Thursday, March 28, 2024

BANQUE ISLAMIQUE DE DEVELOPPEIVIEN'l

 

PROGRAMME DE BOURSES DE MÉRITE POUR LA HAUTE TECHNOLOGIE
APPEL A CANDIDATURES

Année universitaire 2016-2017

1, La Banque islamique de développement (BlD) offre 50 bourses d'étude dans le cadre de son « Programme de Bourses de mérite pour la Haute Technologie », pour l'année 2016-2017. Elles seront attribuées à compter du mois de Septembre 2016.

  1. Le Programme est destiné aux étudiants chercheurs ressortissants de pays membres de la BlD désirant faire un Doctorat ou des recherches postdoctorales. Les candidats doivent être en poste dans une institution universitaire ou un centre de recherche dans leur pays, et remplir tous les critères d'éligibilité au programme.

  2. La bourse des études de Doctorat est pour une durée de trois années dans des disciplines scientifiques à même de favoriser le développement dans les pays membres de la 13ID, notamment la Sante7Médecine, l'Agriculture/Production alimentaire, l'Hydraulique/Désertification, l’énergie/Développement des infrastructures, la Nanotechnologie et les TIC pour le développement.

  3. Le candidat retenu doit obtenir une inscription dans l'une des universités indiquées dans le Times Higher Education Supplement (THES). La liste est disponible sur le site ci-après :https://www.timeshighereducation.com/world-university-rankings

  4. La priorité sera accordée aux candidats doctorants admis dans les universités suivantes, qui ont conclu un accord de coopération avec la BlD à savoir, Université de Cambridge, Université d'Oxford, Université de Nottingham, Université de Birmingham., Université de York et Université Collège de Londres, au Royaume-Uni, Université de Princeton aux Etats-Unis, Pôle de Paris-Tech en Fiance et l'Université du Roi Abdallah des Sciences et Technologies en Arabie Saoudite.

  5. La bourse des recherches postdoctorales s'adresse exclusivement aux candidats porteurs d'initiatives innovantes désireux de réaliser un projet de recherche postdoctorale de six à douze mois dans des centres d'excellence, dotés de facilités et d'équipements de pointe, aussi bien dans les pays membres de la MD que riens les pays développés. Le projet doit porter sur une solution à un problème précis â savoir le paludisme, corona, ébola, production alimentaire, ressources en eaux, désertification, énergie, ce, dans l'optique du développement économique des pays membres, et ce en droite ligne de la Vision 1440H de la BlD.

  6. Le candidat retenu pour les recherches postdoctorales doit obtenir une lettre d'invitation d'un centre de recherche établi dans pays membre de la BD) ou un pays développé.

  7. La bourse couvre les (irais de scolarité et de subsistance, la couverture médicale et un billet d'avion aller- retour. La bourse de Doctorat sera octroyée aux étudiants-chercheurs dont les membres de leur famille ne seront pas pris en charge par le programme.

  8. Les candidats intéressés peuvent télécharger, sur le site internet de la B1D (www.isdb.org), le formulaire de candidature, et prendre connaissance des critères d'éligibilité et procédures de dépôt de candidature, ainsi que les avantages et facilités qu'offre le Programme.

  9. Les formulaires dûment remplis, accompagnés des documents requis, doivent être envoyés Bureau du Gouverneur de la BID dans le pays du candidat, qui transmettra au Siège de la BID à Djeddah, au plus tard le 29 Février 2016. Les demandes envoyées directement à la BID ne seront pas prises en compte,

La Division des Bourses d'Etudes,

Banque Islamique de Développement,

 

8111 King Khalid St. Al Nuzlah Yarnania Dist. Djeddah 22332-2444, Royaume d'Arabie Saoudite
Téléphone: (966-12) 646 6833; Fax: (96612) 646 6887 E-mail:
Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.






Programme national : Algérie

Présentation et démarche 

Le 7 février 2016 à 9h

Campus 500 places, 


Le projet COFFEE ‘’Construction d’une Offre de Formation à Finalité d’Employabilité  Elevée’’,  du programme ERASMUS+ renforcement des capacités,  regroupe  18 partenaires, dont :

-          Le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la recherche Scientifique (MESRS),

  •           09 universités algériennes, dont l’Université des frères MENTOURI Constantine 1,
  •           02 partenaires socio-économiques (CACI et ADPE)
  •            01 Centre de compétence Le Forem-Environnement,
  •           05 Universités européens,

Ce projet COFFEE, d’une durée de trois ans avec la coordination de l’université Montpellier,  s’appui dans sa réalisation sur :

  •              Les besoins exprimés par le secteur Socioéconomique,      
  •              La Co-construction de formations visant une employabilité élevée (secteurs économique et universitaire)
  •      Elaboration d’une matrice structurelle pour les Licences professionnelles,
  •              Application de cette matrice à dix-huit nouvelles Licences professionnelles, 

Pour la visibilité des actions menées par l’UFMC et la présentation du projet COFFEE à la communauté universitaire et au monde socioéconomique de la région Est de l’Algérie, une journée présentation et sensibilisation autour du projet est programmée le 7 février 2016 à partir de 09h.00 au campus 500 places.

Cette journée sera aminée par les représentants de l’Université de Montpellier (Université Gestionnaire du Projet).

 

Les étudiants et enseignants intéressés sont cordialement invités.


Et la lumière fut… Oui, il y a eu de la lumière durant deux jours, dimanche et lundi derniers, à l’université Mentouri de Constantine. Deux jours pour célébrer la lumière tant dans ses aspects scientifique que technologique et sociétal, à travers les journées Ibn Al Haitham II. La communauté scientifique, dont d’éminents représentants, ont clôturé l’Année internationale de la lumière par une série d’interventions dédiées exclusivement à la lumière, à son rôle de pivot de la science, son impact sur la vie quotidienne et son incidence sur le développement des technologies.

Pour rappel, l’Année internationale de la lumière (en abréviation anglaise IYL-2015), proclamée par l’Organisation des Nations unies (ONU), a pour figure emblématique le savant musulman Abu Hassan Ibn Al Haitham, qui a révolutionné l’optique il y a 1000 ans, célèbre pour ses applications en médecine, en astronomie et autres branches scientifiques. D’où l’organisation des journées Ibn Al Haitham I au sein de l’université Mentouri de Constantine, auxquelles la directrice générale de l’Unesco, Irina Bokova, a pris part, le 12 avril 2015, au lendemain du lancement de l’année de la Lumière en Algérie. Pour la clôture de l’événement, la même université a organisé les journées Ibn Al- Haitham II. Cette manifestation scientifique a été renouvelée, cette année, avec la participation des chercheurs émérites venus de France, du Royaume-Uni et de Bahreïn. Initiée par le département de physique et le laboratoire de physique mathématique et subatomique (LPMPS) de l’université Constantine 1, ce rendez-vous de «la matière grise» a exploré la lumière dans ses multiples aspects et déclinaisons, en hommage à Ibn Al Haitham. De son vrai nom Abu Ali Al Hassan Ibn Al Hassan Ibn Al Haitham,, il est né en 965 dans la ville irakienne de Bassora. Il a révolutionné, entre autres, la science de la lumière. Il a inventé la chambre noire et est le premier à établir que la lumière de la Lune vient du Soleil. Mathématicien, philosophe et physicien du monde médiéval arabo-musulman, il est l’un des premiers promoteurs de la méthode scientifique expérimentale, mais aussi un des premiers physiciens théoriciens à utiliser les mathématiques. Il s’illustre par ses travaux fondateurs dans les domaines de l’optique. Certains, pour ces raisons, l’ont décrit comme le premier véritable scientifique. C’est d’ailleurs à ce pionnier de l’expérimentation que le Pr Abderrahmane Tadjeddine, doyen des scientifiques algériens, a tenu à rappeler les mérites et les travaux, en faisant référence au Traité d’optique (Kitab Al Manadhir), écrit il y a plus de 1000 ans et qui fut à l’origine d’une «véritable révolution scientifique» dans le domaine de l’optique. Le Pr Abderrahmane Tadjeddine, directeur de recherche à l’université Paris-Sud, ancien directeur adjoint du CNRS (France), détenteur de la Légion d’honneur et lauréat de la médaille Rammal de physique, a été distingué par l’université Mentouri et l’association Sirius, en reconnaissance à l’éminence de son parcours professionnel. Il s’est dit «très ému et honoré par cette distinction, d’autant qu’il n’est pas revenu à Constantine depuis sept années». Abderrahmane Tadjeddine a également indiqué, en marge de cette conférence, qu’il œuvrera, à la tête d’un groupe de scientifiques, à la valorisation des travaux d’Ibn Al Haitham, particulièrement la «mise en lumière» de ceux encore inédits. LA SYMPHONIE COSMIQUE Ces journées ont, en parallèle, consacré un large volet de leurs activités aux expositions. Grâce à la collaboration du club de physique de Constantine, l’association Sirius d’astronomie, le Centre de développement des technologies avancées et l’unité de recherche en optique et photonique de l’université Ferhat Abbas de Sétif (UROP-CDTA), la communauté estudiantine a pu découvrir de visu un soupçon des innombrables secrets de la lumière, ses distorsions, ondulations et rétractations. Les étudiants qui se sont agglutinés devant les stands, au niveau du bloc des lettres, étaient pour le moins émerveillés devant des démonstrations, ô combien intrigantes mais captivantes. Le stand de Walid Labbou était l’un des plus visités. Ce jeune attaché de recherche à l’université Ferhat Abbas de Sétif participe à cette manifestation avec plusieurs de ses pairs et anime, avec eux, la «Caravane de la lumière», composée de plusieurs expériences d’optique et d’optronique manipulatoires. Il est très absorbé par les explications qu’il fournit aux visiteurs, notamment à propos de son hologramme par pyramide inversée. «A l’aide d’une surface semi réfléchissante inclinée de 45°, on peut avoir une image virtuelle de l’objet à travers cette surface, la répétition de cette opération sur les 4 facettes d’une pyramide donne l’hologramme». En vérité, la vulgarisation de ce procédé nécessite une maîtrise de la science physique et de beaucoup de bagage scientifique. Pour les profanes, notre chercheur use d’un vocabulaire adapté pour répondre à toutes ces questions qui fusent par ci par là face à ces quatre formes halogènes qui flottent. Tout cela sera réalisé grâce à la lumière «dans les deux prochaines décennies, on va avoir une technologie davantage basée sur l’optique, ce qui se traduira par une rapidité de l’information», conclura cet ingénieur chercheur. Bouchra Labsir, étudiante en mastère I de physique des particules et membre du club éponyme de l’université Mentouri a présenté, quant à elle, le miroir infini. Entre deux plaques, un écran de fumée et un miroir, il y a la création d’un tunnel, ce qui permettra à lumière de se réfléchir, de faiblir avant de se dissiper progressivement. C’est une explication sommaire mais l’effet d’optique est saisissant, au grand émerveillement de l’assistance. «Mon expérience n’a aucune application dans la vie quotidienne (...) C’est un exercice pratique qui me permet de tester mes connaissances et acquis en la matière», nous a-t-elle confié. Plusieurs communications relatives aux thèmes de la lumière synchrotron, l’impact de la lumière sur l’évolution stellaire, le laser et ses applications sociétales et la physique des cellules solaires, ont été présentées par des universitaires algériens et étrangers lors des journées Ibn Al Haitham dont le clou était la projection, en exclusivité en Algérie du film Light : beyond the bulb, the LBB project (Lumière : au-delà de l’ampoule). C’est un programme d’expositions internationales open-source qui met en valeur l’incroyable variété de la science basée sur la lumière étant recherché aujourd’hui à travers le spectre électromagnétique, dans toutes les disciplines scientifiques et à travers les plateformes technologiques. Aussi, il y a eu la «Symphonie Cosmique», qui est la plus grande exposition sur la lumière, en circulation en Afrique et en Europe. Cette manifestation constantinoise sera la dernière étape en Algérie, mais aussi sur le continent africain et dans le Monde arabe, de l’Année internationale de la lumière. Cette dernière avait été ouverte le 19 janvier 2015, à Paris et se terminera au Mexique, le 2 février prochain, avec l’inauguration du Musée de la lumière. Naïma Djekhar


Les correspondances 1063 DCEIU 2015.pdf :Bourses d’études attribuées par le Sultanat de Brunei Darussalem



Plans to build one of the world's biggest telescopes on Mauna Kea in Hawaii are mired in conflict. Four people involved in the fight explain their diverse views.

A low, mournful note rings across the broad summit of Mauna Kea, the highest peak in Hawaii. Joshua Lanakila Mangauil lowers his conch-shell horn and begins to walk over the craggy volcanic rock. Behind him come a dozen other Native Hawaiian men and women, many carrying the red, white and blue state flag. Together, they sing traditional chants as they hike up a volcanic ridge, headed for the top of the mountain.

On this July day, Mangauil is leading a reverent but short visit to the 4,200-metre-high summit. Native Hawaiian tradition calls for visitors to pay their respects to the sacred mauna, or mountain, and then leave. The group planned to stay a few hours, then get back into its pickup trucks and drive to a camp farther down. There they would resume the task that has consumed Mangauil and others for the greater part of a year: protecting the mauna from an effort to build a massive telescope.

An international consortium plans to construct the Thirty Meter Telescope (TMT) on top of Mauna Kea on Hawaii's Big Island. A cutting-edge astronomical facility, it would have a light-gathering mirror 3 times bigger than any of the 13 other telescopes already on the mountain, which include some of the largest and most scientifically productive observatories in the world.

TMT construction began in April and stopped almost immediately when demonstrators led by Mangauil blocked the vehicles from reaching the summit. They say that the TMT would violate both a fragile ecosystem and indigenous rights that have not been properly valued by astronomers. “Before you look into space, you need to respect this place,” Mangauil says.

 


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