Un partenariat du genre « gagnant-gagnant » est en train de s'ébaucher entre l'université des Frères Mentouri de Constantine (UFMC) et la Société nationale de transport ferroviaire (SNTF), en considération du contenu et des objectifs visés par la « convention-cadre de partenariat » d'une durée de trois ans qui a été signée le 20 avril dernier entre les deux parties. Ce contrat qui définit les modalités de ce partenariat engage les deux parties à « conjuguer leurs potentialités humaines et matérielles dans le domaine de la recherche, de la formation professionnalisante des étudiants à travers des stages pratiques, des encadrements de mémoire de fin d'études, de définition de projets conjoints, etc. ». Et c'est incontestablement une véritable bouffée d'oxygène pour les étudiants de la filière transport de l'université qui ne cessent de réclamer des débouchés pour leur diplôme de fin d'études en organisant, tout au long de cette année universitaire, des mouvements de protestation, des grèves, etc. Et pour cause, en vertu de cette convention, la SNTF s'est engagée à accueillir au sein de ses unités les étudiants stagiaires de l'UFMC, dont le nombre et les profils ainsi que les thèmes de stage seront convenus au préalable d'un commun accord entre les deux partenaires. Il est question également, dans cette convention, de co-encadrement des projets de fin d'études des étudiants stagiaires au sein de la société en collaboration avec les enseignants de l'UFMC. De son côté, l'université s'est engagée à mettre à la disposition de la SNTF les listes de promotions sortantes des étudiants pour un éventuel recrutement, de soumettre aux différents départements de l'UFMC les thèmes de recherche qui intéressent la SNTF, de participer aux différentes manifestations organisées par la société et d'organiser d'éventuelles formations qualifiantes au profit du personnel de la SNTF. Et dans le même ordre d'idées, la rencontre entre les deux parties a permis d'exposer les différentes formations du domaine des transports. 
Et, ce qui est encore plus intéressant pour les étudiants de la filière transport de l'université des Frères Mentouri qui sont en cours de cycle, est que cette convention, « qui reste ouverte à toute autre action de valorisation des formations et de promotion des relations entre les deux partenaires », lit-on encore dans le texte signé par les deux partenaires, sera évaluée à la fin du contrat et pourrait aboutir à un nouvel accord de partenariat pour une nouvelle durée, dont l'importance sera, bien entendu, déterminée d'un commun accord. Ce qui ouvre incontestablement de larges perspectives d'avenir pour les étudiants concernés. Et pour la SNTF, elle pourra avoir à sa disposition tout le potentiel scientifique de l'université et les cadres formés pour mener son programme de développement qu'elle a défini dernièrement. Ce partenariat, dont la réussite est souhaitée par tous, qui pourrait servir d'exemple pour les autres secteurs de l'économie nationale et faire tache d'huile, répond parfaitement à la politique d'ouverture de l'université sur son environnement socio-économique. 

A MallemPublié dans Le Quotidien d'Oran le 26 - 04 - 2016


«...Une vision commune visant le développement durable, qui met les bases d’une culture d’ouverture sur la vie et rompt avec la culture de la mort, de l’extrémisme et du repli », dira hier, Mme Sonia M’barek, la ministre tunisienne de la Culture en recevant le flambeau lui passant l’honneur d’organiser à Sfax la ville du sud, l’événement culturel de « Capitale de la culture arabe », de son homologue algérien, M. Azzedine Mihoubi. Une invitation officielle a été, par ailleurs, adressée au président tunisien de la commission d’organisation de la manifestation culturelle « Sfax Capitale de la Culture Arabe 2016 », afin de faire bénéficier ce pays frère de la riche expérience algérienne dans ce domaine, l’événement CCCA formidablement réussi, selon la ministre. Constantine capitale de la culture arabe 2015, a passé le flambeau de la manifestation à Sfax, la ville tunisienne lors d’une soirée pleine de musicalité animée, hier, au niveau de la salle des Grands Spectacles Ahmed Bey. Symbolisant la réconciliation entre Cirta et Syfax et renforçant ainsi, par ce passage intermaghrébin de  l’événement culturel, les liens très étroits, remontant aux époques les plus anciennes, entre les deux pays frères et voisins, comme l’a souligné M. Azzedine  Mihoubi, notre ministre de la Culture. Ces liens, nul ne l’ignore, vont  du domaine politique au sportif, passant par le social, familial, pour toucher  le sécuritaire, ces liens sont une histoire commune et un avenir inéluctablement commun. C’était une soirée où les plus belles voix algériennes et tunisiennes, se sont entremêlées harmonieusement,  Ziad Gharssa, Djamel Chabbi  Abdallah El Menai, Sofia Sadek qui a chanté les paroles d’Azzedine Mihoubi,  Abdou Deriassa qui a fait revivre les chansons de son père, Mehrzia Touil a épaté dans le style Tarabi, ainsi que des chansons collectives tirées du répertoire de  Mohamed El Djemmoussi, et de  Dahmene El Harrachi « ya rayh wine messefer ». Soulignons qu’hier, à son arrivée à Constantine, Mme M’barek, la ministre tunisienne accompagnée par M. Azzedine Mihoubi  et le wali de Constantine, a été invitée à inaugurer l’annexe de la maison de la culture d’Ali Mendjeli. Après une présentation de cette infrastructure, une visite guidée à travers ses différentes ailes, une belle exposition de tableaux de peinture attendait la ministre. Au niveau de la salle des spectacles flambant neuve, une chorale de 7 jeunes talents,  a chanté à la mémoire de Benbadis, « Chaab el djazir mouslimoune », en version moderne très rythmée et ensuite classique,  une œuvre mise en scène par  Islam Mamoune. On soulignera  à la fin, que la ville de Sfax va bénéficier dans le cadre  de cet événement de beaucoup de projets,  citons la transformation de l’église catholique en bibliothèque numérique et un théâtre accueillant 200 spectateurs, la réhabilitation de l’ancienne ville afin de l’introduire dans le patrimoine international de l’Unesco et l’aménagement de la corniche de Sfax pour devenir un espace de détente.   

Rekibi Chikhi

L'est republicain


ALGER- Les membres de l'assemblée populaire nationale (APN) ont adopté, mercredi à la majorité, le projet de loi relatif à l'utilisation de l'empreinte génétique dans les procédures judiciaires et l'identification des individus.

Le vote du texte de loi a eu lieu lors d'une séance plénière, présidée par M. Mohamed Larbi Ould Khelifa, président de l'APN, et en présence de la ministre de la Solidarité nationale et de la condition de la femme Mounia Meslem en remplacement du ministre de la Justice Garde des sceaux Tayeb Louh.

A l'issue du vote, Mme Meslem a indiqué que la loi mettait en place le cadre législatif pour l'utilisation de l'empreinte génétique dans les procédures judiciaires et l'identification des individus dans le respect de leur  vie privée et de leurs données personnelles.

"Il s'agit d'un outil a même de contribuer au développement de l'action judiciaire conformément aux objectifs du programme du président de la République que le gouvernement s'attelle à mettre en oeuvre", a-t-elle dit.

Pour la ministre, la loi sur l'utilisation de l'empreinte génétique permettra à la justice d'opérer un bond qualitatif dans l'utilisation des procédés scientifiques en matière de preuve. "Une avancée dans la voie de la consolidation de la justice en tant que fondement de l'édification de l'Etat de droit et garant des libertés et droits fondamentaux", a encore soutenu Mme Meslem précisant que le texte adopté fixait les règles d'utilisation de cette technique et les autorités habilitées à ordonner le prélèvement d'échantillons biologiques pour procéder à ces prélèvements ainsi que les services qui peuvent demander le recours à cette technique.

La ministre a ajouté que le texte définissait les catégories à soumettre aux analyses de l'empreinte génétique, les personnes habilitées à   faire les prélèvements, les services agréés pour faire les analyses ainsi que les conditions et limites d'utilisation de l’empreinte génétique.

La commission des affaires juridiques, administratives et des libertés de l'APN a fait savoir dans son rapport qu'aucune proposition d'amendement  n' a émané des députés au regard de l'aspect technique du texte de loi.

APS


L’Assemblée populaire nationale a également procédé à l’adoption à la majorité absolue du projet de loi relative à l’utilisation de l’empreinte génétique dans les procédures juridiques et l’identification des personnes, un texte de loi qui vient combler un vide juridique en dépit de l’utilisation de cette technique depuis des années et encadrer ces opérations en définissant les règles garantissant qu’aucun usage abusif ne soit fait de l’empreinte génétique. Prenant la parole au nom du ministre de la Justice, la ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme, Mounia Meslem, qui a salué les députés pour ce vote positif, a indiqué que la loi vient mettre en place le cadre législatif pour l’utilisation de l’empreinte génétique dans les procédures judiciaires et l’identification des individus dans le respect de leur vie privée et de leurs données personnelles. Elle a ajouté que ce nouvel outil contribuera au développement de l’action judiciaire conformément aux objectifs du programme du Président de la République que le gouvernement s’applique à mettre en œuvre.  
Le texte garantit également que les échantillons obtenus pour ne pas être utilisés à des fins illicites, conformément à la Déclaration universelle sur le génome humain et les droits de l’homme, promulguée par l'UNESCO le 11 novembre 1997. La loi qui vient d’être votée repose sur plusieurs principes dont la protection de la vie privée des personnes et l’établissement d’un équilibre entre celle-ci et la nécessité de préserver la sécurité et de protéger la société contre la criminalité sous toutes ses formes.
Elle intervient pour adapter et harmoniser la législation nationale aux progrès enregistrés en matière de moyens de preuve et de recherche scientifique concernant l’ADN. Les membres parlementaires ont également procédé à l’adoption des rapports de validation de la qualité d’un député du RND en remplacement de Miloud Chorfi, désigné sénateur au Conseil de la nation et du remplacement de la députée de l’AAV, Oum Hani par Saïd Aït Djenaoui. Les travaux de l’APN reprendront ce matin en séance plénière consacrée aux réponses à des questions adressées au ministre des
Finances et au ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche.
Houria A.

El Moudjahid


Premiers pas dans la recherche appliquée

Le Centre de recherche en biotechnologie (CRBT) a organisé pour la première fois, les 11 et 12 avril, des journées portes ouvertes

destinées, entres autres, «aux différents représentants du secteur socio-économique dans le but de faire connaître notre Centre et ce que la recherche partenariale en biotechnologie pourrait apporter à la société en général», nous déclare d’emblée Wahida Zeghouane, chef du département des relations extérieures et de la valorisation des résultats de la recherche.

Le CRBT s’impose actuellement en tant qu’unique institution de l’enseignement supérieur dédié à la recherche en biotechnologie à l’échelle nationale.

D’où «sa capacité à coordonner les réseaux de recherche et de développement technologique dans le domaine des biotechnologies, afin d’apporter des  réponses aux besoins du pays dans les secteurs de la santé, l’agriculture, l’agroalimentaire, l’environnement et l’industrie», soutiennent tour à tour Hadjer Zaak et Boualem Harfi, respectivement responsables de la division biotechnologie alimentaire et biotechnologie agriculture.

La mission dévolue à cet établissement, opérationnel depuis 2010, sera renforcée — du moins le vœu a été formulé à travers ces portes ouvertes — par «la possibilité de mettre en place des équipes et/ou des laboratoires mixtes en choisissant des thématiques qui sont au cœur des priorités et des préoccupations du pays».

Aussi, conformément aux nouvelles orientations de la Direction générale de la recherche scientifique et du développement technologique (DGRSDT), il sera mis à la disposition des étudiants en post-graduation les ressources humaines et matérielles de ces laboratoires afin de les accompagner dans la réalisation de leurs travaux de recherche.

Le CRBT est un établissement public à caractère scientifique et technique, affilié au ministère de l’Enseignement supérieur et la Recherche scientifique. Implanté sur  le site de la nouvelle ville Ali Mendjeli à Constantine,  il dispose de cinq divisions de recherche, à savoir les unités d’immunologie, de biotechnologie alimentaire, de biotechnologie et environnement, de biotechnologie et agriculture, de biotechnologie et santé et de biotechnologie industrielle.

Parmi ses missions, il est question d’identifier et de coordonner en réseau de recherche et d’animer les équipes de recherche existantes dans le domaine des biotechnologies, d’assurer la veille scientifique et technologique en rapport avec les biotechnologies ou encore de participer au développement et à l’harmonisation de la législation ayant trait à la bioéthique, à la biosécurité et aux normes de référence. «Le CRBT est un centre de recherche appliquée voué à répondre aux besoins bioéconomiques», précise le Dr Harfi.

Chaque division planche actuellement sur au moins deux projets et pas des moindres. Le transfert embryonnaire bovin pour l’amélioration de l’espèce ou la mise au point d’un ferment lactique local (fromage sans conservateur) en partenariat avec une laiterie constantinoise sont autant de travaux qui impacteront demain les secteurs de l’agriculture et de l’alimentaire.

Et les visées ne s’arrêtent pas là. En mai dernier, ce Centre a abrité le lancement du séquençage du génome algérien. Un projet de haute technologie, dirigé par un noyau de chercheurs du CRBT, de scientifiques algériens travaillant aux Etats-Unis et en Arabie Saoudite, en collaboration avec des Américains ayant participé au projet emblématique du séquençage du génome humain. C’est dire la vocation de ce centre et l’impact de sa mission sur l’essor du développement biotechnologie, notamment dans la résolution de problèmes majeurs de santé.

D’ailleurs, l’ensemble des institutions de formation, de recherche, d’accompagnement et de développement des biotechnologies réunis territorialement  à Constantine seront, sans nul doute, déterminants dans le développement de l’investissement et de la création d’entreprises ayant un lien direct avec les secteurs de l’agriculture, de l’environnement et de l’industrie pharmaceutique. Concernant cette dernière spécialité, Constantine en est le pôle national incontestable.

Recherche tous azimuts

Pour rappel, les biotechnologies sont utilisées dans différents domaines. Elles s’appuient sur le traitement de quantités prodigieuses de données générées aussi bien par la biologie moléculaire et la génomique que d’autres disciplines non biologiques telles que la robotique, l’électronique ou encore la bionique.

Dans cette optique, une manifestation scientifique sur les biotechnologies a été organisée, les 19, 20 et 21 octobre 2015, à l’université Mentouri, parrainée conjointement avec l’Agence thématique de recherche en biotechnologie et sciences agroalimentaires (ATRBSA). «C’était une opportunité pour réunir plusieurs chercheurs et spécialistes à l’effet d’illustrer des exemples de recherches innovantes en la matière et aussi débattre d’un certain nombre de thématiques, dont les biotechnologies et la santé, l’agriculture, l’environnement et les industries», selon le rectorat.

Pour cette manifestation, le CRBT avait livré aux visiteurs des échantillons de projets de recherche dans six domaines : la santé, l’agriculture, l’environnement, l’agroalimentaire, la biosécurité et les TIC.

Les recherches appliquées en matière de santé humaine, si elles ne sont qu’au stade de l’étude, s’annoncent sous les meilleurs auspices, selon le docteur Tarek Boudiar qui est à la tête de l’entité «biotechnologie et santé» qui axe sa mission sur  le diagnostic et le traitement. Actuellement, ses équipes se penchent sur quatre projets, dont deux relatifs au cancer du poumon et au glaucome.

Le diagnostic et le traitement de ces pathologies ne sont-ils pas du ressort des oncologues ? Sûr que oui, mais l’approche des chercheurs du CRBT est toute autre. «Notre recherche a pour base de travail le gène pour déterminer la cause du problème et cibler la thérapie», affirme le Dr Boudiar, dont le département projette la mise en place d’un «conseil génétique pour les familles». Une mission préventive qui aidera à la détection notamment du glaucome, pour une prise en charge efficiente.

La palette des recherches inclut, par ailleurs, la phytothérapie. Les principes actifs de certaines plantes, dites médicinales, sont testés sur des cellules cancéreuses. Ce qui pourrait augurer d’avancées dans le domaine des thérapies, peut-être dans quelques années, puisque tout projet de recherche n’exige pas uniquement des financements, mais surtout du temps.

Naima Djekhar
El Watan Etudiant

Musique en fête

Published in La Revue de Presse آذار/مارس 31 2016

Le 31 Mars 2016 à l'esplanade Malek haddad à partir de 18h00
Au programme:

  • Djmawi Afrika
  • lyes ksantini
  • cameleon
  • dj R-one
  • Amel Zen
  • Azzou
  • Hakim Salhi 

Entrée Libre


La contribution de l’économie numérique dans le processus de la  croissance des pays n’est plus à démontrer, et son impact est aujourd’hui établi. L’évolution des nouvelles technologies de la communication et de l’information, et le recours, de plus en plus massif, aux procédés numériques dans la sphère économique, commerciale et même sociale, viennent confirmer cette tendance. Enregistrant son plein essor, l’économie numérique a fini par s’imposer comme étant un secteur stratégique de l’économie et en tant qu’élément incontournable et même indispensable à la croissance des États. C’est aussi un segment évolutif qui s’avère être un vecteur de productivité et de compétitivité non négligeable, au sein des entreprises, notammen par son rôle en matière d’innovation. Au-delà de la dimension des TIC qui en constituent l’assise, l’économie numérique est aujourd’hui une composante de l’entreprise, de la société et de l’environnement, tant son impact est évident sur tous les secteurs d’activité, les TIC, les secteurs utilisateurs, ainsi que les secteurs à fort contenu numérique. Dans ce contexte, l’organisation arabe des TIC (AICTO), en partenariat avec Algérie Télécom, organise, sous le patronage du ministère algérien des Postes et des Technologies de l’information et de la communication, et en coopération avec l’UIT (Union internationale des télécommunications), un forum régional arabe de haut niveau sur «L’économie numérique - Opportunités et défis pour les économies nationales en la région arabe - cas de The Over The Top», les 10 et 11 avril à l’hôtel Hilton. Le séminaire, qui s’inscrit dans le cadre du plan d’action de l’organisation pour 2016, verra la participation d’experts internationaux de la région arabe et le reste du monde, et vise à étudier les défis induits par les transformations technologiques sur les pays de la région.  
Il s’agira également de plancher sur l’impact des nouvelles technologies au plan réglementaire, social et économique. Les cinq panels prévus dans le cadre de ce forum, composés d’intervenants du secteur public, d’organismes de réglementation du secteur des télécommunications, d’opérateurs de télécommunications et d’opérateurs OTT aborderont les perspectives pour les réseaux OTT dans la région arabe sur la base d’expériences comparatives qui seront présentées pour la circonstance. Ils tenteront également de définir les priorités pour la région arabe et les moyens de consolider les expériences arabes en la matière. Le forum prévoit une table ronde pour coordonner les différentes interventions, et sortir, en finalité, avec les recommandations à adopter dans cette perspective.
D. Akila
 


Les rendez-vous à venir de Constantine

Published in La Revue de Presse آذار/مارس 26 2016
Institut Français de Constantine
Les rendez-vous à venir de Constantine
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Information vendredi 01 janvier 2016
Vos prochains rendez-vous à l'IF
L'année 2016 se présente à nous et toute l'équipe de l'Institut français vous souhaite 365 jours de bonheurs vrais...
Vos prochains rendez-vous à l'IF
 
Printemps des poètes lundi 28 mars 2016
Printemps des poètes 2016 : la Corse à l’honneur
Comme chaque année, la programmation de printemps de l’Institut Français d’Algérie fait la part belle à littérature en général, et en particulier à la poésie, avec une déclinaison algérienne du Printemps des poètes.
Printemps des poètes 2016 : la Corse à l’honneur
 
Art de la scène jeudi 31 mars 2016
LE GRAND KARAOKÉ
Vous aimez chanter ? Vous chantez faux mais vous aimez vous amuser et vous n’avez peur de rien ? Venez défier vos amis le jeudi 31 mars lors du Grand Karaoké de l’IF Constantine !
LE GRAND KARAOKÉ
 
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«Les jeunes qui ont été déjà formés au niveau de l’Ecole Régionale des Télécommunications (ERT), n’ont pas tous bénéficié d’un projet, pour des raisons qui leur sont propres, un dossier incomplet ou autre, mais le reste,  environ 10 entreprises, ont bénéficié des ODS», nous a déclaré, hier, M.Allab Lokmane, le directeur de wilaya d’Algérie Télécom AT, en marge de la cérémonie de remise des diplômes pour 11 futurs chefs d’entreprises qui seront appuyés par le CPA. Une cérémonie, à laquelle ont pris part, M. Moussaoui, le Directeur Régional d’AT, M. Ghallab, le directeur de l’agence de Constantine de l’ANSEJ, le directeur de l’Emploi de Constantine et M.Saidi Syaf, directeur de l’agence CPA de CASA NOVA. Et de nous indiquer que, «le nombre d’ODS, s’élève à 100, d’une valeur dépassant le 1 milliard. Pour ces derniers, les travaux sont en cours, mais beaucoup de projets attendent d’être entamés et ces entreprises créées ne suffisent pas. Le réseau des télécommunications en Algérie est en plein expansion. Pour Constantine, ces entreprises sont déployées à travers le territoire de la wilaya, étant donné la vétusté de notre réseau, ceci exige donc une réhabilitation, d’un côté et le raccordement des nouvelles habitations, à la nouvelle ville Ali Mendjeli, Didouche Mourad et Retba, à titre d’exemple. On a donc un manque, et on est très favorable à la création de nouvelles entreprises». Pourquoi seulement 11 entreprises, donc ?, Une question à laquelle a répondu, M. Allab, «  cela ne dépend pas de nous uniquement, nous sommes trois partenaires, l’ANSEJ et la banque qui doivent vérifier que l’entreprise réponde aux conditions d’éligibilité. Pour le matériel, on leur fait un listing et c’est à l’ANSEJ et la banque de faire le reste, ce n’est pas un gros matériel, s’il coûte 100 millions à titre d’exemple, 70 millions sont pris en charge par la banque». M.Saidi Syaf, directeur de l’agence du CPA de CASANOVA, à propos de cet engagement financier, il nous dira que, «on n’a pas de crainte, du moment qu’il y a  notre partenaire Algérie Télécom qui assure l’encadrement, le soutien et l’assistance et aussi, il y a le plan de charge et l’engagement de l’Etat ».  M. Beloucif, indiquera pour sa part, que, depuis la signature de la convention ANSEJ/ Algérie Télécom, en 2013, pas moins de 75 dossiers ont été déposés par les jeunes pour les accompagner, 50 ont été acceptés, et 43 ont eu un accord dans le cadre de la sous-traitance avec AT. Cinq banques publiques ont accordé leur accord à 32 entreprises. De ces dernières, 15 ont été déjà financées, 10 d’entre elles ont des ODS, certaines arrivent même à 6 ODS, à noter que ces chefs auront droit à deux employés. Tout cela après une formation de  15 jours au niveau de l’ERT, dont ont bénéficié depuis 2013, 25 stagiaires, 3 de la nouvelle promotion de 11, a déjà entamé ses cours. La formation se déroule comme suit, une semaine théorique, une autre de familiarisation avec le matériel et une autre au niveau des chantiers. Non seulement techniquement mais en gestion de l’entreprise aussi. M. Alliouche Khaled, un responsable dans l’ERT, nous informera que, «les futurs chefs d’entreprises ont reçu une formation en la pose et le raccordement du câble urbain, et de la fibre optique, et en l’étude des réseaux». Les entrepreneurs qui ont déjà des projets et qui ont assisté à cette cérémonie ne nous ont pas fait part de gros obstacles, les nouveaux diplômés tirés par quatre épingles, affichent beaucoup de confiance et spécialement Melle Sedrati Rafika, 27ans, la première entrepreneure à avoir bénéficié de cet encadrement à Constantine, « je suis formée dans un institut, avant mon insertion dans ce programme j’ai subi une formation au niveau de l’ERT en installation de réseaux, je suis très optimiste quant aux possibilités de trouver des projets». Tous les intervenants se sont accordés à dire que ce type de convention n’existe qu’en Algérie. Sous d’autres cieux, l’entrepreneur doit se prendre en charge et que les jeunes, en contrepartie doivent faire preuve de sérieux dans leur travail et honorer leur engagements.

 

 

  Rekibi Chikhi


أكد، أمس، مدير السكن لولاية قسنطينة، بأن السكنات الوظيفة للأساتذة الجامعيين ستستلم قبل بداية الموسم الجامعي الجديد، بعد أن بلغت الأشغال نسبة 80 بالمائة، فيما أعلن مدير ديوان «أوبيجي» عن انطلاق عملية جديدة لإعادة تأهيل بنايات المدينة، خصص لها غلاف مالي بقيمة 150 مليار سنتيم.
و ذكر مدير السكن في اجتماع مجلس الولاية، بأن جل العراقيل التي كانت تحول دون استلام مشروع 460 سكنا وظيفيا بالمدينة الجديدة علي منجلي لفائدة الأساتذة الجامعيين، قد أزيلت، حيث سُويت جميع الوضعيات و الملاحق المالية للمقاولات، و تم تعيين أخرى للإنطلاق  في أشغال الطرقات و الشبكات المختلفة، على أن يستلم المشروع شهر جويلية المقبل كأقصى تقدير، رغم أن الآجال التعاقدية تمتد حسب المسؤول إلى غاية نهاية العام الجاري. الوالي و في تدخله، شدد على ضرورة الإلتزام بموعد التسليم، خاصة أن الأمين العام للولاية كان قد قدم وعودا إلى الأساتذة الذين احتجوا في عديد المرات أمام الديوان و كذا رئاسة جامعتي الأمير عبد القادر و منتوري، بمنحهم الشقق قبل انطلاق الموسم الجامعي المقبل، كما أمر بتحسين نوعية الأشغال و احترام معايير الجودة في الإنجاز. من جهة أخرى، أعلن مدير ديوان الترقية و التسيير العقاري “أوبيجي»، عن تسجيل عملية جديدة لإعادة الإعتبار لعديد البناءات عبر 15 موقعا بالمدينة، خصص لها 150 مليار سنتيم، حيث ذكر المسؤول بأن إجراءات إعداد دفاتر الشروط جارية، فيما انتقد الأمين العام تأخر العملية و شدد على ضرورة الإنطلاق في المشروع قبل منتصف الشهر المقبل.
ل/ق

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