Laboratoire de Physique Energétique
Université Constantine 1
L’évaluation est une composante clé de tout système de recherche, mais elle n’a de valeur que si elle devient un vecteur d’amélioration par la mise en place de stratégies scientifiques cohérentes au niveau des établissements d’enseignement supérieur ainsi que des centres de recherche nationaux. A l’ère de la généralisation de l’Internet, la visibilité des chercheurs et de leur production scientifique (publication, communication, soutenance de thèse) est un impératif absolu. Hisser nos structures en allant vers d’avantage
d’excellence et de compétitivité est un pari qu’il nous faudra gagner ensemble. Ceci implique qu’à moyen terme la mise en place d’un suivi permanent du laboratoire de recherche avec des évaluations périodiques devra être possible en instaurant des mécanismes cohérents, fiables, opportuns, évolutifs et transparents, qui permettront une meilleure rigueur, tout en s’adaptant aux défis et aux contraintes d’une économie fondée sur le savoir et l’innovation.
Le laboratoire Physique Energétique a été agrée en mars 2001. Il regroupe vingt quatre (24) chercheurs permanents répartis en cinq (05) équipes. Les principales thématiques développées par le laboratoire s’articulent essentiellement autour des points suivants :
L’objectif visé par l’équipe est de mettre au point des algorithmes de calcul pour l’évaluation du gisement solaire et étude des paramètres physique du sol et de l’atmosphère qui sont en relation direct avec le gisement solaire.
L’hydrogène est un vecteur énergétique, il doit donc être fabriqué avant d’être stocké et utilisé. Il est essentiellement obtenu par reformage ou gazéification d’hydrocarbures, par électrolyse de l’eau ou par thermochimie (au stade des développements).Le choix du procédé de fabrication de l’hydrogène se fait en fonction de nombreux paramètres : type d’énergie primaire disponible, pureté, débits, …. De fait l’électrolyse représente aujourd’hui moins de 1% de la capacité totale de production de cet hydrogène et n’est utilisée que si l’électricité est bon marché et/ou si une pureté élevée de l’hydrogène produit est requise. Après l’électrolyse industrielle avec des puissances unitaires pouvant aller jusqu’à plusieurs mégawatts, utilisées en secours d’autres moyens de production d’hydrogène (unités chlore-soude). on assiste aujourd’hui à l’essor des électrolyseurs de capacités petites à moyennes, typiquement de 1 à 100 kW. Les objectifs essentiels de notre projet s’articulent autour de la formation ainsi que du côté technico-économique. On y axera les efforts sur le développement et la valorisation des énergies renouvelables en particulier l’énergie solaire ainsi que la mise en place de projets solaires.
La formation dans le palier Master (LMD), en Post-Graduation et en Doctorat de Physique Énergétique et en Énergies Renouvelables (réalisation de thèses). La formation par la recherche est évidente par la réalisation des mémoires de Master et de Magister ainsi que les thèses de Doctorat orientées dans ce domaine.
Le premier objectif économique de ce projet de recherche reste la production de l’hydrogène à partir d’une source énergétique propre et pas couteuse par rapport à l’électricité.
Ce projet nous permettra de faire l’étude et la réalisation des différents équipements intervenant dans la mise en marche de ce projet. Tous les gros équipements (concentrateur solaire, la dynamo et cuve d’électrolyse) seront réalisés localement.
La production d’énergie grâce aux éoliennes est intermittente et non programmable, d’où le besoin de stocker l’électricité produite lorsque le vent souffle.
Bloc des Sciences UC1
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