AGENDA CONSTANTINE MEETING LOCATION
L’Université des Frères MENTOURI Constantine1 en sa qualité de partenaire du projet : South Mediterranean Welding Centre for Education, Training and Quality Control, SM Weld Project No. 561786-EPP-1-2015-1-SE-EPPKA2-CBHE-JP Organise les 26, 27 et 28 octobre 2016, la deuxième rencontre des pays partenaires du projet. Ces Partenaires sont des universités et des entreprises de plusieurs pays Européen : Suède, Allemagne, Belgique, Espagne, Portugal, Grèce et Roumanie, en plus des deux pays Magrébins l’Algérie et la Tunisie. Les objectifs de ce projet sont : 1. la mise en place d’une formation spécialisée en soudage de 45 crédits ; 2. la mise en œuvre d’un Centre de soudure pour l’éducation, la formation et le contrôle de qualité, dans les pays du Sud de la Méditerranée en l’occurrence l’Algérie et la Tunisie. L’ouverture officielle des travaux à 9h, Campus 500 Places ‘’Tidjani Haddam’’.
Constantine:Plus d’un millier de candidatures pour le mastère à distance en administration locale
L’université des Frères Mentouri de Constantine (UFMC) prépare pour cette rentrée 2016-2017 un master à distance en administration locale. Le choix de cette filière n’est ni fortuit ni imposé par le ministère de tutelle.
L’UFMC a pris la décision fixer son choix, puisqu’il fallait le faire, pour une filière qui est dans une conjoncture favorable. La modernisation de l’administration et sa numérisation offrent certaines perspectives pour cette formation diplômante.
Le 2 septembre dernier, l’université a donc publié sur son site un appel à candidatures pour un master 2 à distance en administration locale. Selon le recteur de l’UFMC, Abdelhamid Djakoune, «ce master vise la promotion de la formation à distance en Algérie, qui offre des perspectives nouvelles pour les fonctionnaires et les étudiants par le biais de l’acquisition de compétences dans le domaine de cette spécialité».
Actuellement, le rectorat avec le concours de la faculté de droit planche sur l’opération de sélection des candidatures. Et ce n’est certainement pas chose aisée à la lumière du nombre important de postulants. Ils sont plus d’un millier à vouloir tenter leur chance dans cette nouvelle approche académique. Cela équivaut à plusieurs promotions dont la gestion s’annonce faisable, car ils ne seront pas tous pris en raison des moyens et conditions pédagogiques à observer. «Nous avons reçu 1200 candidatures, nous sommes dans la phase de tri pour n’en garder que quelque 600 pour le cursus 2016/ 2017», a indiqué le recteur.
C’est donc près de la moitié des postulants qui ne seront pas retenus pour cette première formation inédite, car les critères de sélection, s’ils ne sont pas dissuasifs, demeurent toutefois drastiques. Selon le site de l’université, les étudiants ciblés sont ceux détenteurs d’une licence en droit, systèmes LMD et classique, ayant des connaissances de base en droit administratif, droit constitutionnel, activités locales et administratives, ainsi qu’en fonction publique. «Cela touche plusieurs catégories professionnelles, il leur permet de gravir les échelons de la hiérarchie tout en restant actifs», précisera notre interlocuteur.
C’est évident que pour les catégories actives, cette formation représente une aubaine dans la gestion de carrière. Il faudrait tout de même s’armer de suffisamment de motivation et d’enthousiasme pour concilier deux activités parallèles. «Suivre des cours à distance représente certainement beaucoup d’avantages», nous a confié un employé des collectivités locales, postulant lui-même à ce master à distance : «…cela peut être aussi difficile parce qu’on ne sera pas imprégnés par l’ambiance des amphis, chaque étudiant sera seul devant son ordinateur, la concentration pourrait manquer».
Si cela peut apaiser les craintes de certains, le cursus tel qu’il est présenté sur le site de l’UFMC ne semble pas hautement contraignant. Au préalable, l’étudiant doit être équipé d’un ordinateur et d’une connexion internet.
Les cours seront mis en ligne sur la plate-forme d’enseignement à distance de l’université des Frères Mentouri Constantine1. Les compléments de cours et les devoirs sont accessibles sur cette même plateforme. En référence toujours aux informations officielles, la charge de travail est fixée à 14 heures par semaine, avec trois regroupements présidentiels au sein du campus central : «Les regroupements obligatoires seront probablement d’un à deux par année», a rectifié Abdelhamid Djekoune.
UNE EXPÉRIENCE À RENOUVELER ?
A l’instar des quelques grandes universités du pays désignées pour lancer un master à distance, celle de Constantine a opté pour le pragmatisme. L’UFMC, qui a fait de la formation professionnelle son credo, a choisi un secteur où pourront se développer des vocations. Les disponibilités pédagogiques y sont naturellement prises en compte, toutefois, l’employabilité a été un paramètre décisif. «C’est une autre démarche dans la formation dans le milieu universitaire.
Une première à Constantine, elle consiste à créer et développer un espace universitaire en relation avec l’entreprise», rappellera le recteur. Le premier responsable de l’université de Aïn El Bey arguera ce choix par«la forte demande actuellement sur les services administratifs».
Il faut rappeler que depuis deux ans, la modernisation de l’administration est inscrite en tant que stratégie gouvernementale. Le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales, conduit depuis une politique offensive pour dépoussiérer les services administratifs et instaurer des techniques modernes de gestion dans le but d’offrir une meilleure prestation.
Ces nouveaux leviers ont impliqué non seulement l’acquisition d’équipements mais aussi le recours à des ressources humaines. D’où l’entrée en course de la formation académique «pratique pour fournir des compétences pour l’administration, en matière de techniques administratives et électroniques», explique-t-on.
Face à l’évolution de certains secteurs, l’université ne peut pas se complaire dans un rôle d’école-diplôme. D’ailleurs, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a martelé, ces derniers jours, la nécessité de s’orienter vers la formation pratique en adéquation avec les exigences du marché de l’emploi.
«L’université s’est engagée depuis plusieurs années dans la voie de l’insertion professionnelle des étudiants et cet engagement demeure une de ses préoccupations majeures», a rappelé le recteur de l’UFMC, pour lequel «l’université de Constantine a choisi d’exceller dans certains domaines, dont celui de la gestion de l’administration. Si nous pouvons aider ne serait-ce que par le biais de la formation diplômante, nous le ferons».Et ne pas écarter la reconduction de cette expérience avec d’autres filières dans l’avenir. L’important in fine est de baliser la voie de l’emploi.
Oran : Le mastère à distance en didactique lancé cette année
Un master à distance a été lancé cette année au niveau du département de langue arabe à la faculté des lettres et arts de l’université Oran 1 Ahmed Ben Bella. Ce projet, qui s’intitule «Didactique et pédagogie de la langue arabe», fait partie des cinq masters à distance qui seront expérimentés cette année dans cinq universités du pays, a indiqué Morsli Laaredj, professeur à l’université d’Oran.
En effet, le ministère de l’Enseignement supérieur a reproduit le système de l’enseignement continu (UFC) pour permettre à plus de diplômés de continuer leurs études en gardant leur emploi à l’extérieur de l’université.
Selon M. Morsli, le nombre élevé d’étudiants et le manque d’infrastructures ont favorisé cette option également. Cet enseignant, chargé de la communication et des relations publiques à l’université Ahmed Ben Bella, a rappelé qu’au maximum 40 étudiants devaient être retenus pour cette première expérience.
A présent, le nombre devra atteindre les 300, voire 400, étudiants si l’expérience est réussie, ou si le ministère décide de donner leur chance à plus de travailleurs qui veulent poursuivre leurs études. Selon nos informations, les titulaires d’une licence classique (4 ans) sont les plus intéressés par le master. Houari, un quadragénaire rencontré à Es Sénia, a exprimé sa satisfaction : «C’est vraiment une bonne chose. Nous n’avons plus besoin de réclamer des heures pour faire nos études, car les employeurs refusent souvent de signer le document stipulant que l’étudiant est autorisé par l’entreprise à assister aux cours.
C’est cette autorisation qui m’a empêché d’étudier l’année dernière. Il me tient à cœur de continuer mes études et pourquoi pas faire de la recherche et aller plus loin encore.» Il faut savoir que beaucoup d’étudiants sont contraints d’abandonner leur master après le premier semestre ou même après l’inscription, en raison du problème de mobilité. «Nous avons chaque année plus de 20 étudiants qui abandonnent, pour des raisons professionnelles ou familiales. Je pense que cette formule va permettre de consolider chaque licence par un master et valoriser le travail universitaire», a commenté un enseignant. Interrogé à propos de la qualité de la formation, un autre étudiant,venu vérifier s’il a été retenu pour ce master déclare : «Je n’ai aucun doute à propos du contenu et du niveau de la formation. Vous savez, à l’université on a besoin seulement d’encadrement pour avancer dans le programme.
D’autant plus qu’avec les moyens de communication et les réseaux sociaux on sera en contact avec les profs et nous aurons toute la documentation.» Pour rappel, ce master sera assuré par des enseignants ayant suivi une formation spéciale en juillet 2016, afin de pouvoir maîtriser ce nouveau système introduit dans le cadre du développement de l’université algérienne. En plus d’Oran 1, les universités d’Alger 1 et 3, de Blida 2 et de Constantine 1 ont toutes lancé des masters à distance.
Mastère à distance : Le nouveau cursus de graduation
Le secteur de l’Enseignement supérieur lance cette année un nouveau mode de cursus de graduation : le mastère à distance. Annoncée par Tahar Hadjar en mai dernier, une opération pilote est lancée dès cette année au niveau de cinq établissements universitaires à savoir : Alger1, Alger3, Blida2, Constantine1 et Oran1.
Devant la forte demande des étudiants pour le mastère, motivé essentiellement par le manque de débouchés professionnels pour les titulaires de licence LMD, le concept, largement répandu sous d’autres cieux, pourrait être cette bouée de sauvetage à même de résorber la frustration des postulants devant l’impossibilité de satisfaire toutes les demandes.
Le secteur de l’Enseignement supérieur lance cette année un nouveau mode de cursus de graduation : le mastère à distance. Annoncée par Tahar Hadjar en mai dernier, une opération pilote est lancée dès cette année au niveau de cinq établissements universitaires à savoir :
Alger1, Alger3, Blida2, Constantine1 et Oran1. Devant la forte demande des étudiants pour le mastère, motivé essentiellement par le manque de débouchés professionnels pour les titulaires de licence LMD, le concept, largement répandu sous d’autres cieux, pourrait être cette bouée de sauvetage à même de résorber la frustration des postulants devant l’impossibilité de satisfaire toutes les demandes. A l’université Alger3, la faculté des sciences économiques, des sciences de gestion et des sciences commerciales se lance dans le nouveau challenge et offre une formation de mastère en comptabilité à distance.
«L’option a été retenue pour combler le besoin en mastères. Il y a une forte demande nationale au niveau de notre établissement. On subit une véritable pression sur ce palier de graduation», atteste le doyen de la faculté. Lakhlef Athmane informe également que la faculté, qui compte quelque 36 000 étudiants et des promotions de plus de 6500 inscrits, enregistre chaque année environ 10 000 candidatures émanant non seulement des licenciés de l’établissement, mais également de ceux provenant du système dit classique ainsi que de candidats d’autres wilayas.
A l’arrivée, seul 2500 étudiants ont réussi à passer les différents filtres de sélection et décroché le sésame. «Nous avons également constaté que nombre d’étudiants inscrits en mastère, particulièrement la gent masculine, ne sont pas vraiment intéressés par les études. Beaucoup ne le sont que pour éviter le service militaire», ce qui, selon le doyen, réduit les chances pour d’autres plus volontaires.
Un autre constat établi par le responsable de la faculté fait état d’un taux de 30% d’étudiants en mastère qui travaillent. «Les études en mastère sont contraignantes. La présence physique des étudiants est impérative, ce qui n’arrange pas vraiment ceux qui ont un emploi», déplore M. Lakhlef. Face à ces constats, le recours à la formation à distance — une pratique très répandue à l’international — s’est imposé. «Grâce à cette formule, on élimine d’abord la problématique de la présence physique. Ensuite, cela permet d’élargir le nombre d’inscrits dans chaque filière ouverte», argue notre interlocuteur.
Comment se passent des études de mastère à distance ?
D’abord, il est bon de préciser que la formule «à distance» engage l’utilisation des nouvelles technologies de la communication. Tout se passe donc sur le Net, à commencer par le dépôt de candidature. «Nous avons enregistré plus de 4000 demandes pour le Master en comptabilité», instruit Aït-Mohammed Mourad, responsable du domaine LMD à la faculté des sciences économiques. Pour cette opération pilote, la faculté a retenu 1000 étudiants.
«Cela dépend des capacités de la plateforme mise en place par l’Université de formation continue (UFC)», explique le responsable du domaine LMD en vantant la «grande expérience de notre partenaire, l’ UFC, dans le domaine de l’enseignement à distance».
Ensuite, une fois retenu, le candidat devra s’acquitter de la somme de 10 000 DA pour avoir accès à un compte individuel sur ladite plateforme. Pour ce qui est du suivi des cours, l’étudiant en mastère devra consulter son compte régulièrement aux heures qui lui conviennent.
Sur la plateforme, il trouvera les cours mis en ligne par les enseignants et les exercices commandés. «L’enseignant, en plus du cours rédigé, donnera des exercices à faire avec des deadlines. L’étudiant pourra également poser des questions auxquelles le formateur répondra en ligne», développe Aït-Mohammed pour expliquer l’interactivité de la formation. Une interactivité qui n’est pas obligatoirement simultanée.
En ce qui concerne l’évaluation, l’étudiant sera estimé sur la base des travaux commandés et sur examen. «Les examens se dérouleront normalement, comme pour les étudiants en présentiel. Il y aura un planning prédéfini pour que les travailleurs puissent prendre leurs dispositions. Et ils passeront leurs examens au niveau de la faculté», éclaire-t-il.
S’agissant de la qualité de la formation, le responsable du domaine LMD rassure : «Ce sont nos enseignants qui assureront les cours et le suivi. Les mêmes que ceux qui enseignent dans les mastères ’normaux’.» «Peut-être que les encadreurs d’un certains âge, déconnectés du monde virtuel ou encore ceux qui n’ont pas pour méthode de préparer les cours écrits, ne participeront pas. Mais les autres seront mobilisés pour cette option», explique-t-il encore pour dire qu’en matière de qualité d’enseignement, les étudiants en mastère à distance auront le même niveau de prise en charge que les autres.
Pour ce qui est de la qualité du diplôme cette fois, M. Aït-Mohammed, tout en reconnaissant que les textes réglementaires entre autre pour déterminer la «forme» du diplôme (papier) n’existent pas encore, assure que le mastère à distance aura la même valeur que celui résidentiel. «C’est un diplôme qui émane de l’université Alger3. Ce n’est pas un mastère professionnel, c’est un mastère à part entière», insiste le doyen de la faculté.
Vantant les avantages des nouvelles technologies de la communication, Lakhlef Athmane tient à préciser un autre atout de taille, celui de la transparence. «Malgré tous les racontars, je peux dire que pour les concours de doctorat que nous avons organisés cette année, sur les 43 000 postulants, 18 000 admis au concours d’accès, seul 143 ont été retenus pour les 16 offres de formation. Sur cette énorme demande, nous n’avons enregistré à notre niveau aucune demande de recours. C’est dire l’importance de cet outil», conclut-il.
La soudure au cœur du projet Erasmus
Le programme européen pour l'éducation, la formation, la jeunesse et le sport, Erasmus, implique l’université de Constantine dans l’élaboration d’un programme de formation spécialisée en soudage et d'un centre de soudure pour l'éducation. Ses experts se réuniront demain avec les responsables de l’université Mentouri pour la mise en place de cette formation.
Ainsi , des représentants des universités et des entreprises d’Algérie et de Tunisie et leurs homologues de 7 pays européens dont la Suède, l'Allemagne, la Belgique, l'Espagne, le Portugal, la Grèce et la Roumanie seront en conclave à partir de demain et pour une durée de trois jours pour étudier la mise en œuvre d'une formation spécialisée en soudage et d'un centre de soudure pour l'éducation, la formation et le contrôle de qualité, dans les pays du sud de la Méditerranée. Les membres du projet Erasmus, mettant en partenariat des universités européennes et sud-méditerranéennes débattront ensemble des mécanismes de cette mise en place de cette formation. Selon le recteur de l’université Mentouri, le professeur Abdelhamid Djekoune, il s'agit « d'un projet européen qui est destiné à développer les capacités scientifiques de construction et de formation dans le domaine de l'Enseignement supérieur, à travers un partenariat noué entre les universités du sud et celles du nord de la Méditerranée ».
Et à propos du thème qui a été choisi pour cette rencontre, à savoir la soudure, le recteur ajoutera qu'il ne s'agit pas de la soudure simple, telle qu'elle est enseignée sommairement dans les centres de formation professionnelle, mais d'une discipline qui est entrée, désormais, dans le domaine scientifique et dont la pratique, en ce temps de développement des technologies, est devenue plus complexe, plus « savante ». Sont conviés à cette rencontre, les représentants des secteurs socio-économiques parmi lesquels ont compte ceux du Centre national des technologies industrielles qui est en train de développer une grande expertise dans la soudure.
7E SALON INTERNATIONAL DE L'ÉNERGIE À ORAN Les jalons d'un vrai débat
Un tel rendez-vous s'appuie sur la politique entérinée par le gouvernement algérien priorisant l'ambition de bâtir une économie forte et diversifiée.
Le 7e Salon international des énergies propres, des énergies renouvelables et du développement durable, ERA 2016, s'est ouvert hier à Oran en présence du ministre de l'Energie et des Mines, Noureddine Bouterfa et plusieurs autres cadres intervenant dans le secteur. La rencontre s'étalera sur trois jours, du 24 au 26 du mois en cours. L'ERA est un espace de débats annuels devant aboutir à l'élaboration des recommandations portant sur la priorisation et la durabilité de l'indépendance énergétique de l'Algérie. La rencontre constitue une opportunité permettant de débattre avec acuité la dynamique de développement économique. Un tel rendez-vous de haut niveau s'appuie essentiellement sur la politique entérinée par le gouvernement algérien priorisant l'ambition de bâtir une économie à la fois forte et diversifiée, mais également concurrentielle. Cela n'est possible qu'en prenant en compte la valorisation de toutes ses ressources naturelles et humaines définies dans le cadre des nouvelles dispositions de la Constitution. Un appel auguste interpelle les entreprises à se constituer en tant que moteur principal dans cette politique en jouant un rôle de premier ordre dans le cadre de la valorisation d'une industrie nationale des énergies renouvelables destinée à la fabrication des équipements inhérents à la production d'électricité ainsi que leur maintenance. La rencontre d'Oran traitera des divers aspects de la problématique du développement des énergies renouvelables, de l'efficience énergétique et de l'économie d'énergie, ainsi que d'autres aspects rentrant dans le cadre du développement durable. Il s'agit des réalisations et projets en cours inscrits dans le cadre du programme de développement des énergies renouvelables 2015-2030. L'ERA 2016 évoquera le cadre incitatif à l'investissement dans les énergies renouvelables, l'industrialisation dans le domaine des énergies renouvelables en Algérie, la formation et recherche, la valorisation énergétique dans la gestion des déchets ainsi que le partenariat étranger.
Université et énergies renouvelables
Qu'ils soient nationaux ou étrangers, ces investisseurs ainsi que leurs initiatives sont les bienvenus, d'autant que leur concours ouvert est essentiel dans le cadre de la concrétisation du Programme national de développement des énergies renouvelables. Tous les segments constituant une telle chaîne sont concernés. Il s'agit d'impliquer en amont les investisseurs tout comme ceux devant investir en aval dont entre autres dans le cadre des interconnexions au réseau national de distribution. Plusieurs atouts plaident pour la réussite d'un tel investissement, à commencer par la capacité exceptionnelle en sources d'énergies renouvelables dans les différentes filières dont regorge l'Algérie. Celles-ci constituent un puissant facteur attractif pour les investisseurs en plus des motivations liées aux objectifs de croissance et de modernisation de l'économie ainsi que de préservation de l'environnement. Conscients d'une telle évidence, les pouvoirs publics ne sont pas restés passifs apportant la touche nécessaire. D'abord, ils ont décidé de la nécessité d'encourager, tout en accompagnant, les investisseurs. Ensuite, l'Etat a mis en place des mesures motivantes accompagnées par plus de facilitations aux activités dans le segment des énergies renouvelables. Les moyens humains ne font plus défaut. Secteur névralgique, les énergies renouvelables sont prises en compte par l'enseignement supérieur en formant annuellement plusieurs promotions dans différentes spécialités. Idem pour les centres de recherche ainsi qu'au niveau des instituts de formation professionnelle. Résultat: les énergies renouvelables commencent à être exploitées dans l'agriculture et l'habitat.
L'entrepreneuriat est incontournable
Le gouvernement algérien a, dans un volet, avalisé une série de mesures incitant les opérateurs à investir dans les énergies renouvelables. Ces mesures visant essentiellement la promotion d'un tel secteur, se traduisent par la mise en place d'un cadre juridique favorable et un Fonds national pour la maîtrise de l'énergie, pour les énergies renouvelables et la cogénération (Fnmeerc). Tel qu'explicité, le soutien proposé par le gouvernement pour la promotion des énergies renouvelables est scindé en deux modes. Pour les installations raccordées au réseau, le soutien de l'Etat s'effectue à travers le mécanisme du tarif d'achat garanti (feed in tarif). Ce système garantit aux producteurs d'énergie renouvelable de profiter de coûts leur permettant une rentabilité logique de leur investissement sur une durée d'éligibilité de 20 ans pour le solaire et l'éolien et 15 ans pour la cogénération. Au-delà de cette durée, les installations peuvent encore fonctionner sans bénéficier de ce mécanisme. Toutefois, la production sera rémunérée au tarif du marché. Les surcoûts engendrés par ces tarifs seront supportés par le Fonds national pour la maîtrise de l'énergie, pour les énergies renouvelables au titre des coûts de diversification. Aussi, le distributeur qui achète cette énergie au tarif d'achat garanti se fait donc rembourser à hauteur de la différence séparant le tarif d'achat garanti et un tarif de référence qui est le prix moyen de l'électricité conventionnelle. Pour le reste de l'investissement, c'est-à-dire les autres applications, le soutien de l'Etat se fait par le biais d'une participation à l'investissement, la réglementation en fixe le niveau et le montant. Le soutien aux énergies renouvelables est effectif à travers une participation à l'investissement par le Fonds de la réglementation à hauteur d'un certain niveau et concerne les installations photovoltaïques et éoliennes hors réseau, le résidentiel et la géothermie.
Les excès générés par ces tarifs seront soutenus par le Fonds de la réglementation en tant que montants de diversification, le distributeur qui achète cette énergie au tarif d'achat garanti se fait donc compenser à hauteur de la différence entre le tarif d'achat garanti et un tarif de référence qui est le prix moyen de l'électricité conventionnelle.
D'autres formes d'aide sont prévues, notamment dans le cadre de l'acquisition et la mise à disposition des terrains éligibles à l'implantation de centrales ENR, l'accompagnement dans tout le processus d'acquisition des autorisations nécessaires et l'identification du potentiel de toutes les régions concernées par les ENR. Il n'est un secret pour personne, que l'entrepreneuriat constitue un élément principal dans la politique gouvernementale défendant la nécessité de se lancer dans les énergies renouvelables.
La rencontre d'Oran constitue, à son tour, un tournant décisif pour les opérateurs, nationaux et étrangers, et aux jeunes désireux se lancer dans un tel modèle d'investissement, l'entrepreneuriat. Comme elle constitue l'opportunité de réussir leur insertion dans la dynamique créée par la mise en oeuvre du Programme national de développement des énergies renouvelables.
Le coup de pouce de l'Etat
D'ailleurs, ERA 2016 s'inscrit dans cette synergie en offrant le cadre propice à ne pas rater par tous les opérateurs et investisseurs dans les énergies renouvelables, désireux de faire connaître leurs activités aux autres professionnels devant accroître leurs capacités à travers des partenariats mutuellement avantageux. Le plan de développement des énergies renouvelables a été revu et actualisé en février 2015. Il est classé en tant que priorité nationale. L'engagement pris par l'Algérie vise à apporter des solutions complètes fondées sur des assises solides tout en prenant en compte les défis environnementaux et les problématiques de préservation des ressources énergétiques d'origine fossile. Cela est effectif à travers le lancement d'un programme ambitieux visant le développement des énergies renouvelables Le programme des énergies renouvelables actualisé consiste à installer une puissance d'origine renouvelable de l'ordre de 22 000 MW d'ici 2030 pour le marché national tout en visant à atteindre l'objectif principal, l'exportation. En prenant en compte un tel programme, l'Algérie se positionnera en tant qu'acteur principal dans la production de l'électricité à partir des filières photovoltaïque et éolienne en intégrant la biomasse, la cogénération, la géothermie et au-delà de 2021, le solaire thermique. Ces filières énergétiques impulseront un nouveau modèle de croissance économique. Un taux de 37% de la capacité sera installé d'ici 2030 et 27% de la production d'électricité destinée à la consommation nationale, seront de souche renouvelable.
Présente avec une agence et 5 entreprises
La France met le paquet
La France n'entend pas rater le virage énergétique que négocie l'Algérie. Aussi, les entreprises françaises versées dans le renouvelable entendent se faire remarquer à l'occasion du Salon des énergies renouvelables et du développement durable ERA 2016 à Oran. Drivée par Business France, l'agence française dédiée à l'internationalisation de l'économie française, le pavillon français au Salon ne passera certainement pas inaperçu. Ainsi, l' Agence française de développement, spécialisée dans le financement et l'accompagnement des projets et programmes de développement sera présente à Oran. De même pour cinq autres participants, où l'on compte des entreprises de services et de production, tous dédiés à l'énergie verte et leaders mondiaux dans leur spécialité. La France qui semble bien décidée à accompagner l'Algérie dans sa transition énergétique ne lésine donc pas sur les moyens et apporte un soutien politique fort aux professionnels français intéressés par un investissement en Algérie dans le domaine du renouvelable.
Les capacités d’accueil hôtelières atteindront 10.000 lits en 2025
Plusieurs projets d'établissements hôteliers sont en cours de réalisation et permettront, à terme, d’améliorer les capacités d’hébergement, ainsi la qualité des prestations, a souligné le même responsable qui assure que de multiples facilités et avantages sont accordés aux investisseurs désirant s'implanter sur le Vieux Rocher qui a tous les atouts pour devenir un pôle touristique.
Le rôle de la direction du tourisme est fournir «appui et accompagnement» et celui des agences et opérateurs touristiques de proposer des «produits qui intéressent les touristes», a estimé M.
Lebad qui a souligné que la ville des ponts accueille mensuellement 15.000 visiteurs dont 10 % de nationalités étrangères.
Comparativement à 2011, le secteur a réalisé un bond majeur en voyant ses capacités d’hébergement grimpé en six ans de 1.000 à 2.500 lits et un taux de fréquentation de 50 %, a ajouté le directeur du tourisme.
Boosté par la dynamique économique que connait la wilaya, le tourisme d’affaires représente 60 % du total de visiteurs séjournant à Constantine suivi par le tourisme culturel puis le tourisme thérapeutique, a ajouté M. Lebad qui a appelé à la multiplication des manifestations et salons pour attirer davantage de touristes.
24 établissements hôteliers, dont 16 classés de 1 à 5 étoiles, existent dans la wilaya de Constantine.
Trois hôtels appartiennent au secteur public et le reste est de statut privé, a noté le même responsable.
L’université est-elle en voie de devenir une «entreprise comme les autres»
Elle n’est pas encore au stade de l’autonomie, mais la conjoncture économique actuelle lui impose certaines lignes de conduite, dont la rationalisation des dépenses et le délaissement des spécialités sans ancrage sur la vie économique. Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Tahar Hadjar, multiplie depuis quelque temps les déclarations autour de l’université de demain, drainant des réactions au sein des enseignants et de la communauté estudiantine.
Tantôt remettant en question les bourses octroyées aux étudiants et le budget des œuvres sociales, tantôt la formation, très académique, dispensée par les universités, le ministre de tutelle enchaîne les tribunes pour rectifier le tir ou, a contrario, confirmer ses propos.
Les œuvres sociales ont été la première cible de Tahar Hadjar. Il y avait à redire sur leurs prestations. Les extrapolations donneront lieu à une information faisant état d’une éventuelle privatisation. Les organisations estudiantines, à leur tête l’Union générale des étudiants libres (UGEL), sont déjà montées au créneau. Leurs réactions ne se sont pas fait attendre, «l’union refuse la privatisation des œuvres universitaires, un dossier qui sera débattu lors de conférences prévues dans plusieurs universités», a indiqué, dimanche dernier, le bureau exécutif de l’UGEL dans un communiqué ayant sanctionné sa réunion périodique. La tutelle a recadré certaines déclarations. Lors de la récente installation de la commission des études du FLN, Hadjar a saisi l’occasion pour apporter ses précisions.
Il serait question de propos dénaturés. «Il faudra penser à l’amélioration de la gestion des œuvres sociales pour une optimalisation des dépenses et fournir une meilleure prestation aux étudiants», a-t-il spécifié. Et d’insister sur le financement public de ces œuvres sociales, ce qui implique l’observation d’une gestion rationnelle, la politique d’austérité passera aussi par là, motivée par l’augmentation significative du nombre d’étudiants.
Ce dernier a connu une hausse de 12% pour cette rentrée. «La rentrée universitaire 2016-2017 a été marquée par une augmentation de 12% du nombre d’étudiants inscrits par rapport à l’année précédente», a indiqué le ministre, qui s’exprimait, dimanche, devant la commission de l’éducation, de l’enseignement supérieur, de la recherche scientifique, des affaires religieuses du Conseil de la nation (Sénat). Il a précisé que le nombre d’étudiants cette année s’élevait à 1, 613 million inscrits, encadrés par 60 000 enseignants universitaires à travers le territoire national.
Les infrastructures devront automatiquement suivre. Déjà que dans plusieurs wilayas, les universités souffrent de surcharge des amphis et salles de cours, de manque de places pédagogiques et d’hébergement, «un manque d’encadrement dans plusieurs spécialités, particulièrement les filières scientifiques, l’absence de contrats de partenariat avec les institutions économiques, la non-application des recommandations de la conférence d’évaluation du système LMD et le retard dans les cours dans plusieurs facultés dans les universités d’Oran, Mostaganem, M’sila, Relizane, Blida et l’Ecole normale supérieure (ENS), particulièrement dans les spécialités des sciences sociales et humaines», a souligné l’UGEL.
Le premier responsable du secteur, qui a affirmé que «la conjugaison des efforts d’un nombre de secteurs était nécessaire pour la réussite de la rentrée universitaire», a tenté de rassurer l’ensemble de la communauté universitaire que la déficience structurelle sera rattrapée par son département : «D’ici à la fin de l’année 2016, de nouvelles structures d’une capacité de 100 000 places et 55 000 lits seront réceptionnées.» Pourvu que les projections du MESRS ne soient pas compromises par d’autres effets de la crise.
DE LA FORMATION PRATIQUE SURTOUT
En décembre 2015, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a tenu une conférence sur l’évaluation du système LMD (Licence- Master-Doctorat). Après des mois de débat et trois jours d’âpres échanges entre les différents gestionnaires et représentants de l’université algérienne, la première recommandation qui en a résulté est le maintien du système LMD. Et ce n’était pas faute d’avoir essayé une refonte, car, de l’avis de bon nombre d’enseignants, «le système en question a montré ses limites».Preuve en est, cette confusion dans l’accès au master et au doctorat.
Des organisations estudiantines ont d’ailleurs relevé une intransigeance concernant cette question, «il existe un manque de clarté dans les critères permettant aux étudiants du système LMD de participer au concours, le refus de la tutelle de prolonger les délais de débat des thèses de doctorat», selon l’UGEL qui espère voir la tutelle revoir sa copie à cet effet, arguant que «la recherche scientifique ne devrait pas être limitée dans le temps». L’évaluation du système LMD a donné aussi le ton à la mise en place progressivement de mécanismes susceptibles de colmater au fur et à mesure les dysfonctionnements du secteur de l’enseignement supérieur. La présente rentrée est placée sous le sceau de la qualité.
«L’année de la qualité, en préparation depuis cinq années, vise à corriger les dysfonctionnements par la mise en place de références nationales et des mécanismes obéissant à des critères nationaux», a laissé entendre Tahar Hadjar, depuis Tipasa où il effectué récemment un déplacement. Il retiendra à l’endroit de l’institution universitaire actuelle : «une formation académique de niveau au lieu de formation pratique spécialisée».
Les perspectives, voire les ambitions, de l’université d’Oran, illustrent cette nouvelle vision. L’enseignement supérieur dans la capitale de l’Ouest est appelé à introduire «au moins 30 spécialités en industrie automobile vu la vocation future de la région», a affirmé Hadjar, allusion faite à l’installation du constructeur automobile Renault, talonné par Peugeot et bientôt par d’autres. Faire de l’université un levier pour l’industrie, l’agriculture et toute activité génératrice d’emplois, «les universités et les grandes écoles sont sommées de revoir leurs programmes pédagogiques et spécialités dans une année ou deux et ce projet doit être présenté à la tutelle pour approbation», a informé Tahar Hadjar. Un projet qui permettra de revoir la carte de la formation. Cette dernière devra être en adéquation avec les développements et l’évolution économiques.
Ce projet «permet l’avènement d’autres spécialités et la disparition d’autres, pour hisser l’université algérienne au rang des grandes universités et cela a été abordé dans la conférence sur l’évaluation du LMD». L’allusion est-elle faite au dernier classement des universités selon QS World University Rankings, un classement réputé très sérieux et qui place l’université algérienne en queue de peloton dans le monde arabe ? Et au ministre de s’en défendre : «Le classement des universités par des organismes est élaboré selon une logique et des considérations publicitaires», sera sa réponse.
Résultats des concours de doctorats 2016 LMD
Biotechnologie Végétale et Environnement
Biotechnologies Microbiennes et Bioprocédés
ST
Hygiène et sécurité industrielle transport
Micro-nanoélectronique et photonique
Filière Chimie
Chimie analytique et environnement
Filière Physique
Physique Fondamentales et Applications
Nanomatériaux et Matériaux avances
Droit
25.000 étudiants palestiniens sont diplômés des universités algériennes
L'ambassade de Palestine à Alger a organisé samedi à Alger une cérémonie de distinction en l'honneur d'étudiants palestiniens diplômés en 2016 des universités algériennes en présence du ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Tahar Hadjar qui a salué l'initiative.
Organisée à la "salle rouge" de la bibliothèque nationale (El Hamma-Alger), la cérémonie à laquelle ont assisté, aux côtés de l'ambassadeur de Palestine, Louaï Aissa, des représentants de corps diplomatiques arabes accrédités en Algérie, a concerné 150 étudiants palestiniens ayant obtenu leurs diplômes en 2016 dans différentes spécialités.
Dans une allocution prononcée à l'occasion, le ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique a réaffirmé la position indéfectible de l'Algérie vis-à-vis de la cause palestinienne soulignant que le nombre des étudiants palestiniens dans les universités algériennes vient après celui des Algériens.
"Le nombre d'étudiants palestiniens diplômés des universités algériennes a atteint les 25000 étudiants", a indiqué M. Hadjar.
"Depuis son indépendance, l'Algérie traite les étudiants palestiniens comme des Algériens dans tous les domaines, notamment s'agissant des conditions d'accès aux universités ou d'inscription dans toutes ses universités sans exception aucune", a-t-il ajouté.
Il a salué cette première initiative du genre de l'ambassade de Palestine de distinguer les étudiants palestiniens diplômés des universités algériennes en 2016 s'engageant à ce que son département ministériel "contribue à l'avenir à ce genre d'initiatives par le biais des universités ou du ministère".
"Vous pouvez être fiers de cette distinction et de votre réussite après des années de labeur et d'efforts. Je suis convaincu que vous serez, où que vous soyez, les meilleurs ambassadeurs de votre pays la Palestine, en premier lieu, puis de l'Algérie et de ses universités".
De son côté l'ambassadeur de Palestine Louaï Aissa, a mis en exergue dans son allocution l'importance de l'émancipation, par le savoir et de la science, comme une forme de résistance du peuple palestinien.
"La science revêt pour nous une place importante et stratégique, car elle nous a aidé à préserver notre équilibre malgré la crise, et ce , afin de contribuer au développement de notre pays", a ajouté M.Louai.
L'ambassadeur a également saisi l'occasion pour saluer le rôle de l'Algérie dans "la formation du cadre palestinien", affirmant que les universités algériennes ont "été ouvertes historiquement aux étudiants palestiniens et que le nombre de bourses d'études offert aujourd'hui à nos étudiants est plus important par rapport à celui accordé par d'autres pays arabes et étrangers" .
"Les Palestiniens sont fiers des étudiants diplômés des universités algériennes, nous tenons à cet effet, à remercier l'Algérie pour sa participation à la construction de notre Etat", ajoute l'ambassadeur de Palestine.
De leur coté, les étudiants ont remercié le président, le gouvernement et le peuple algériens pour leur contribution dans leur formation, ils ont également salué les enseignants des différentes universités algériennes pour la "bonne formation scientifique" dont ils se disent être fiers.
Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique a assisté aux cotés de l'ambassadeur de Palestine à cette cérémonie qui a duré près de deux heures.
M.HADJER