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lundi, 12 octobre 2015 - Université Frère Mentouri - Constantine 1

Il existe à l’heure actuelle 3.021 entreprises nationales et internationales activant dans le domaine de l’agroalimentaire ce qui, non seulement renseigne sur les possibilités d’embauche existantes, mais laisse également augurer des lendemains prometteurs pour la filière.

PUBLIE LE : 11-10-2015 | 0:00

 

Il existe à l’heure actuelle 3.021 entreprises nationales et internationales activant dans le domaine de l’agroalimentaire ce qui, non seulement renseigne sur les possibilités d’embauche existantes, mais laisse également augurer des lendemains prometteurs pour la filière.

 L’université Mentouri de Constantine vient de publier sur son portail un rapport particulièrement éloquent sur le recrutement dans la filière de l’agroalimentaire, et ce aussi bien dans le secteur public que celui privé. Ainsi, il apparaît à la lecture des données mises en ligne que, contrairement à certaines allégations, la filière en question, deuxième industrie du pays après l’Énergie, connaît une dynamique de recrutement notable. En effet, rien que pour l’année en cours, de nombreux postes ont été créés, en premier lieu dans le secteur de l’enseignement supérieur, et plus précisément au niveau des directions des Œuvres universitaires (DOU) de Constantine, Oran et Biskra, qui ont procédé au recrutement d’ingénieurs de laboratoire universitaires ainsi que d’ingénieurs de laboratoire en nutrition et sciences alimentaires, de même qu’au niveau des universités de Constantine et Oum El Bouaghi à l’Est, Tizi Ouzou au centre, Mascara et Oran à l’Ouest et Djelfa au Sud. Le secteur du commerce n’est pas en reste, pour preuve, les annonces passées par les directions du commerce des wilayas de Batna, Béjaïa, Aïn Defla, Bouira, Oran et Béchar pour l’embauchage d’inspecteurs principaux de la répression des fraudes diplômés en nutrition et technologies agroalimentaires. D’autres départements, à l’image de celui de l’Industrie ou encore celui de la Formation et de l’Enseignement professionnels, proposent de leur côté des postes d’ingénieurs d’État et d’enseignants. Cependant, la part du lion revient au secteur privé lequel offre davantage de perspectives aux diplômés de l’institut de la nutrition, de l'alimentation et des technologies agroalimentaires (INATAA), en ce sens qu’il y a un foisonnement et une diversité des postes proposés, et qui vont d’agent qualifié en assurance qualité à ingénieur en agroalimentaire, en passant par  ingénieur de laboratoire, acheteur de produits alimentaires et responsable de la production agroalimentaire.
Par ailleurs, les auteurs de cette étude «non exhaustive», la collecte de données n’étant basée que sur les placards publicitaires parus dans la presse et sur les sites de recherche d’emploi, rappellent qu’il existe à l’heure actuelle 3.021 entreprises nationales et internationales activant dans le domaine de l’agroalimentaire (source : www.annugate.com), ce qui, non seulement renseigne sur les possibilités d’embauche existantes, mais laisse également augurer des lendemains prometteurs pour la filière. La seconde partie de la publication reprend les textes de loi, arrêtés interministériels et décrets exécutifs, régissant le recrutement des diplômés du domaine, avec notamment la correspondance de la direction générale de la fonction publique portant la référence DGFP 01/2012 laquelle précise les catégories de fonctions pour les diplômés de l’INATAA, à savoir inspecteur principal de la répression des fraudes pour les corps particuliers à l’administration du commerce, ingénieur d’État en agronomie dans les corps particuliers des administrations de l’agriculture, ingénieur d’État en agronomie dans les corps particuliers des directions de l’industrie et de la promotion des investissements, enseignant spécialisé dans la formation et l’enseignement professionnels, ingénieur d’État de laboratoire universitaire, avec en prime l’accès à tous les concours de la fonction publique exigeant le diplôme d’ingénieur d’État ou équivalent, ce qui prouve, de manière irréfutable, que le titre délivré par l’institut en question est pleinement reconnu.
Pour rappel, une partie des étudiants de l’INATAA avait entamé en janvier passé un mouvement de grève dont la revendication principale était justement la reconnaissance de leur diplôme par la fonction publique, ce qui dénote au mieux une incompréhension, au pire une méconnaissance des dispositions appliquées en la matière.
Le spectre de l’année blanche a été écarté de justesse grâce au travail de sensibilisation mené par l’administration de l’université Mentouri et la reprise des cours s’est opérée au mois de mai, d’où la prolongation de l’année universitaire jusqu’en octobre.
I. B.

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lundi, 12 octobre 2015 10:51

Des nouveautés à l'université Mentouri

Le tourisme, le transport et la topographie sont les nouvelles offres de formation qui seront enseignées à l'université Mentouri à partir de cette année universitaire 2015/2016. Cette institution de formation supérieure accueille plus de 8 600 nouveaux étudiants et ce nombre porte l'effectif total de l'université à 38 000 étudiants.

Telles sont, en quelque sorte, les nouveautés soulignées par le recteur de cette université lors de la cérémonie de rentrée universitaire solennelle organisée, hier matin, à l'auditorium Mohamed-Seddik bienyahia du campus Mentouri. Quant à l'encadrement, le recteur a indiqué qu'il est composé actuellement de 1700 enseignants. Le professeur Abdelhamid Djekoune, recteur de l'université des Frères Mentouri, a souligné qu'en matière de formation, son institution universitaire s'est toujours préoccupée d'être au diapason du développement économique et en phase avec son environnement socio-économique.

«Nous veillons toujours, a-t-il dit, à ce que les spécialités retenues pour la formation que nous dispensons aient une relation directe, une relation dialectique avec notre environnement socio-économique. Et nous attachons aussi beaucoup de prix à la qualité de la formation que nous enseignons». Et de passer ensuite à une cérémonie de remise des distinctions à de nombreux enseignants qui ont été promus au grade de professeur de l'enseignement supérieur. Deux d'entre eux, en l'occurrence Chérif Bahloul et Chaib Rachid, ont fait des déclarations et souhaité que la récompense de l'enseignant universitaire doit refléter son niveau scientifique et venir récompenser les efforts qu'il a déployé pour la mériter.

«Elle ne doit pas être conjoncturelle et délivrée seulement dans des occasions officielles comme celle d'aujourd'hui, ont-ils souligné.

Avant d'ajouter que l'enseignant universitaire «souffre beaucoup, mais il fait de son mieux, avec les moyens mis à sa disposition, de travailler sur le plan scientifique pour hisser son institution universitaire à la place qu'elle mérite, ne serait-ce que sur le plan africain».

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Des «Campus numériques partenaires » (CNFP), première rencontre du genre organisée par l'université constantinoise des Frères Mentouri, en collaboration avec le bureau Maghreb de l'Agence universitaire de la francophonie (AUF), seront organisés les 14 et 15 octobre en cours au campus Ahmed Hamani de Zerzara, a annoncé hier un communiqué émanant du vice-rectorat des relations extérieures, de la coopération, de l'animation, de la communication et des manifestations scientifiques de cette université. Selon ce document, l'objectif de ces journées est de permettre le partage des expériences entre les différents partenaires des trois pays du Maghreb (le Maroc, la Tunisie et l'Algérie), en mettant en valeur les efforts fournis par chaque CNFP dans la promotion des technologies de l'information et de la communication (TIC) au service de la recherche et de la formation universitaire. Et, bien entendu, des participants venant des trois pays du Maghreb cités seront les hôtes de l'université Mentouri pendant ces deux journées.

On annonce également la venue de la directrice du bureau Maghreb de l'AUF, en l'occurrence Mme Christina Robalo-Cordelo. Et tous ces participants aux campus numériques francophones partenaires vont proposer des actions plus performantes pouvant apporter une valeur ajoutée aux actions menées dans le cadre des grands axes du programme de l'Agence universitaire de la francophonie (AUF). La rencontre en question se fera aux dates indiquées à partir de 8h30 au campus numérique de l'AUF de Zerzara.

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Du matériel de dernière génération permettant des prévisions météorologiques plus exactes et valables à courte échéance équipera bientôt les stations météo du pays, selon Azzedine El Amiri, ingénieur à la direction de la météo de la wilaya de Constantine. Et ce responsable de préciser, lors de l'émission «forum» de la radio régionale diffusée, hier, en direct qui a porté sur la «prévention des risques de l'hiver et autres catastrophes naturelles, à l'instar des inondations», qu'il s'agit de l'acquisition et de l'installation prochainement de trois radars ultramodernes et de dernière génération au niveau des stations d'Alger, de Sétif et de Ouargla. Ces équipements de grande puissance peuvent couvrir une distance de 200 km à vol d'oiseau, autrement dit le radar qui sera installé à la station météo de Sétif pourra sans problème fournir des données fiables pour la wilaya de Constantine, «sinon rien n'empêche la wilaya de s'en équiper à son tour», dira-t-il.

Pour sa part, le directeur de la protection civile de la wilaya, le colonel Malek Kessal, et porte-parole de la commission de wilaya de préparation des conditions de prévention contre les risques de l'hiver, fera savoir que tout le travail de protection et de prévention est mis en branle sur la base du bulletin météo spécial (BMS). Et de poursuivre que la commission qui a été installée par le wali cet été 2015, est composée des directions des travaux publics, de l'action sociale, des services de sécurité (police et gendarmerie), de la protection civile, etc.

Interrogé sur les moyens dont dispose la commission et s'ils sont suffisants, il répondra «qu'il s'agit de moyens humains des directions en question et de leurs matériels, qu'elles seront amenées à mobiliser dans les interventions». Et d'indiquer que tous les points noirs et zones susceptibles de connaître des inondations, à l'instar de celles qui ont touché Ali Mendjeli au mois d'août dernier, ont été recensés et des mesures de prévention ont été prises et ce, en attendant leur éradications qui demandent du temps.

Le cas de Ali Mendjeli, ajoutera-t-il, est indicatif à plus d'un titre, où il est apparu que sur une moyenne mensuelle de précipitation de 12 mm, il est tombé plus de 100 mm en une demi-heure. Et c'est l'effet de surprise concernant l'importance des pluies et les prévisions approximatives en la matière, qui est à la base des cauchemars des autorités locales, conclura-t-il.

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