Thursday, April 25, 2024

dimanche, 03 avril 2016 - Université Frère Mentouri - Constantine 1

L’édition 2016 du Salon de l’étudiant algérien, organisé par The Graduate Fair, se tiendra du 14 au 19 avril dans trois villes du pays.

L’événement exposera ses stands d’abord dans la ville de Constantine le 14 avril au niveau de l’hôtel Novotel. Les 16 et 17 avril, ce sera au tour du Palais des expositions Moufdi Zakaria (Alger) d’accueillir le salon. Et enfin, après l’Est et le Centre, ce sera au tour de l’Ouest du pays de voir s’installer les différents exposants du salon.

La manifestation se déploiera donc à Oran, à l’hôtel Four points, le 19 avril. Pour ce qui est des nouveautés de cette édition, en plus de son déroulement au niveau de trois villes différentes - une première -, le salon s’est engagé dans un partenariat avec la Mission commerciale tunisienne à Alger. Cette dernière, selon Amel Seddiki, l’organisatrice de l’événement, organise en marge du salon les Rencontres professionnelles tuniso-algériennes B2B et B2C dans le secteur de l’enseignement supérieur et la formation technique et professionnelle.

«Une quinzaine d’universités, d’écoles et d’instituts supérieurs et institutions de formation tunisiens privés, parmi les plus importants du pays, seront à Alger (dimanche 17 avril) et à Oran (mardi 19 avril) pour des contacts avec les institutions homologues et les étudiants algériens. Plusieurs cursus pour l’enseignement et la formation seront proposés à l’occasion, notamment  l’aéronautique (aérospatiale, pilotage…), l’engineering, l’informatique et télécoms, les finances, la médecine, le tourisme, le management, le marketing, etc.», explique Amel Seddiki.

Pour ce qui est des objectifs du Salon de l’étudiant algérien, cette dernière révèle l’ambition de rapprocher les apprenants algériens des différents organismes de formation nationaux et étrangers. «Nous avons l’ambition de rapprocher les apprenants algériens des différents organismes de formation algériens et étrangers afin que l’étudiant puisse éventuellement découvrir des filières qu’il ne connaissait pas auparavant et qui peuvent très bien le fasciner. Il pourra découvrir de nouveaux horizons, de nouveau pays d’accueil pour des formations à l’étranger», explique-t-elle en énumérant les différentes possibilités, à l’instar de l’apprentissage d’une langue étrangère, l’épanouissement personnel grâce à la maturité acquise, ainsi que la valorisation du curriculum vitae (CV) grâce au diplôme obtenu.

«Le premier objectif des études à l’étranger est de mettre en valeur sa formation, un parcours international a plus de valeur pour le recruteur. Cela montre que l’étudiant est autonome et ouvert d’esprit», développe encore l’organisatrice de l’événement dont le supplément El Watan étudiant est partenaire.

S’agissant de l’essence-même de cet événement, Amel Seddiki fait valoir que le Salon de l’étudiant algérien «se veut l’un des rares, sinon l’unique, espace de rencontre entre, d’une part, les formateurs (algériens et étrangers), toutes spécialités et catégories confondues, et, d’autre part, les apprenants de tous les niveaux et profils.»

Pour l’organisatrice, le départ, chaque année, de plus de 25 000 Algériens à l’étranger pour faire des études révèle un réel besoin et une problématique lancinante en matière de formation, qu’elle soit de base ou de perfectionnement. Pour pallier cela, le salon «se propose d’établir cette jonction pour permettre aux uns et aux autres de trouver toutes les réponses à leurs questions et ouvrir de nouvelles perspectives à travers les propositions d’un large éventail de formules adaptées à des besoins spécifiques», explique-t-elle.

The Graduate Fair - Salon de l’étudiant algérien - est un lieu de rencontre incontournable entre les acteurs de l’éducation (enseignants, formateurs, chefs d’établissement, conseillers d’orientation…), et les usagers du système éducatif (élèves, étudiants, parents, salariés ou demandeurs d’emploi en recherche de formations complémentaires…).

 

Fatma Zohra Foudil
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La manifestation «Constantine, capitale de la culture arabe 2015» arrive à sa fin et la semaine culturelle de Constantine prévue du 2 au 6 avril en cours sera la dernière semaine du genre organisée dans ce cadre. Aussi, cette manifestation de 6 jours, visiblement conçue par les organisateurs comme la cerise sur le gâteau, devait être inaugurée hier à 17h par le ministre de la Culture M. Azzedine Mihoubi à la salle Ahmed Bey, en présence des autorités locales et d'un public nombreux constitué de familles constantinoises.

Si l'on se réfère au programme établi par les organisateurs, la cérémonie d'ouverture de la semaine culturelle constantinoise aura été marquée par un spectacle haut en couleur exécuté par des troupes participantes à partir de la galerie menant à la grande salle de spectacles. Ces troupes ont simulé un mariage constantinois accompagné de la ghaita, la zorna, le t'bal et l'inévitable orchestre de musique malouf, pour accompagner l'entrée à la salle des membres de la délégation officielle, des invités et des familles constantinoises. Ceci fait, suivra l'inauguration des différentes expositions organisées dans les galeries de la salle autour de l'artisanat traditionnel constantinois, expositions auxquelles participent plus d'une dizaine d'associations et de maisons constantinoises connues sur la place. Mais la cérémonie officielle et protocolaire se déroulera dans la grande salle de spectacles et elle sera suivie d'un gala de malouf animé par les maîtres du genre comme Salim Fergani, Abbas Righi, la troupe des Aïssaoua et par les artistes constantinois Zineddine Bouabdallah et Zineddine Bouchaala.

Les journées suivantes seront sensiblement du même tonneau pour ce qui est des spectacles de musique. Toutefois, les organisateurs ont tenu à apporter une touche de modernité avec une soirée de jazz qui sera animée par la troupe SMOKE le mardi 5 avril à la grande salle Ahmed Bey. Le programme de la semaine comprend aussi des représentations théâtrales pour adultes et pour enfants qui se dérouleront sur les planches du Théâtre régional de Constantine (TRC), de l'animation et du folklore. A remarquer que les différentes expositions de l'art pictural et des miniatures, de livres sur l'histoire et les élites de Constantine, de photographies sur l'histoire de la ville et ses personnages les plus représentatifs à travers l'histoire, d'un mariage constantinois authentique et de projections de films documentaires, organisées dans les galeries de la grande salle Ahmed Bey, se dérouleront parallèlement chaque jour et pendant toute la durée de la semaine culturelle. Celle-ci sera clôturée dans la soirée du 6 avril par une ultime représentation de la musique malouf qui sera animée par des artistes du genre avec, à leur tête le cheikh Ahmed Aouabdia.

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par A. Mallem

La fermeture à la circulation du pont de Sidi-Rached pour on ne sait encore combien de temps commence déjà à faire vivre le calvaire aux automobilistes.

Les conséquences de la fermeture de cet important axe de communication avec le centre de la ville se sont fait surtout ressentir au niveau des hauteurs de la ville où les automobilistes commencent à éprouver des difficultés dans leurs déplacements. En effet, nous avons pu le constater hier matin, et c'est encore le week-end, quand la circulation est devenue plus animée que les habitants des hauts quartiers de la cité Emir Abdelkader et Bab El-Kantara ont pu mesurer les conséquences de cette nouvelle restriction apportée à leurs déplacements : beaucoup de gens, surtout les plus âgés, ont dû attendre longtemps dans les stations habituelles en espérant qu'un taxi consente à les transporter au centre-ville. Mais tous les taxieurs fuient ce trajet à cause du plan de circulation, tout aussi contraignant, mis en place par la commune. Le plan oblige les automobilistes voulant se diriger vers la Brêche à emprunter la rue Tatache Belkacem (ex rue Thiers), plutôt une ruelle étroite, défoncée par endroits et mal colmatée par les services de la commune, toujours encombrée et fait perdre beaucoup de temps.

Hier matin, journée chômée pour l'administration et les entreprises publiques, la circulation n'était pas aussi dense que durant les journées œuvrées, mais elle était assez fournie par les vagues de véhicules qui prenaient le chemin du centre-ville, dissuadant tout taxieur qui voudrait s'y aventurer. C'est pourquoi nous avons remarqué des femmes d'un certain âge, des hommes aussi et des jeunes qui ont abandonné la recherche d'un taxi et entrepris de faire le chemin à pied. «Moi je suis descendu de la cité Emir Abdelkader à pieds car je n'ai pas trouvé de taxi qui va à la Brêche », nous a expliqué un citoyen rencontré à l'entrée de la rue Ben-M'hidi. Nous avons croisé pas mal de piétons qui remontaient cette rue où la circulation se fait à sens unique, de la Brêche vers la gare de chemin de fer et le quartier de Bab El-Kantara, tout en pestant car la pluie tombait et le temps était froid. «Et dire que nous allons endurer ce calvaire jusqu'à la fin de l'été. Les mêmes difficultés ont été signalées ailleurs pour les résidents de Sidi-Mabrouk, de Daksi, du 4ème Kilomètre et de Boumerzoug, contraints aussi de se plier à un véritable parcours du combattant s'ils veulent arriver au centre-ville. «Malheureusement, cela ne fait que commencer !», a fait remarquer un habitant de la cité Daksi alors qu'il venait d'arriver devant le palais de la culture Al Khalifa.

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Technological change is accelerating today at an unprecedented speed and could create a world we can barely begin to imagine.

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In March 2001, futurist Ray Kurzweil published an essay arguing that humans found it hard to comprehend their own future. It was clear from history, he argued, that technological change is exponential — even though most of us are unable to see it — and that in a few decades, the world would be unrecognizably different. “We won’t experience 100 years of progress in the 21st century — it will be more like 20,000 years of progress (at today’s rate),” he wrote, in ‘The Law of Accelerating Returns’.

Fifteen years on, Kurzweil is a director of engineering at Google and his essay has acquired a cult following among futurists. Some of its predictions are outlandish or over-hyped — but technology experts say that its basic tenets often hold. The evidence, they say, lies in the exponential advances in a suite of enabling technologies ranging from computing power to data storage, to the scale and performance of the Internet (see ‘Onwards and upwards’). These advances are creating tipping points — moments at which technologies such as robotics, artificial intelligence (AI), biology, nanotechnology and 3D printing cross a threshold and trigger sudden and significant change. “We live in a mind-blowingly different world than our grandparents,” says Fei-Fei Li, head of the Stanford Artificial Intelligence Laboratory in California, and this will be all the more true for our children and grandchildren (see 'Future focus').

Kurzweil and others have argued that people find this pace of change almost impossible to grasp, because it is human nature to perceive rates of progress as linear, not exponential — much as when one zooms in on a small part of a circle and it appears as an almost straight line. People tend to focus on the past few years, but pulling back reveals a much more dramatic change. Many things that society now takes for granted would have seemed like futuristic nonsense just a few decades ago. We can search across billions of pages, images and videos on the web; mobile phones have become ubiquitous; billions of connected smart sensors monitor in real time everything from the state of the planet to our heartbeats, sleep and steps; and drones and satellites the size of shoeboxes roam the skies.

Onwards and upwards

Exponential advances in enabling technologies have reached the point at which they could trigger disruptive change in sectors from artificial intelligence to robotics to medicine. As a result, many experts argue that tomorrow’s world will be unrecognizable from that of today.

ENABLERS

1. Computing power The exponential growth in supercomputing performance is one indicator of dizzying advances across computing. Supercomputers in 2020 are likely to be 30 times more powerful than those of today.

2. Really big data The amount of data worldwide is predicted to reach a whopping 44 zettabytes (1021 bytes) by 2020 — nearly as many digital bits as there are stars in the Universe. This gives more raw material for artificial-intelligence machines to learn from.

3. Communication speed Meanwhile, the performance and scale of the Internet improves. Broadband and WiFi speeds are increasing, and Internet data traffic will exceed a zettabyte this year and double by 2019.

DRIVERS

4. Talking devices By 2020, the number of connected sensors and devices in buildings, cities and farms — the ‘Internet of Things’ — will be twice that of the human population.

5. Biology booms Conceptual and technological advances are driving progress in biology. DNA sequencing costs have fallen at an exponential rate and the number of sequences has soared since 1985. Similar advances are happening in neuroscience and biological nanotechnology.

6. Like it, print it 3D printing is becoming cheaper and quicker — one factor that could disrupt manufacturing and allow once-pricey robotics to be mass produced.

7. Rise of robots Purchases of robots are set to rocket as their capabilities increase and costs fall, a trend driven by massive investments in artificial intelligence and robotics by the military and by computing giants such as Google.

All these factors are now converging to push seemingly futuristic technologies out of the lab, and set them on the same path taken by personal computing and consumer electronics.

Illustrations by Greygouar; Design by Wes Fernandes/Nature; Sources: 1. top500; 2. IDC Digital Universe Study, 2012; 3. Cisco Visual Network Index (VNI), 2015; 4. Cisco VNI Global IP Traffic Forecast, 2014–2019; 5. NCBI; 6. EPSRC; Direct Manufacturing Research Center; Roland Berger; 7. International federation of robotics, Japan Robot Association; Japan Ministry of Economy, Trade & Industry; euRobotics; BCG

If the pace of change is exponentially speeding up, all those advances could begin to look trivial within a few years. Take ‘deep learning’, a form of artificial intelligence that uses powerful microprocessor chips and algorithms to simulate neural networks that train and learn through experience, using massive data sets. Last month, the Google-owned AI company DeepMind used deep learning to enable a computer to beat for the first time a human professional at the game of Go, long considered one of the grand challenges of AI. Researchers told Nature that they foresee a future just 20 years from now — or even sooner — in which robots with AI are as common as cars or phones and are integrated into families, offices and factories. The “disruptive exponentials” of technological change will create “a world where everybody can have a robot and robots are pervasively integrated in the fabric of life”, says Daniela Rus, head of the Computer Science and Artificial Intelligence Laboratory at the Massachusetts Institute of Technology in Cambridge.

After decades in development, applications of AI are moving into the real world, says Li, with the arrival of self-driving cars, virtual reality and more. Progress in AI and robotics is likely to accelerate rapidly as deep-pocketed companies such as Google, Apple, Facebook and Microsoft pour billions of dollars into these fields. Gill Pratt, former head of the US Defense Advanced Research Projects Agency’s Robotics Challenge, asked last year whether robotics is about to undergo a ‘Cambrian explosion’ — a period of rapid machine diversification (G. A. Pratt J. Econ. Perspect. 29, 51–60; 2015). Although a single robot cannot yet match the learning ability of a toddler, Pratt pointed out that robots have one huge advantage: humans can communicate with each other at only 10 bits per second — whereas robots can communicate through the Internet at speeds 100 million times faster. This could, he said, result in multitides of robots building on each other’s learning experiences at lightning speed. Pratt was hired last September to head the Toyota Research Institute, a new US$1-billion AI and robotics research venture headquartered in Palo Alto, California.

Many researchers say that it is important to prepare for this new world. “We need to become much more responsible in terms of designing and operating these robots as they become more powerful,” says Li. In January 2015, a group including Elon Musk, Bill Gates and Stephen Hawking penned an open letter calling for extensive research to maximize the benefits of AI and avoid its potential pitfalls. The letter has now been signed by more than 8,000 people.

Yet predicting the future can be a fool’s game — and not everyone is convinced that technological change will hit humanity quite so fast. Ken Goldberg, an engineer at the University of California, Berkeley, questions the idea that technologies advance exponentially across the board, or that those that do will continue indefinitely. “The danger of overly optimistic exuberance is that it could set unrealistic expectations and trigger the next AI winter,” he says, alluding to periods in AI’s history where hype gave way to disappointment followed by steep cuts in funding. Goldberg says that recent warnings that AI and robots risk surpassing human intelligence are “greatly exaggerated”.

And Stuart Russell, a computer scientist at the University of California, Berkeley, questions the notion that exponential advances in technology necessarily lead to transformative leaps. “If we had computers a trillion times faster we wouldn’t have human-level AI; half in jest, one might say we’d just get wrong answers a trillion times sooner,” he says. “What matters are real conceptual and algorithmic breakthroughs, which are very hard to predict.”

Russell did sign the Hawking letter — and says it is important not to ignore the ways that technologies could be taken in potentially harmful directions with profound results. “We made this mistake with fossil-fuel technologies 100 years ago — now it’s probably too late.”

Future focus

Expert predictions

“A possible ‘Cambrian explosion’ in robotics with a rapid period of incredible machine diversification. Robots communicating with each other at speeds that are 100 million times faster than humans might allow swarms of robots to build on each other’s learning experiences at lightning speed.” Gill Pratt, Head of the Toyota Research Institute, Palo Alto, California

“A full brain-activity map and connectome by 2020 and by 2040 it will be routine to read and write data to billions of neurons. By 2040,1 billion people will have their whole genome sequenced and get constant updates of their immunomes and microbiomes.” George Church, Geneticist at Harvard Medical School, Cambridge, Massachusetts

“The promise for the future is a world where robots are as common as cars and phones, a world where everybody can have a robot and robots are pervasively integrated in the fabric of life.” Daniela Rus, Head of the Computer Science and Artificial Intelligence Laboratory at the Massachusetts Institute of Technology, Cambridge

“In the next couple of generations, we will seethe first phase of true personal, assistive robots in the home and other human environments. There will be a huge opportunity to better the quality of life, for example by freeing up people from work.” Fei-Fei Li, Head of the Stanford Artificial Intelligence Laboratory, California

“Tomorrow’s scientists will have armies of virtual graduate students, doing lab work, statistical analysis, literature search and even paper-writing for them.” Pedro Domingos, Machine-learning researcher, University of Washington, Seattle

Illustrations by Greygouar

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Dimanche 3 Avril (1/2 journée)

- Présentation de la semaine

- Introduction : Rappels de biologie moléculaire

Lundi 4 Avril (journée complète)

- Introduction aux bases de données en biologie

- TP1 : Application à l’étude de la famille des beta-globines

Mardi 5 Avril (journée complète)

- Alignement de séquences : Méthodes graphique et des scores

- TP2: Comparaison des séquences de la famille multigénique de l’hémoglobine

Mercredi 6 Avril (journée complète)

- Protéines : Dynamique et fonctions, base PDB - Notion de “data-mining”

- TP3 : Premier pas avec PDB

Jeudi 7 Avril (journée complète)

- Introduction à la modélisation en biologie

- TP4: Prédiction du comportement d'un système complexe

Dimanche 10 Avril (journée complète)

- Annotation des génomes

- Génomique et méta-génomique.

Lundi 11 Avril (1/2 journée)

- Synthèse et évaluation des acquits

 ORGANISATEURS :

Université Joseph Fourier –Grenoble, France

- Pr. Thierry Gautier

Université des frères MENTOURI Constantine –Algérie

- Pr. Nadia YKHLEF : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

- Pr. Mohamed Abdelhafid HAMIDECHI : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

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