Thursday, April 18, 2024

mercredi, 16 novembre 2016 - Université Frère Mentouri - Constantine 1
A Mallem


En marge des journées portes ouvertes sur l'ordre des architectes organisées, hier, à l'université 3 Rabah Bitat de Ali Mendjeli, une convention de coopération portant sur l'assistance et l'encadrement des stages pratiques des étudiants en architecture a été signée, hier, entre le conseil local de l'ordre des architectes de la wilaya de Constantine (Cloa) et l'institut d'architecture de cette université. 

Cet accord permettra aux étudiants de cette discipline de se frotter directement à la réalité du terrain grâce à l'encadrement de leurs stages pratiques par des architectes en exercice, membres du Cloa. Après la signature de la convention qui s'est déroulée dans la salle des conférences de l'institut en présence des autorités locales, des responsables du secteur de l'architecture et de l'urbanisme, du logement et de nombreux étudiants de la discipline, Mme Djeradi Lamia, présidente du Cloa, a expliqué que « cette convention définit les relations de partenariat entre le Cloa et l'Université 3 dont les étudiants stagiaires vont bénéficier de l'expérience de plus de 500 architectes de la wilaya inscrits au conseil de l'ordre. Ces étudiants en architecture qui étaient confrontés aux problèmes des stages pratiques qui se déroulaient d'une façon anarchique, vont bénéficier désormais, en vertu de cette convention, d'une prise en charge dans un cadre organisé et efficient. D'autre part, les architectes en exercice vont avoir la possibilité de dispenser, à l'université, des cours aux étudiants de la discipline tout en leur parlant de leur expérience. C'est là le principe général sur lequel repose cette convention ». Les portes ouvertes qui se dérouleront sur deux jours, les 15 et 16 novembre en cours ont été organisées par le Cloa de la wilaya de Constantine à l'intention des étudiants de l'institut d'architecture et de l'urbanisme, sous le slogan « création et contribution au développement de l'architecture ». Y ont participé les autorités locales et les directeurs de l'exécutif concernés par le secteur, tels que l'OPGI, Urbanisme, des architectes agrées de Constantine et de Mila et des pionniers de cette discipline, ainsi que des centaines d'étudiants de l'institut. Sur les motivations qui ont été à la base de l'organisation d'une telle manifestation, Mme Djeradi Lamia, présidente du Cloa nous a déclaré que « c'est en perspective d'une collaboration durable au profit des futurs acteurs du cadre bâti, les architectes de demain, que le département d'architecture de l'Université R. Bitat et le Cloa ont convenu de conjuguer leurs compétences et expériences pour le développement d'un métier appelé à prendre la mesure des changements continuels du monde de l'architecture ». 

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mercredi, 16 novembre 2016 11:49

AVANTAGES ACCORDÉS PAR L’ANGEM

Thème d’une journée d’étude

Les aides et les avantages accordés par l’ANGEM, agence nationale de gestion du micro-crédit, aux jeunes en quête d’une insertion professionnelle ont été, hier, à l’ordre du jour d’une journée d’étude. 

Cette rencontre, que le CFPA Daksi a abritée, s’inscrit, selon le conférencier, dans le cadre du programme annuel établi par la direction de l’agence. Du dépôt de la demande à la mise en œuvre du projet, l’ANGEM  accompagne les jeunes et les moins jeunes afin qu’ils puissent aller au bout de leur formation initiale, voire de leur rêve, a-t-on précisé. Et d’expliquer, toujours dans cet ordre d’idées, que la garantie et la bonification du crédit bancaire sont tributaires de l’attestation d’éligibilité qui sera accordée par un coordinateur. Cette attestation est synonyme, affirma-t-il, de financement du projet présenté par le jeune demandeur. Sur les conditions d’octroi de la fameuse attestation d’éligibilité, le représentant de l’ANGEM est revenu avec beaucoup de détails. Etre âgé de 18 ans et plus, être sans revenu ou disposer de petits revenus jugés instables ou irréguliers, selon ses dires, posséder un savoir-faire en relation avec l’activité projetée, ne pas bénéficier d’une autre aide à la création d’activité, mobiliser un apport personnel initial de 3 ou 5 % du coût global du projet, s’engager à rembourser en fonction d’un échéancier le crédit à la banque ou le prêt sans intérêt à l’ANGEM… autant de conditions qu’il faudrait réunir pour postuler au micro-crédit. Il est à noter, par ailleurs, que la femme au foyer ayant bénéficié d’une formation qualifiante dans la couture ou la pâtisserie et les gâteaux traditionnels, entre autres, a le droit, elle aussi, de postuler pour le micro-crédit, a tenu à préciser le conférencier. Le débat ouvert aux stagiaires en fin de cycle de formation lui a permis de lever beaucoup d’ambiguïtés sur la démarche à entreprendre pour accéder facilement aux aides de l’agence.

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mercredi, 16 novembre 2016 11:25

UFMC : Première évaluation du projet Coffee

Ces journées intermédiaires ont permis aux partenaires de partager leurs expériences et compétences, ainsi que les résultats et les problèmes rencontrés pendant la première année du projet.

Dans le cadre du programme Erasmus, l’université Frères Mentouri à Constantine (UFMC) a abrité, les 8 et 9 novembre, les 1res Journées intermédiaires du projet Coffee (Construction d’une offre de formation à finalité d’employabilité élevée).

Tous les partenaires de ce projet, à savoir le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, 9 universités algériennes, 7 universités européennes, la Chambre algérienne de commerce et d’industrie (CACI) et l’Association pour le développement et la promotion de l’entreprise (ADPE) et le centre de compétence, Forem-environnement, se sont réunis sur le campus des 500 places pédagogiques pour dresser un bilan de mi-parcours et élaborer le plan d’action 2017. «Ces journées intermédiaires permettront aussi aux partenaires de partager leurs expériences et compétences ainsi que les résultats et les problèmes rencontrés pendant la première année du projet», selon le rectorat.

Relevant du programme d’échange d’étudiants et d’enseignants entre les universités et les grandes écoles européennes, le projet Coffee, d’une durée de trois ans est coordonné par l’université de Montpellier (France).

Lancé en octobre 2015 et devant prendre fin en 2018, soutenu par la commission européenne avec un budget de plus de 900 000 euros, ledit projet se propose de répondre aux besoins du monde socioéconomique algérien en cadres moyens rapidement opérationnels par le biais de la création de formations professionnalisantes de niveau bac+3. A l’issue de cette rencontre, une maquette pour la construction des licences professionnalisantes, dix-huit en tout, aux fins de renforcer la relation université-entreprise, sera élaborée. Des licences professionnelles en mécanique, sciences topographiques et énergies renouvelables ont été retenues par l’université Constantine1.
Dans le système universitaire algérien, où, seulement 5% des formations se disent de cet acabit, Coffee se veut un baromètre pour mesurer la réalité des statistiques. «C’est aussi une passerelle qui permet aux universitaires et aux professionnels de se rencontrer pour construire ensemble des licences professionnalisantes», ont soutenu des partenaires du projet.

Mais il faudra  au préalable dresser l’état des lieux concernant la réalité de l’emploi et la dimension qualitative des diplômes pour pouvoir se projeter, pieds joints dans cette nouvelle formule. Selon les statistiques de l’Agence nationale pour l’emploi (ANEM) : «…jusqu’au 30 septembre dernier, sur les  919 000 demandeurs d’emploi, 818 000 sont des jeunes diplômés.» Ceux qui auront la chance de décrocher un contrat, cela se fera dans le cadre exclusif du dispositif «Emploi jeunes». Une précarité doublée d’une utilisation à «mauvais escient», puisque la recrue n’est jamais placée dans son domaine de prédilection. Cette inadéquation entre la formation universitaire et les besoins du marché de l’emploi a fait dire aux experts que «Les connaissances théoriques peuvent être bonnes, mais ces jeunes, qui sont surdiplômés (bac +5 et bac +8), ne sont pas pour autant opérationnels. Pour un chef d’entreprise, il faut compter entre une et trois années avant de rentabiliser une embauche».

PRÉCISION DES CIBLES ET DES DONNÉES

Lors de la présentation, le 7 février 2016, du projet Coffee, la poignée d’opérateurs économiques présents dans la salle de conférences avait visiblement ses exigences professionnelles. Du débat amorcé, il ressort que le secteur de l’entreprise fait face à des écueils, particulièrement ceux liés à la non-maîtrise des langues française et anglaise, l’inadaptation de certaines filières à la réalité. Selon toujours les chiffres de l’ANEM, sur «les 100 000 offres déclinées, 65% sont exprimées par des jeunes qui refusent de travailler dans le secteur privé». C’est dire que le processus s’annonce de longue haleine.

Pour le cursus de 2015, près de trois mille étudiants de l’université Mentouri ont bénéficié de stages de formation. De l’avis général, cela demeure insuffisant quant on apprend que «seulement 5 % des étudiants en master dans les universités algériennes sont inscrits en doctorat, et 85 % des diplômés en master ne sont pas formés à l’emploi». Le projet Coffee donne le coup d’envoi de «l’enseignement utile». C’est donc aux universités algériennes de s’emparer de ce programme et à elles aussi d’imaginer, avec leurs partenaires du monde socioéconomique, d’autres formations à venir. Car l’idée est aussi d’impulser un changement profond, en suscitant chez les industriels et les universitaires la vocation de l’étroite collaboration.

Une année après qu’il soit actionné, le projet Coffee fait le point. Les échanges des points de vue entre les différents partenaires se sont effectués à travers un programme et des tables rondes. Sur un plan académique, il est question d’un retour d’expertises et choix des licences professionnalisantes de la première vague, dégager la méthodologie de la seconde vague, partager des expériences de dissémination entre les partenaires, l’établissement du plan d’action 2017 et enfin la répartition des rôles. «C’est une évaluation de mi-chemin. Les différents partenaires ont discuté de la démarche. C’est une présentation  sous forme de compétences et de métiers dont la formulation et la mise en place doivent être précises et les données ciblées au préalable», conclura le recteur de l’UFMC, le Pr Abdelhamid Djekhoun.

Naïma Djekhar
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mercredi, 16 novembre 2016 09:47

Appel à communication - LOGISTIQUA 2017

La 10ème édition du Colloque International de la Logistique (LOGISTIQUA'10) sera organisée les 27 et 28 avril 2017 à l'Ecole Nationale Supérieure d'Informatique et d'Analyse des Systèmes (ENSIAS), Rabat.

LOGISTIQUA est une opportunité exceptionnelle d'échange par excellence entre chercheurs, enseignants et industriels afin d'élargir leur centres d'intérêt dans le domaine de la gestion de la chaîne logistique tout en s'ouvrant sur les disciplines connexes, telles que la qualité, le génie industriel, les systèmes d'information....


Cette 10ème édition se démarque par un programme d'indexation du label « IEEE » afin de mieux valoriser les contributions scientifiques et leurs applicabilités dans le domaine industriel. D'un autre côté, Logistiqua'10 récompensera la meilleure contribution doctorante pour la qualité de ses travaux de recherche et leurs applications originales, par deux prix : un pour les sciences d'ingénierie et un autre pour les sciences de gestion, axés  autour du génie industriel et de la logistique.


L'édition 2017 compte sur la participation de 250 chercheurs et décideurs en provenance de plus de 10 pays du monde entier, avec 120 papiers.

 

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