Sunday, 03 April 2016 - Université Frère Mentouri - Constantine 1

L’édition 2016 du Salon de l’étudiant algérien, organisé par The Graduate Fair, se tiendra du 14 au 19 avril dans trois villes du pays.

L’événement exposera ses stands d’abord dans la ville de Constantine le 14 avril au niveau de l’hôtel Novotel. Les 16 et 17 avril, ce sera au tour du Palais des expositions Moufdi Zakaria (Alger) d’accueillir le salon. Et enfin, après l’Est et le Centre, ce sera au tour de l’Ouest du pays de voir s’installer les différents exposants du salon.

La manifestation se déploiera donc à Oran, à l’hôtel Four points, le 19 avril. Pour ce qui est des nouveautés de cette édition, en plus de son déroulement au niveau de trois villes différentes - une première -, le salon s’est engagé dans un partenariat avec la Mission commerciale tunisienne à Alger. Cette dernière, selon Amel Seddiki, l’organisatrice de l’événement, organise en marge du salon les Rencontres professionnelles tuniso-algériennes B2B et B2C dans le secteur de l’enseignement supérieur et la formation technique et professionnelle.

«Une quinzaine d’universités, d’écoles et d’instituts supérieurs et institutions de formation tunisiens privés, parmi les plus importants du pays, seront à Alger (dimanche 17 avril) et à Oran (mardi 19 avril) pour des contacts avec les institutions homologues et les étudiants algériens. Plusieurs cursus pour l’enseignement et la formation seront proposés à l’occasion, notamment  l’aéronautique (aérospatiale, pilotage…), l’engineering, l’informatique et télécoms, les finances, la médecine, le tourisme, le management, le marketing, etc.», explique Amel Seddiki.

Pour ce qui est des objectifs du Salon de l’étudiant algérien, cette dernière révèle l’ambition de rapprocher les apprenants algériens des différents organismes de formation nationaux et étrangers. «Nous avons l’ambition de rapprocher les apprenants algériens des différents organismes de formation algériens et étrangers afin que l’étudiant puisse éventuellement découvrir des filières qu’il ne connaissait pas auparavant et qui peuvent très bien le fasciner. Il pourra découvrir de nouveaux horizons, de nouveau pays d’accueil pour des formations à l’étranger», explique-t-elle en énumérant les différentes possibilités, à l’instar de l’apprentissage d’une langue étrangère, l’épanouissement personnel grâce à la maturité acquise, ainsi que la valorisation du curriculum vitae (CV) grâce au diplôme obtenu.

«Le premier objectif des études à l’étranger est de mettre en valeur sa formation, un parcours international a plus de valeur pour le recruteur. Cela montre que l’étudiant est autonome et ouvert d’esprit», développe encore l’organisatrice de l’événement dont le supplément El Watan étudiant est partenaire.

S’agissant de l’essence-même de cet événement, Amel Seddiki fait valoir que le Salon de l’étudiant algérien «se veut l’un des rares, sinon l’unique, espace de rencontre entre, d’une part, les formateurs (algériens et étrangers), toutes spécialités et catégories confondues, et, d’autre part, les apprenants de tous les niveaux et profils.»

Pour l’organisatrice, le départ, chaque année, de plus de 25 000 Algériens à l’étranger pour faire des études révèle un réel besoin et une problématique lancinante en matière de formation, qu’elle soit de base ou de perfectionnement. Pour pallier cela, le salon «se propose d’établir cette jonction pour permettre aux uns et aux autres de trouver toutes les réponses à leurs questions et ouvrir de nouvelles perspectives à travers les propositions d’un large éventail de formules adaptées à des besoins spécifiques», explique-t-elle.

The Graduate Fair - Salon de l’étudiant algérien - est un lieu de rencontre incontournable entre les acteurs de l’éducation (enseignants, formateurs, chefs d’établissement, conseillers d’orientation…), et les usagers du système éducatif (élèves, étudiants, parents, salariés ou demandeurs d’emploi en recherche de formations complémentaires…).

 

Fatma Zohra Foudil
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La manifestation «Constantine, capitale de la culture arabe 2015» arrive à sa fin et la semaine culturelle de Constantine prévue du 2 au 6 avril en cours sera la dernière semaine du genre organisée dans ce cadre. Aussi, cette manifestation de 6 jours, visiblement conçue par les organisateurs comme la cerise sur le gâteau, devait être inaugurée hier à 17h par le ministre de la Culture M. Azzedine Mihoubi à la salle Ahmed Bey, en présence des autorités locales et d'un public nombreux constitué de familles constantinoises.

Si l'on se réfère au programme établi par les organisateurs, la cérémonie d'ouverture de la semaine culturelle constantinoise aura été marquée par un spectacle haut en couleur exécuté par des troupes participantes à partir de la galerie menant à la grande salle de spectacles. Ces troupes ont simulé un mariage constantinois accompagné de la ghaita, la zorna, le t'bal et l'inévitable orchestre de musique malouf, pour accompagner l'entrée à la salle des membres de la délégation officielle, des invités et des familles constantinoises. Ceci fait, suivra l'inauguration des différentes expositions organisées dans les galeries de la salle autour de l'artisanat traditionnel constantinois, expositions auxquelles participent plus d'une dizaine d'associations et de maisons constantinoises connues sur la place. Mais la cérémonie officielle et protocolaire se déroulera dans la grande salle de spectacles et elle sera suivie d'un gala de malouf animé par les maîtres du genre comme Salim Fergani, Abbas Righi, la troupe des Aïssaoua et par les artistes constantinois Zineddine Bouabdallah et Zineddine Bouchaala.

Les journées suivantes seront sensiblement du même tonneau pour ce qui est des spectacles de musique. Toutefois, les organisateurs ont tenu à apporter une touche de modernité avec une soirée de jazz qui sera animée par la troupe SMOKE le mardi 5 avril à la grande salle Ahmed Bey. Le programme de la semaine comprend aussi des représentations théâtrales pour adultes et pour enfants qui se dérouleront sur les planches du Théâtre régional de Constantine (TRC), de l'animation et du folklore. A remarquer que les différentes expositions de l'art pictural et des miniatures, de livres sur l'histoire et les élites de Constantine, de photographies sur l'histoire de la ville et ses personnages les plus représentatifs à travers l'histoire, d'un mariage constantinois authentique et de projections de films documentaires, organisées dans les galeries de la grande salle Ahmed Bey, se dérouleront parallèlement chaque jour et pendant toute la durée de la semaine culturelle. Celle-ci sera clôturée dans la soirée du 6 avril par une ultime représentation de la musique malouf qui sera animée par des artistes du genre avec, à leur tête le cheikh Ahmed Aouabdia.

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par A. Mallem

La fermeture à la circulation du pont de Sidi-Rached pour on ne sait encore combien de temps commence déjà à faire vivre le calvaire aux automobilistes.

Les conséquences de la fermeture de cet important axe de communication avec le centre de la ville se sont fait surtout ressentir au niveau des hauteurs de la ville où les automobilistes commencent à éprouver des difficultés dans leurs déplacements. En effet, nous avons pu le constater hier matin, et c'est encore le week-end, quand la circulation est devenue plus animée que les habitants des hauts quartiers de la cité Emir Abdelkader et Bab El-Kantara ont pu mesurer les conséquences de cette nouvelle restriction apportée à leurs déplacements : beaucoup de gens, surtout les plus âgés, ont dû attendre longtemps dans les stations habituelles en espérant qu'un taxi consente à les transporter au centre-ville. Mais tous les taxieurs fuient ce trajet à cause du plan de circulation, tout aussi contraignant, mis en place par la commune. Le plan oblige les automobilistes voulant se diriger vers la Brêche à emprunter la rue Tatache Belkacem (ex rue Thiers), plutôt une ruelle étroite, défoncée par endroits et mal colmatée par les services de la commune, toujours encombrée et fait perdre beaucoup de temps.

Hier matin, journée chômée pour l'administration et les entreprises publiques, la circulation n'était pas aussi dense que durant les journées œuvrées, mais elle était assez fournie par les vagues de véhicules qui prenaient le chemin du centre-ville, dissuadant tout taxieur qui voudrait s'y aventurer. C'est pourquoi nous avons remarqué des femmes d'un certain âge, des hommes aussi et des jeunes qui ont abandonné la recherche d'un taxi et entrepris de faire le chemin à pied. «Moi je suis descendu de la cité Emir Abdelkader à pieds car je n'ai pas trouvé de taxi qui va à la Brêche », nous a expliqué un citoyen rencontré à l'entrée de la rue Ben-M'hidi. Nous avons croisé pas mal de piétons qui remontaient cette rue où la circulation se fait à sens unique, de la Brêche vers la gare de chemin de fer et le quartier de Bab El-Kantara, tout en pestant car la pluie tombait et le temps était froid. «Et dire que nous allons endurer ce calvaire jusqu'à la fin de l'été. Les mêmes difficultés ont été signalées ailleurs pour les résidents de Sidi-Mabrouk, de Daksi, du 4ème Kilomètre et de Boumerzoug, contraints aussi de se plier à un véritable parcours du combattant s'ils veulent arriver au centre-ville. «Malheureusement, cela ne fait que commencer !», a fait remarquer un habitant de la cité Daksi alors qu'il venait d'arriver devant le palais de la culture Al Khalifa.

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