné sénateur au Conseil de la nation et du remplacement de la députée de l’AAV, Oum Hani par Saïd Aït Djenaoui. Les travaux de l’APN reprendront ce matin en séance plénière consacrée aux réponses à des questions adressées au ministre des
Finances et au ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche.
Houria A.

El Moudjahid

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Premiers pas dans la recherche appliquée

Le Centre de recherche en biotechnologie (CRBT) a organisé pour la première fois, les 11 et 12 avril, des journées portes ouvertes

destinées, entres autres, «aux différents représentants du secteur socio-économique dans le but de faire connaître notre Centre et ce que la recherche partenariale en biotechnologie pourrait apporter à la société en général», nous déclare d’emblée Wahida Zeghouane, chef du département des relations extérieures et de la valorisation des résultats de la recherche.

Le CRBT s’impose actuellement en tant qu’unique institution de l’enseignement supérieur dédié à la recherche en biotechnologie à l’échelle nationale.

D’où «sa capacité à coordonner les réseaux de recherche et de développement technologique dans le domaine des biotechnologies, afin d’apporter des  réponses aux besoins du pays dans les secteurs de la santé, l’agriculture, l’agroalimentaire, l’environnement et l’industrie», soutiennent tour à tour Hadjer Zaak et Boualem Harfi, respectivement responsables de la division biotechnologie alimentaire et biotechnologie agriculture.

La mission dévolue à cet établissement, opérationnel depuis 2010, sera renforcée — du moins le vœu a été formulé à travers ces portes ouvertes — par «la possibilité de mettre en place des équipes et/ou des laboratoires mixtes en choisissant des thématiques qui sont au cœur des priorités et des préoccupations du pays».

Aussi, conformément aux nouvelles orientations de la Direction générale de la recherche scientifique et du développement technologique (DGRSDT), il sera mis à la disposition des étudiants en post-graduation les ressources humaines et matérielles de ces laboratoires afin de les accompagner dans la réalisation de leurs travaux de recherche.

Le CRBT est un établissement public à caractère scientifique et technique, affilié au ministère de l’Enseignement supérieur et la Recherche scientifique. Implanté sur  le site de la nouvelle ville Ali Mendjeli à Constantine,  il dispose de cinq divisions de recherche, à savoir les unités d’immunologie, de biotechnologie alimentaire, de biotechnologie et environnement, de biotechnologie et agriculture, de biotechnologie et santé et de biotechnologie industrielle.

Parmi ses missions, il est question d’identifier et de coordonner en réseau de recherche et d’animer les équipes de recherche existantes dans le domaine des biotechnologies, d’assurer la veille scientifique et technologique en rapport avec les biotechnologies ou encore de participer au développement et à l’harmonisation de la législation ayant trait à la bioéthique, à la biosécurité et aux normes de référence. «Le CRBT est un centre de recherche appliquée voué à répondre aux besoins bioéconomiques», précise le Dr Harfi.

Chaque division planche actuellement sur au moins deux projets et pas des moindres. Le transfert embryonnaire bovin pour l’amélioration de l’espèce ou la mise au point d’un ferment lactique local (fromage sans conservateur) en partenariat avec une laiterie constantinoise sont autant de travaux qui impacteront demain les secteurs de l’agriculture et de l’alimentaire.

Et les visées ne s’arrêtent pas là. En mai dernier, ce Centre a abrité le lancement du séquençage du génome algérien. Un projet de haute technologie, dirigé par un noyau de chercheurs du CRBT, de scientifiques algériens travaillant aux Etats-Unis et en Arabie Saoudite, en collaboration avec des Américains ayant participé au projet emblématique du séquençage du génome humain. C’est dire la vocation de ce centre et l’impact de sa mission sur l’essor du développement biotechnologie, notamment dans la résolution de problèmes majeurs de santé.

D’ailleurs, l’ensemble des institutions de formation, de recherche, d’accompagnement et de développement des biotechnologies réunis territorialement  à Constantine seront, sans nul doute, déterminants dans le développement de l’investissement et de la création d’entreprises ayant un lien direct avec les secteurs de l’agriculture, de l’environnement et de l’industrie pharmaceutique. Concernant cette dernière spécialité, Constantine en est le pôle national incontestable.

Recherche tous azimuts

Pour rappel, les biotechnologies sont utilisées dans différents domaines. Elles s’appuient sur le traitement de quantités prodigieuses de données générées aussi bien par la biologie moléculaire et la génomique que d’autres disciplines non biologiques telles que la robotique, l’électronique ou encore la bionique.

Dans cette optique, une manifestation scientifique sur les biotechnologies a été organisée, les 19, 20 et 21 octobre 2015, à l’université Mentouri, parrainée conjointement avec l’Agence thématique de recherche en biotechnologie et sciences agroalimentaires (ATRBSA). «C’était une opportunité pour réunir plusieurs chercheurs et spécialistes à l’effet d’illustrer des exemples de recherches innovantes en la matière et aussi débattre d’un certain nombre de thématiques, dont les biotechnologies et la santé, l’agriculture, l’environnement et les industries», selon le rectorat.

Pour cette manifestation, le CRBT avait livré aux visiteurs des échantillons de projets de recherche dans six domaines : la santé, l’agriculture, l’environnement, l’agroalimentaire, la biosécurité et les TIC.

Les recherches appliquées en matière de santé humaine, si elles ne sont qu’au stade de l’étude, s’annoncent sous les meilleurs auspices, selon le docteur Tarek Boudiar qui est à la tête de l’entité «biotechnologie et santé» qui axe sa mission sur  le diagnostic et le traitement. Actuellement, ses équipes se penchent sur quatre projets, dont deux relatifs au cancer du poumon et au glaucome.

Le diagnostic et le traitement de ces pathologies ne sont-ils pas du ressort des oncologues ? Sûr que oui, mais l’approche des chercheurs du CRBT est toute autre. «Notre recherche a pour base de travail le gène pour déterminer la cause du problème et cibler la thérapie», affirme le Dr Boudiar, dont le département projette la mise en place d’un «conseil génétique pour les familles». Une mission préventive qui aidera à la détection notamment du glaucome, pour une prise en charge efficiente.

La palette des recherches inclut, par ailleurs, la phytothérapie. Les principes actifs de certaines plantes, dites médicinales, sont testés sur des cellules cancéreuses. Ce qui pourrait augurer d’avancées dans le domaine des thérapies, peut-être dans quelques années, puisque tout projet de recherche n’exige pas uniquement des financements, mais surtout du temps.

Naima Djekhar
El Watan Etudiant
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Un public intéressé a assisté, hier, à une conférence très instructive animée par Nedjma Benachour-Tebbouche autour du thème «L’image de

Constantine dans la littérature algérienne», organisée en marge du Salon national du livre, qui se tient du 11 au 16 avril à l’université Mentouri de Constantine. Maîtrisant parfaitement son sujet, qui a fait l’objet d’une thèse de doctorat d’Etat autour de la représentation littéraire de Constantine à travers différents genres, l’intervenante, professeur à l’université Mentouri, relèvera que contrairement à plusieurs autres villes d’Algérie, l’antique Cirta a suscité depuis des siècles la curiosité des voyageurs et des hommes de lettres, qu’elle a inspirés de par sa lisibilité et ses sites naturels uniques au monde.

Abordant le volet des voyages, elle citera les illustres Salluste, El Idrissi, El Bakri, et autres Ibn Battouta, Thomas Shaw et le non moins illustre Mohamed Ibn El Hassan Al Ouazzan, célèbre sous le nom de Léon l’Africain. C’est dire que La Cité aérienne a toujours fasciné par ses vestiges. Elle le fera aussi pour Eugène Fromentin, devenu peintre après avoir été émerveillé par les Gorges du Rhummel, mais l’on retrouvera également d’autres célébrités à la notoriété avérée dont la ville a laissé des traces éternelles dans leurs œuvres à l’image de Théophile Gautier, Alexandre Dumas, Guy de Maupassant, mais surtout Gustave Flaubert, qui a carrément repris sa célèbre œuvre Salambô, après avoir visité le Vieux rocher.

«Toutes ces œuvres pleines d’une forte charge esthétique sont très importantes pour la ville. Elles font désormais partie de son patrimoine, car  Constantine y est très présente,  c’est pour cela, qu’on doit se sentir nous aussi partie prenante et on doit penser à les éditer et les publier à grande échelle pour qu’elles soient consultées et facilement accessibles», notera Nedjma Benachour. Sur le volet des témoignages consacrés à la ville, la conférencière citera les innombrables travaux réalisés aussi bien par des juifs (Guy Bensimon et Benjamin Stora), mais surtout les autochtones, à l’instar de Malek Bennabi qui en a consacré de larges passages dans son illustre Mémoires d’un témoin du siècle, Malek Haddad dans La dernière impression et autres Nadjia Abeer, Badreddine Mili, Rachid Boudjedra et le comique Smaïn.

«Constantine est une ville incontournable dans le roman algérien au point que l’on parle du roman constantinois», affirme la conférencière, qui note que depuis la guerre de libération jusqu’à nos jours, en passant par la décennie noire des années 1990, l’antique Cirta est toujours présente dans les œuvres de nombreux romanciers. «Dans les œuvres de Kateb Yacine, Malek Haddad, Rachid Boudjedra, Tahar Ouattar, Rachid Mimouni et autres, Constantine est parfois un refuge fictif ou anthologique, parfois un espace cathartique face à la violence, et dans bien des cas une ville emblématique», indique Nedjma Benachour, pour qui Constantine, qui jouit également d’une grande richesse en littérature orale, continuera toujours à susciter les curiosités et les réflexions.  

Arslan Selmane
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ARAK EDITION
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lundi, 11 avril 2016 09:03

Programme Culturel

Exposition fantasia

 

Sous le Haut Patronage de Son Excellence, le Président de la République, Monsieur Abdelaziz BOUTEFLIKA. Sous l’égide du Ministre de la Culture Monsieur Azzedine MIHOUBI, dans le cadre de Constantine, Capitale de la Culture Arabe 2015, Sous le Commissariat de Monsieur Sami BENCHIKH EL HOCINE. Nous avons l’honneur de vous inviter à visiter l’exposition photographique qui accompagne la présentation du livre «FANTASIA, Une Mémoire... Un Art» de Leïla BOUTAMMINE OULD ALI le Dimanche 10 Avril 2016 à partir de 14h30 au Musée national des arts et expressions culturelles traditionnelles - Palais Hadj Ahmed BEY Constantine

Lire la suite sur le site

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Film "El Boughi"El boughi

Date: Le 11 Avril 2016 à 18h00          
Lieu: Salle de spectacle Ahmed Bey (Zénith)




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Film "Lella Zbida"Lella zbida

Date: Le 13 Avril 2016 à 18h00                              
Lieu: Salle de spectacle Ahmed Bey (Zénith)

dimanche, 10 avril 2016 09:58

The chips are down for Moore’s law

 

The chips are down for Moore’s law

 

The semiconductor industry will soon abandon its pursuit of Moore's law. Now things could get a lot more interesting.

 

 

 

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Next month, the worldwide semiconductor industry will formally acknowledge what has become increasingly obvious to everyone involved: Moore's law, the principle that has powered the information-technology revolution since the 1960s, is nearing its end.

A rule of thumb that has come to dominate computing, Moore's law states that the number of transistors on a microprocessor chip will double every two years or so — which has generally meant that the chip's performance will, too. The exponential improvement that the law describes transformed the first crude home computers of the 1970s into the sophisticated machines of the 1980s and 1990s, and from there gave rise to high-speed Internet, smartphones and the wired-up cars, refrigerators and thermostats that are becoming prevalent today.

Kerri Smith finds out from industry experts what will happen when Moore’s law falters

None of this was inevitable: chipmakers deliberately chose to stay on the Moore's law track. At every stage, software developers came up with applications that strained the capabilities of existing chips; consumers asked more of their devices; and manufacturers rushed to meet that demand with next-generation chips. Since the 1990s, in fact, the semiconductor industry has released a research road map every two years to coordinate what its hundreds of manufacturers and suppliers are doing to stay in step with the law — a strategy sometimes called More Moore. It has been largely thanks to this road map that computers have followed the law's exponential demands.

Not for much longer. The doubling has already started to falter, thanks to the heat that is unavoidably generated when more and more silicon circuitry is jammed into the same small area. And some even more fundamental limits loom less than a decade away. Top-of-the-line microprocessors currently have circuit features that are around 14 nanometres across, smaller than most viruses. But by the early 2020s, says Paolo Gargini, chair of the road-mapping organization, “even with super-aggressive efforts, we'll get to the 2–3-nanometre limit, where features are just 10 atoms across. Is that a device at all?” Probably not — if only because at that scale, electron behaviour will be governed by quantum uncertainties that will make transistors hopelessly unreliable. And despite vigorous research efforts, there is no obvious successor to today's silicon technology.

The industry road map released next month will for the first time lay out a research and development plan that is not centred on Moore's law. Instead, it will follow what might be called the More than Moore strategy: rather than making the chips better and letting the applications follow, it will start with applications — from smartphones and supercomputers to data centres in the cloud — and work downwards to see what chips are needed to support them. Among those chips will be new generations of sensors, power-management circuits and other silicon devices required by a world in which computing is increasingly mobile.

The changing landscape, in turn, could splinter the industry's long tradition of unity in pursuit of Moore's law. “Everybody is struggling with what the road map actually means,” says Daniel Reed, a computer scientist and vice-president for research at the University of Iowa in Iowa City. The Semiconductor Industry Association (SIA) in Washington DC, which represents all the major US firms, has already said that it will cease its participation in the road-mapping effort once the report is out, and will instead pursue its own research and development agenda.

Everyone agrees that the twilight of Moore's law will not mean the end of progress. “Think about what happened to airplanes,” says Reed. “A Boeing 787 doesn't go any faster than a 707 did in the 1950s — but they are very different airplanes”, with innovations ranging from fully electronic controls to a carbon-fibre fuselage. That's what will happen with computers, he says: “Innovation will absolutely continue — but it will be more nuanced and complicated.”

Laying down the law

The 1965 essay1 that would make Gordon Moore famous started with a meditation on what could be done with the still-new technology of integrated circuits. Moore, who was then research director of Fairchild Semiconductor in San Jose, California, predicted wonders such as home computers, digital wristwatches, automatic cars and “personal portable communications equipment” — mobile phones. But the heart of the essay was Moore's attempt to provide a timeline for this future. As a measure of a microprocessor's computational power, he looked at transistors, the on–off switches that make computing digital. On the basis of achievements by his company and others in the previous few years, he estimated that the number of transistors and other electronic components per chip was doubling every year.

Moore, who would later co-found Intel in Santa Clara, California, underestimated the doubling time; in 1975, he revised it to a more realistic two years2. But his vision was spot on. The future that he predicted started to arrive in the 1970s and 1980s, with the advent of microprocessor-equipped consumer products such as the Hewlett Packard hand calculators, the Apple II computer and the IBM PC. Demand for such products was soon exploding, and manufacturers were engaging in a brisk competition to offer more and more capable chips in smaller and smaller packages (see 'Moore's lore').

Source: Top, Intel; bottom, SIA/SRC

This was expensive. Improving a microprocessor's performance meant scaling down the elements of its circuit so that more of them could be packed together on the chip, and electrons could move between them more quickly. Scaling, in turn, required major refinements in photolithography, the basic technology for etching those microscopic elements onto a silicon surface. But the boom times were such that this hardly mattered: a self-reinforcing cycle set in. Chips were so versatile that manufacturers could make only a few types — processors and memory, mostly — and sell them in huge quantities. That gave them enough cash to cover the cost of upgrading their fabrication facilities, or 'fabs', and still drop the prices, thereby fuelling demand even further.

Soon, however, it became clear that this market-driven cycle could not sustain the relentless cadence of Moore's law by itself. The chip-making process was getting too complex, often involving hundreds of stages, which meant that taking the next step down in scale required a network of materials-suppliers and apparatus-makers to deliver the right upgrades at the right time. “If you need 40 kinds of equipment and only 39 are ready, then everything stops,” says Kenneth Flamm, an economist who studies the computer industry at the University of Texas at Austin.

To provide that coordination, the industry devised its first road map. The idea, says Gargini, was “that everyone would have a rough estimate of where they were going, and they could raise an alarm if they saw roadblocks ahead”. The US semiconductor industry launched the mapping effort in 1991, with hundreds of engineers from various companies working on the first report and its subsequent iterations, and Gargini, then the director of technology strategy at Intel, as its chair. In 1998, the effort became the International Technology Roadmap for Semiconductors, with participation from industry associations in Europe, Japan, Taiwan and South Korea. (This year's report, in keeping with its new approach, will be called the International Roadmap for Devices and Systems.)

“The road map was an incredibly interesting experiment,” says Flamm. “So far as I know, there is no example of anything like this in any other industry, where every manufacturer and supplier gets together and figures out what they are going to do.” In effect, it converted Moore's law from an empirical observation into a self-fulfilling prophecy: new chips followed the law because the industry made sure that they did.

And it all worked beautifully, says Flamm — right up until it didn't.

Heat death

The first stumbling block was not unexpected. Gargini and others had warned about it as far back as 1989. But it hit hard nonetheless: things got too small.

“It used to be that whenever we would scale to smaller feature size, good things happened automatically,” says Bill Bottoms, president of Third Millennium Test Solutions, an equipment manufacturer in Santa Clara. “The chips would go faster and consume less power.”

But in the early 2000s, when the features began to shrink below about 90 nanometres, that automatic benefit began to fail. As electrons had to move faster and faster through silicon circuits that were smaller and smaller, the chips began to get too hot.

That was a fundamental problem. Heat is hard to get rid of, and no one wants to buy a mobile phone that burns their hand. So manufacturers seized on the only solutions they had, says Gargini. First, they stopped trying to increase 'clock rates' — how fast microprocessors execute instructions. This effectively put a speed limit on the chip's electrons and limited their ability to generate heat. The maximum clock rate hasn't budged since 2004.

Second, to keep the chips moving along the Moore's law performance curve despite the speed limit, they redesigned the internal circuitry so that each chip contained not one processor, or 'core', but two, four or more. (Four and eight are common in today's desktop computers and smartphones.) In principle, says Gargini, “you can have the same output with four cores going at 250 megahertz as one going at 1 gigahertz”. In practice, exploiting eight processors means that a problem has to be broken down into eight pieces — which for many algorithms is difficult to impossible. “The piece that can't be parallelized will limit your improvement,” says Gargini.

Even so, when combined with creative redesigns to compensate for electron leakage and other effects, these two solutions have enabled chip manufacturers to continue shrinking their circuits and keeping their transistor counts on track with Moore's law. The question now is what will happen in the early 2020s, when continued scaling is no longer possible with silicon because quantum effects have come into play. What comes next? “We're still struggling,” says An Chen, an electrical engineer who works for the international chipmaker GlobalFoundries in Santa Clara, California, and who chairs a committee of the new road map that is looking into the question.

That is not for a lack of ideas. One possibility is to embrace a completely new paradigm — something like quantum computing, which promises exponential speed-up for certain calculations, or neuromorphic computing, which aims to model processing elements on neurons in the brain. But none of these alternative paradigms has made it very far out of the laboratory. And many researchers think that quantum computing will offer advantages only for niche applications, rather than for the everyday tasks at which digital computing excels. “What does it mean to quantum-balance a chequebook?” wonders John Shalf, head of computer-science research at the Lawrence Berkeley National Laboratory in Berkeley, California.

Material differences

A different approach, which does stay in the digital realm, is the quest to find a 'millivolt switch': a material that could be used for devices at least as fast as their silicon counterparts, but that would generate much less heat. There are many candidates, ranging from 2D graphene-like compounds to spintronic materials that would compute by flipping electron spins rather than by moving electrons. “There is an enormous research space to be explored once you step outside the confines of the established technology,” says Thomas Theis, a physicist who directs the nanoelectronics initiative at the Semiconductor Research Corporation (SRC), a research-funding consortium in Durham, North Carolina.

“My bet is that we run out of money before we run out of physics.”

Unfortunately, no millivolt switch has made it out of the laboratory either. That leaves the architectural approach: stick with silicon, but configure it in entirely new ways. One popular option is to go 3D. Instead of etching flat circuits onto the surface of a silicon wafer, build skyscrapers: stack many thin layers of silicon with microcircuitry etched into each. In principle, this should make it possible to pack more computational power into the same space. In practice, however, this currently works only with memory chips, which do not have a heat problem: they use circuits that consume power only when a memory cell is accessed, which is not that often. One example is the Hybrid Memory Cube design, a stack of as many as eight memory layers that is being pursued by an industry consortium originally launched by Samsung and memory-maker Micron Technology in Boise, Idaho.

Microprocessors are more challenging: stacking layer after layer of hot things simply makes them hotter. But one way to get around that problem is to do away with separate memory and microprocessing chips, as well as the prodigious amount of heat — at least 50% of the total — that is now generated in shuttling data back and forth between the two. Instead, integrate them in the same nanoscale high-rise.

This is tricky, not least because current-generation microprocessors and memory chips are so different that they cannot be made on the same fab line; stacking them requires a complete redesign of the chip's structure. But several research groups are hoping to pull it off. Electrical engineer Subhasish Mitra and his colleagues at Stanford University in California have developed a hybrid architecture that stacks memory units together with transistors made from carbon nanotubes, which also carry current from layer to layer3. The group thinks that its architecture could reduce energy use to less than one-thousandth that of standard chips.

Going mobile

The second stumbling block for Moore's law was more of a surprise, but unfolded at roughly the same time as the first: computing went mobile.

Twenty-five years ago, computing was defined by the needs of desktop and laptop machines; supercomputers and data centres used essentially the same microprocessors, just packed together in much greater numbers. Not any more. Today, computing is increasingly defined by what high-end smartphones and tablets do — not to mention by smart watches and other wearables, as well as by the exploding number of smart devices in everything from bridges to the human body. And these mobile devices have priorities very different from those of their more sedentary cousins.

Keeping abreast of Moore's law is fairly far down on the list — if only because mobile applications and data have largely migrated to the worldwide network of server farms known as the cloud. Those server farms now dominate the market for powerful, cutting-edge microprocessors that do follow Moore's law. “What Google and Amazon decide to buy has a huge influence on what Intel decides to do,” says Reed.

Much more crucial for mobiles is the ability to survive for long periods on battery power while interacting with their surroundings and users. The chips in a typical smartphone must send and receive signals for voice calls, Wi-Fi, Bluetooth and the Global Positioning System, while also sensing touch, proximity, acceleration, magnetic fields — even fingerprints. On top of that, the device must host special-purpose circuits for power management, to keep all those functions from draining the battery.

The problem for chipmakers is that this specialization is undermining the self-reinforcing economic cycle that once kept Moore's law humming. “The old market was that you would make a few different things, but sell a whole lot of them,” says Reed. “The new market is that you have to make a lot of things, but sell a few hundred thousand apiece — so it had better be really cheap to design and fab them.”

Both are ongoing challenges. Getting separately manufactured technologies to work together harmoniously in a single device is often a nightmare, says Bottoms, who heads the new road map's committee on the subject. “Different components, different materials, electronics, photonics and so on, all in the same package — these are issues that will have to be solved by new architectures, new simulations, new switches and more.”

For many of the special-purpose circuits, design is still something of a cottage industry — which means slow and costly. At the University of California, Berkeley, electrical engineer Alberto Sangiovanni-Vincentelli and his colleagues are trying to change that: instead of starting from scratch each time, they think that people should create new devices by combining large chunks of existing circuitry that have known functionality4. “It's like using Lego blocks,” says Sangiovanni-Vincentelli. It's a challenge to make sure that the blocks work together, but “if you were to use older methods of design, costs would be prohibitive”.

Costs, not surprisingly, are very much on the chipmakers' minds these days. “The end of Moore's law is not a technical issue, it is an economic issue,” says Bottoms. Some companies, notably Intel, are still trying to shrink components before they hit the wall imposed by quantum effects, he says. But “the more we shrink, the more it costs”.

Every time the scale is halved, manufacturers need a whole new generation of ever more precise photolithography machines. Building a new fab line today requires an investment typically measured in many billions of dollars — something only a handful of companies can afford. And the fragmentation of the market triggered by mobile devices is making it harder to recoup that money. “As soon as the cost per transistor at the next node exceeds the existing cost,” says Bottoms, “the scaling stops.”

Many observers think that the industry is perilously close to that point already. “My bet is that we run out of money before we run out of physics,” says Reed.

Certainly it is true that rising costs over the past decade have forced a massive consolidation in the chip-making industry. Most of the world's production lines now belong to a comparative handful of multinationals such as Intel, Samsung and the Taiwan Semiconductor Manufacturing Company in Hsinchu. These manufacturing giants have tight relationships with the companies that supply them with materials and fabrication equipment; they are already coordinating, and no longer find the road-map process all that useful. “The chip manufacturer's buy-in is definitely less than before,” says Chen.

Take the SRC, which functions as the US industry's research agency: it was a long-time supporter of the road map, says SRC vice-president Steven Hillenius. “But about three years ago, the SRC contributions went away because the member companies didn't see the value in it.” The SRC, along with the SIA, wants to push a more long-term, basic research agenda and secure federal funding for it — possibly through the White House's National Strategic Computing Initiative, launched in July last year.

That agenda, laid out in a report5 last September, sketches out the research challenges ahead. Energy efficiency is an urgent priority — especially for the embedded smart sensors that comprise the 'Internet of things', which will need new technology to survive without batteries, using energy scavenged from ambient heat and vibration. Connectivity is equally key: billions of free-roaming devices trying to communicate with one another and the cloud will need huge amounts of bandwidth, which they can get if researchers can tap the once-unreachable terahertz band lying deep in the infrared spectrum. And security is crucial — the report calls for research into new ways to build in safeguards against cyberattack and data theft.

These priorities and others will give researchers plenty to work on in coming years. At least some industry insiders, including Shekhar Borkar, head of Intel's advanced microprocessor research, are optimists. Yes, he says, Moore's law is coming to an end in a literal sense, because the exponential growth in transistor count cannot continue. But from the consumer perspective, “Moore's law simply states that user value doubles every two years”. And in that form, the law will continue as long as the industry can keep stuffing its devices with new functionality.

The ideas are out there, says Borkar. “Our job is to engineer them.”

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