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Published in Chimie janvier 19 2015

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Published in Chimie septembre 25 2013


Nous sommes très confiants quant à la progression du Programme d’appui à la politique sectorielle de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique (PAPS-ESRS) et aux réalisations déjà menées depuis son lancement.

Nous respectons le planning qui nous a été assigné et nous nous félicitons de l’implication des différents partenaires, algériens et européens, dans le cadre de ces séminaires et plus largement dans le cadre du programme.»  C’est ce qu’a déclaré, hier, le professeur Fatiha Youcef Ettoumi, directrice du PAPS-ESRS en marge du séminaire annuel de bilan au niveau de la faculté de Sidi Achour (Annaba), où des experts nationaux et internationaux ont été invités pour partager l’état d’avancement du Programme d’appui à l’enseignement supérieur et la recherche scientifique en Algérie. 

Et d’ajouter : «Actuellement nous sommes en phase d’opérationnalisation concrète des activités et l’appropriation des résultats obtenus par chacun des établissements pilote dont le système d’information intégrée de gestion. A cela il faut ajouter l’identification, les bassins d’emploi, les niches pour les futurs diplômés.» Cet événement, qui a réuni près de 200 experts nationaux et internationaux ainsi que des membres de la délégation de l’Union européenne en Algérie, se veut être un lieu d’échange et de débat des premières réalisations, menées au sein des établissements supérieurs du territoire national. D’un budget global de 38,6 millions d’euros dont 21,5 millions de contribution européenne et 17,1 millions de participation algérienne, le programme rentre dans le cadre, selon les organisateurs, de la coopération entre l’Union européenne et l’Algérie.

Il vise à soutenir la modernisation du secteur et à accompagner les réformes de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique.
Le programme s’est fixé comme objectifs de permettre le transfert de savoir et de savoir-faire nécessaires au renforcement des ressources humaines, de contribuer à l’amélioration qualitative du système d’enseignement supérieur et de soutenir la création de nouvelles filières professionnalisantes.

Considérés comme les principaux acteurs du secteur, les enseignants, experts, chercheurs et gestionnaires, présents à cette rencontre, ont profité de l’opportunité du séminaire pour partager leurs expériences et leurs réalisations durant les 12 derniers mois. Selon toujours les organisateurs, ils sont notamment revenus sur les objectifs principaux qui leur ont été confiés dans le cadre de cet appui à la réforme, à savoir l’instauration du nouveau régime LMD (licence/mastère/doctorat), le développement des mécanismes d’insertion des jeunes dans le monde de l’entreprise, le renforcement des capacités des établissements universitaires et l’amélioration de la qualité de l’enseignement. «Il s’agit d’un enjeu majeur pour favoriser la réussite et l’avenir professionnel des générations montantes en Algérie», précisent les organisateurs de cette importante rencontre.

Gaidi Mohamed Faouzi

Un contingent de 450 enfants malentendants, scolarisés dans les centres spécialisés de la wilaya, qui sont rattachés au secteur de la solidarité nationale ou dans les établissements du secteur de l'éducation nationale, vont être pris en charge par la DAS qui va leur fournir des prothèses auditives équipées d'amplificateurs de son. «Cette opération que nous avons lancée la semaine dernière est exécutée actuellement par les APC auxquelles nous avons fourni les fonds nécessaires. Quant au recensement des élèves qui nous a permis de déterminer le nombre exact de ceux dont l'état nécessite l'emploi de tels appareils, il a été mené avec le secteur de l'éducation», nous a expliqué hier M. Abderrahmane Tigha, directeur de l'action sociale de la wilaya de Constantine.

Profitant de l'opportunité, M. Tigha nous a révélé une autre action de solidarité qui vient d'être initiée par sa direction dans le domaine du transport scolaire en milieu rural. «Pour ce qui est du transport scolaire en faveur des élèves des zones rurales, nous avons proposé à notre ministère de tutelle de doter la commune de Constantine de 10 bus de transport scolaire qui seront opérationnels, si le projet est accepté, au mois de décembre prochain». «En tout cas, précise le DAS de Constantine, la promesse nous a été faite par la tutelle». Et d'ajouter que l'objectif visé par cette opération est de lutter contre l'exclusion des filles du bénéfice de l'éducation scolaire. «Il faut dire, hélas ! a affirmé M. Tigha, que dans nos campagnes la catégorie d'élèves la plus visée par l'exclusion sont bien entendu les filles. Et quand bien même la fille rurale est studieuse, qu'elle réussit dans tous ses examens, elle reste soumise aux aléas d'ordre matériel et social car il suffit d'un petit problème, comme celui de l'absence de transport scolaire, pour que ses parents décident de la retirer de l'école».

Il expliquera ensuite que la DAS de Constantine a élaboré une étude sociale pour déterminer les besoins de la wilaya dans ce genre d'équipement, à savoir le transport scolaire. Ensuite, a-t-il signalé, le wali a donné des instructions aux présidents des APC afin de renforcer ce secteur, et ce en les invitant à signer des conventions avec le secteur privé pour la prise en charge du transport scolaire des enfants habitant dans les zones rurales et ce en s'appuyant sur les budgets supplémentaires qui leur sont souvent alloués par la wilaya.

«Les besoins que nous avons dénombrés dans ce domaine sont de l'ordre de 27 bus. Et toute dotation qui viendra d'un secteur ou de l'autre est la bienvenue», a conclu le directeur de l'action sociale.


La chambre des arts et des métiers de Constantine a lancé un cycle de formation en ferronnerie d'art, qui a démarré hier et va durer jusqu'au 18 novembre, au profit de 30 jeunes artisans, originaires d'une dizaine de wilayas de l'est du pays. C'est ce que nous a annoncé hier la responsable du service «formation» à ladite chambre. Les participants à ce stage, qui viennent notamment des wilayas de Mila, El Taref, Skikda, Annaba, Sétif, Oum El Bouaghi et Jijel, auront à suivre un enseignement théorique concernant le volet conception de cet artisanat d'art, mais également une formation pratique sur le tas. Ainsi et selon notre interlocutrice, en vertu d'une convention signée avec la direction de la formation professionnelle de la wilaya de Constantine, les cours de conception seront assurés par des enseignants du centre de formation CFPA «Palma» et au niveau de ce centre, qui est situé à la zone industrielle du même nom, à proximité de la gare routière de la cité Boussouf. Tandis que le volet pratique et la formation sur le tas se fera auprès de deux maîtres artisans, dont les ateliers sont situés au quartier de Sidi Mabrouk. Et d'indiquer que ce cycle de formation initié pour la première fois dans la wilaya donnera droit à terme à des attestations de qualification délivrées par la chambre, qui ouvriront droit à l'obtention de la carte d'artisan.

Toujours selon notre vis-à-vis, cette carte qui fait office de registre de commerce donne également droit à son titulaire la possibilité d'ouvrir un atelier pour travailler à son propre compte, ou de se faire recruter dans un atelier de ferronnerie d'art. La même source indique, encore, que la chambre des arts et métiers de Constantine a déjà organisé une formation de 32 candidates dans la fameuse et célèbre «Djouzia», confiserie typique du terroir et spécialité constantinoise, s'il en est, dont la durée a été d'une semaine et qui a vu des candidates du centre du pays (Tipaza) y participer et passer le stage avec succès. Et de signaler, enfin, que la chambre est actuellement en train de préparer un autre cycle de formation programmé pour le mois de décembre prochain, dont la durée sera de près de 30 jours, et qui concernera un autre artisanat d'art et spécialité du terroir, à savoir la dinanderie ou travail sur cuivre.


La chambre de Commerce et d'Industrie «Rhumel» (C.CI.R) de Constantine, a reçu, hier, une délégation d'hommes d'affaires allemands, dont la visite à la ‘ville des ponts' constitue une première halte d'une tournée qu'ils effectuent, dans le pays, et qui va les mener, également, à Oran, Annaba et Alger.

Selon la représentante de la chambre algéro-allemande de Commerce et d'Industrie, Sabrina Abdelatif, il s'agit, surtout, d'entreprises spécialisées dans les équipements de Travaux publics, qui sont venues pour présenter leurs matériels, mais aussi pour prospecter toutes les possibilités d'accord de partenariat, dans ce domaine. Domaine qui a trait à la réalisation de tunnels et de pose de conduites, sans tranchées, concernant les gros diamètres (jusqu'à 19 m), toutes les géologies destinées aux domaines d'application, chemin de fer, route et autoroute, métro, énergie hydraulique, etc. Les micro-tunnels ne sont pas, non plus, exclus, à l'instar de l'installation, dans les communes, de réseaux d'alimentation d'eau potable, de réseaux d'assainissement et d'évacuation des eaux usées.

A l'atelier, organisé pour l'occasion, au siège de la chambre de Commerce et d'Industrie «Rhumel», l'assistance était nombreuse et on y comptait des représentants de la Seaco, de l'Office national d'assainissement (ONA), de la direction des TP, de l'Hydraulique et de la Société de distribution d'électricité et de gaz de l'Est (SDE.) Selon le membre du bureau de la chambre C.C.I.R chargé de l'Urbanisme et de l'Aménagement du territoire, Riad Lakrem, «cette visite représente une bonne opportunité pour réfléchir à ces possibilités et technologies de pointe qui creusent des tunnels, sans tranchées, qui n'impactent pas la circulation (automobile et piétonne), ni sur l'économie ni sur l'environnement».


«Une académie des sciences et des technologies sera bientôt créée en Algérie» a indiqué, hier, le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Med Mebarki, sur les ondes de la Chaîne 3.

Au sujet de l'approfondissement de la réforme en cours de l'enseignement supérieur en Algérie, le premier responsable du secteur a déclaré qu'elle «répondait à de nombreux objectifs, à commencer par la lutte contre les déperditions constatées dans ce segment stratégique qu'est la formation supérieure, l'ouverture sur l'environnement socio-économique par la définition d'un certain nombre de formations et, surtout, l'alignement de l'université algérienne sur les normes internationales». L'invité de la rédaction de la Chaîne 3 de la radio nationale a également indiqué que cette réforme «sera appliquée, progressivement, tout au long de l'année universitaire en cours et qu'elle vise, par ailleurs, à adapter les modules dispensés dans les établissements d'enseignement supérieur aux besoins socio-économiques du pays». Concernant la cohabitation des deux systèmes (classique et LMD), Mohamed Mebarki a affirmé que «des mesures sont en train d'être prises pour écourter cette transition», ajoutant que «cela sera fait avant la fin de l'année universitaire en cours». Explicitant sa pensée, Med Mebarki a expliqué que «l'heure est venue pour que l'université se mette au service du développement du pays, en initiant des profils de formation qui soient au diapason des besoins en cours d'identification du marché de l'emploi» a-t-il souligné, ajoutant que «l'université algérienne n'a pas pour vocation de recruter son produit que sont ses diplômés». A une question sur les raisons à l'origine de la saturation de certaines filières comme les sciences commerciales, le marketing ou encore le management, le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a expliqué «qu'il ne s'agit pas là d'un effet de mode, mais plutôt d'une adaptation à l'environnement socio-économique en ce sens que l'étudiant cherche à faire une formation qui lui assure du travail à court terme» a-t-il affirmé. Estimant que «la démocratisation de l'enseignement supérieur est aujourd'hui une réalité palpable avec l'existence d'au moins un centre universitaire dans toutes les wilayas du pays», M. Med Mebarki a expliqué qu'outre la réception de plusieurs infrastructures dans certaines régions du pays, plus de 62.000 places pédagogiques et plus de 60.000 lits nouveaux ont été créés, au titre de l'année universitaire en cours. Avec actuellement plus de 1,3 million de places pédagogiques physiques au niveau national, l'invité de la Chaîne 3 a reconnu que «certains problèmes persistent, comme la mauvaise répartition des nouvelles infrastructures», citant l'exemple de la wilaya d'Alger qui «se retrouve avec plus de 140.000 étudiants» a-t-il dit.

Concernant une éventuelle révision du prix du ticket de restauration, actuellement fixé symboliquement à 1,20 DA, le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a expliqué que «le souci des autorités publiques était plus dans l'amélioration de la qualité de vie de l'étudiant à l'intérieur des campus, qui influe directement sur la qualité de l'enseignement dispensé» a-t-il souligné. Interrogé sur la création d'universités privées, M. Med Mebarki a répondu que «la loi le permet depuis plus de six ans, et qu'un cahier des charges et des règles ont été mises en place pour cela», ajoutant «qu'à ce jour, un seul soumissionnaire s'est manifesté, il y a moins de trois mois». De la reconnaissance par l'Etat des diplômes délivrés par des écoles privées d'enseignement supérieur, le ministre a répondu que celles-ci «ne sont pas censées exister, ceux qui les gèrent ont des agréments pour faire de la formation professionnelle à l'origine, avant de s'accorder à eux-mêmes l'autorisation de faire de formation supérieure sans être qualifiés pour cela. Les diplômes qu'ils délivrent ne sont, donc, pas reconnus par l'Etat algérien» a-t-il mis en garde. Au sujet du système LMD et de son éventuel abandon, Med Mebarki a indiqué «que, si beaucoup de voix montent au créneau pour réclamer son abandon, toutes les conditions ne sont pas encore réunis pour faire une évaluation globale et objective de ce système», non sans faire remarquer que des universités algériennes ont gagné plus de mille places dans le dernier classement académique des universités mondiales, publié par le Centre pour les universités de niveau mondial (CUNM) attaché à l'École universitaire d'éducation de l'Université Jiao Tong de Shanghai en Chine.


Une première en Algérie

Le couple Louiza et Mustapha Aknouche, ayant réussi un grand défi, espèrent un soutien des autorités de la wilaya pour développer une activité qui s’est avérée très prometteuse.

C’est la belle aventure qui continue pour le couple Louiza et Mustapha Aknouche. L’histoire retiendra qu’ils ont été les premiers à introduire la culture du safran, plus connu par l’or rouge en Algérie, et précisément dans la commune de Benbadis, située à 40 km de Constantine. «Après les premiers débuts en 2010 avec une petite parcelle de terrain pour les essais, nous exploitons aujourd’hui un hectare qui s’est avéré insuffisant pour développer une activité au demeurant fort prometteuse», nous expliquent-ils.

En fait, le couple a entamé juste après le Ramadhan de l’année en cours, soit vers le début du mois d’août, les travaux de désherbage de la parcelle, avant de déterrer et de séparer les bulbes. Ainsi, les petits bulbes iront à la pépinière et les gros pour la plantation. «Nous avons mené le travail durant tout le mois d’août, car les bulbes risqueront de s’étouffer s’ils ne seront pas déterrés en raison du petit espace dans lequel ils sont plantés», diront nos interlocuteurs. «La nécessité d’avoir une superficie plus grande s’impose comme une priorité, surtout, que la safranière que nous avons installée depuis 2010, a donné de meilleurs résultats», nous confie Louiza Aknouche.

Elle nous affirme que lors d’un exposé de leur expérience, présenté récemment au wali de Constantine, ce dernier a montré tout son intérêt pour cette activité, lancée pour la première fois en Algérie dans la commune de Benbadis. «Le wali nous a promis de nous aider pour agrandir notre safranière, et pourquoi pas ne pas développer encore plus cette culture dans la commune de Benbadis, surtout que nous avons embauché pour le moment huit jeunes d’El Haria, et nous comptons faire mieux avec une assiette plus importante», révèle le couple Aknouche.

La plantation des bulbes, qui a commencé en ce début du mois de septembre, promet une bonne récolte au vu des conditions climatiques de la région. Pour les Aknouche, la récolte du safran, prévue entre octobre et décembre, nécessitera également de recourir à une main d’œuvre importante et qualifiée qui sera formée sur terrain.

Quatre ans déjà

Lorsqu’ils ont commencé leur aventure en 2010, Louiza et Mustapha Aknouche ne s’attendaient guère à ce que leur expérience de cultiver le safran dans une exploitation à la commune de Benbadis, connaisse un tel succès. Une expérience originale en Algérie, dont le couple parle avec une grande passion. Les deux safraniers, qui ont acquis une expérience dans ce domaine, après avoir suivi une formation et géré une exploitation à Cuers, dans le département français du Var, ont entamé leurs premiers pas après avoir constaté que le climat et l’altitude à Constantine sont très favorables à ce type de culture.

La rencontre avec Abdelatif Benhamadi, un céréaliculteur qui s’est intéressé à leur projet, leur permettra d’avoir un lot de terrain pour les essais. Commenceront alors les préparatifs de la pépinière et la plantation des premiers bulbes vers la fin du mois d’août 2010. Et les premières fleurs seront récoltées dès le début du mois de novembre. «Nous avons constaté que les bulbes se sont bien comportés et se sont adaptés avec la nature du sol, ce qui était déjà encourageant», notera Mustapha avec grande satisfaction.

La grande surprise qui attendra le couple sera révélée par les résultats d’un laboratoire français auquel les jeunes safraniers ont soumis des échantillons de leur première cueillette. «Le laboratoire nous a certifié que ce type de safran cultivé à Constantine est le meilleur au monde du point de vue arome, goût et odeur, chose à laquelle on ne s’attendait pas», déclare Mustapha. Et la belle aventure continuera encore avec une seconde expérience qui s’est avérée plus importante. Les succès se suivent, et le couple exposera les résultats de son expérience baptisée Safran Tariki (Safran, ma route) en novembre 2012, lors du salon de l’agriculture Expofilaha organisé à Alger.

Les visiteurs, dont le ministre de l’Agriculture de l’époque, se sont dits très impressionnés par cette expérience inédite en Algérie. Le couple sera surpris par ces nombreux jeunes désireux d’apprendre les techniques de cette culture. Une activité qui pourra générer des ressources financières importantes pour l’Algérie mais qui permettra aussi d’offrir des postes d’emplois aux jeunes.

«Un kilo de safran coûte entre 30 000 et 40 000 Euros en France, mais il faut savoir aussi que pour avoir un gramme de safran il faut traiter jusqu’à 240 fleurs, et pour une bonne récolte in faudra planter jusqu’à 40 bulbes/m2. Tout cela demandera une parcelle plus importante», notent nos interlocuteurs. Alors pourquoi les décideurs de la wilaya ne saisiront pas cette opportunité pour faire de Constantine une pionnière dans ce domaine ? Du safran labellisé à Constantine sera une première en Algérie.

S. Arslan

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