Thursday, April 25, 2024

mardi, 04 novembre 2014 - Université Frère Mentouri - Constantine 1

« Plus de 5.000 étudiants installés au Canada, viennent du Maghreb, dont 1.000 d’Algérie. Les statistiques datent de 2013. Le Canada veut aller plus loin en augmentant les capacités d’accueil de ses universités pour les étudiants algériens.  Pour se faire, « l’ambassade du pays de l’érable, à Alger organise les 5 et 6 novembre à l’hôtel El-Aurassi, le deuxième Salon de l’éducation au Canada », a annoncé, hier, la chargée d’affaires de l’ambassade Mme Miriam Van Nie.
S’exprimant lors d’une conférence de presse tenue dans l’enceinte de l’ambassade à Ben Aknoun, Mme Van Nie a indiqué que le premier Salon organisé en 2013, avait suscité un grand intérêt auprès du public. « Nous avons reçu plus de 1.000 visiteurs, entre étudiants, parents et professeurs, venus s’informer sur les possibilités d’étudier au Canada et sur les établissements présents au Salon », a-t-elle ajouté, précisant que l’intérêt manifesté lors de ce premier Salon a encouragé l’ambassade à organiser la deuxième édition, à laquelle une quinzaine d’institutions canadiennes d’enseignement supérieurs, universités, collèges et lycées y prendront part. Ces établissements offrent des formations dans différentes filières, dont l’administration des affaires, communication, environnement, langues et traduction, sciences comptables, médecine et science de la santé, hôtellerie et tourisme, etc.
« Durant les deux jours du Salon, qui sera ouvert au public de 10h à 18h, les représentants des établissements se chargeront  de répondre aux questions des étudiants sur leurs différents programmes, les conditions d’admission et le coût des études », a expliqué la diplomate canadienne. « Outre, les séances d’information sur les programmes d’étude offertes par des universités et collèges en marge du Salon, des renseignements seront également fournis sur les permis d’études et autres exigences en matière de séjours d’étude au Canada par le personnel de l’ambassade », a-t-elle ajouté.
Organisé simultanément au Maroc et en Tunisie, ce Salon se veut un espace d’ouverture et de découverte sur le système éducatif canadien, reconnu comme étant l’un des meilleurs au monde.
L’initiative a pour objectif de permettre aux étudiants, parents et enseignants de s’informer sur les opportunités d’éducation dans ce grand pays du nord du continent américain. C’est également l’occasion d’échanger avec les représentants des institutions participantes sur les programmes d’étude, les bourses offertes, et la reconnaissance des acquis et diplômes.
La présence de ces institutions est une marque d’intérêt au développement de partenariats avec les établissements algériens. Si des milliers d’étudiants venus du monde entier poursuivent chaque année leurs études au Canada, il faut savoir que plus de 5.000 d’entre eux viennent du Maghreb, dont pas moins de 1.000 sont Algériens, rien qu’en 2013.
Cet engouement pour le Canada « se justifie grâce à ses universités qui sont régulièrement classées parmi les meilleures au monde et pour son système d’éducation et de formation centré sur l’étudiant et axé sur un apprentissage pratique », a affirmé Mme Van Nie, qui précise que le système d’éducation au Canada, est ancré dans une « culture participative et qui se démarque par des activités de recherche, de développement et d’innovation à la fine pointe. »
Salima Ettouahria | El Moudjahid

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Les diplômés des grandes écoles, souligne l’universitaire M. Musette, «enregistrent un taux d’insertion très appréciable. Les efforts entrepris en Algérie sont ainsi positifs».Plus de dix ans après son application, le système d’enseignement LMD (licence, master, doctorat) ne cesse d’être au centre de tout débat sur la réforme de l’enseignement supérieur. Et depuis son instauration, ce système a donné satisfactions certes, mais suscite aussi des attentes. Aujourd’hui, la problématique la plus importante, dont débattent les spécialistes en la matière, a trait plus à « l’employabilité des diplômés que de leur adéquation », tel est du moins, le constat fait par Mohamed Saïb Musette, sociologue et maître de recherche au niveau du Centre de recherche en économie appliquée pour le développement(Cread) à Bouzaréah. Contacté par nos soins, l’universitaire fait savoir que « les réformes de l’enseignement supérieur, avec l’avènement du LMD, permettent actuellement de mieux professionnaliser les formations universitaires.» Il souligne également que les diplômés des grandes écoles « enregistrent un taux d’insertion très appréciable. Les efforts entrepris en Algérie sont ainsi positifs.»
Pour M. Musette, le véritable problème ne se situe pas au niveau du diplôme lui-même, mais au niveau de son « absorption par l’économie.» De son côté, le Professeur Abdeslem Sahraoui, du département de Lettres et de Langue arabe de l’université Constantine 1, lors d’un récent séminaire, a relevé que ce système a été créé selon des normes européennes convenables à la société occidentale. « Pour assurer la qualité, il faut appliquer un système de qualité. Pour que le LMD ait un écho et une influence positifs sur l’enseignement supérieur, il doit y avoir une étude pédagogique profonde et pointilleuse de la société et du travail universitaire algériens.»
Le LMD, rappelons-le, a été appliqué depuis 2004 dans le but d’améliorer le niveau d’apprentissage au sein de l’université algérienne et rendre les diplômes algériens équivalents à ceux de l’Europe. Ce système a attiré, durant la première année, 6.677 nouveaux bacheliers soit 3,4% des nouveaux inscrits.
Sa mise en place a été précédée par un débat initié par le ministère de l’Enseignement supérieur. Durant l’année 2005/2006, il a été généralisé, à d’autres établissements et les effectifs ont atteint 18.884 étudiants. Dans une de ses déclarations, M. Mebarki, premier responsable du secteur, a estimé que certaines universités ont certes basculé dans ce système dès son institution, mais sa généralisation à la totalité des filières et disciplines a été relativement lente. L’autre raison invoquée par le ministre est relative à la « coexistence » entre les deux systèmes, classique et LMD. Il a fait également savoir que « les deux systèmes fonctionnent parallèlement, et la transition entre eux a trop duré.» Le ministre a également évoqué les efforts qui doivent être multipliés en matière d’encadrement. Les 51.000 enseignants que compte l’université algérienne « s’avèrent insignifiants », dit-il, eu égard aux objectifs du LMD.
Ce système devait, selon le ministre, s’appuyer sur l’environnement économique et industriel.  
Fouad Irnatene | El moudjahid

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Le bureau d’études espagnol Idom-Tech, chargé de l’étude technique de la première ligne d’extension du tramway de Constantine, présentera dans moins de 15 jours la maquette «adaptée» de ce projet pour permettre le lancement en travaux, a indiqué le wali, Hocine Ouadah, dimanche à l’APS. Des observations et des réserves avaient étaient émises lors de la présentation d’une première «mouture» par ce bureau d’études qui présentera dans deux semaines une étude finale de cette extension du tramway vers l’aéroport inter national M o h a m e d - Boudiaf et Ali-Mendjeli, a souligné le wali, précisant qu’Idom-Tech avait présenté trois (3) variantes qui ont été «minutieusement examinées» par les services concernés.

Les travaux de la première ligne d’extension du tramway de Constantine, à savoir cité Zouaghi – Aéroport et cité Zouaghi – Ali-Mendjeli, avaient été provisoirement attribués, en mai 2014, à un groupement al-géro-franco-espagnol, pour un montant de plus de 34 milliards de dinars et un délai de réalisation de 35 mois, rappelle-t-on. Circulant actuellement sur une distance de près de neuf (9) km avec dix stations depuis le stade
Benabdelmalek-Ramdane au centre-ville jusqu’à la cité Zouaghi, le tramway de Constantine sera renforcé dans le cadre de ce projet par deux lignes supplémentaires d’une longueur de près de 12 km vers Ali-Mendjeli et de 2,7 km vers l’aéroport Mohamed-Boudiaf.

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mardi, 04 novembre 2014 11:17

La place «Ahmed Bey» livrée en février

par A. Mallem | Le Quotidien d'Oran

Contacté, hier, le directeur de l'Urbanisme et de la Construction (DUC) de Constantine, M. Mahdi Habib, nous a déclaré que les travaux d'aménagement du square ‘Ahmed Bey', plus connu de la population sous le nom de « Dounia Ettaraef », engagés, il y a plus d'un mois, avancent selon le calendrier prévu et le projet sera livré, à la fin du mois de février 2015 ». Les contraintes, connues au début, ont été levées, explique le DUC, et les travaux connaissent maintenant un taux d'avancement de 30 % environ ». Et d'ajouter que les terrassements ont été faits et l'entreprise chargée des travaux est passée à l'étape de pose du béton armé, notamment en ce qui concerne l'érection d'un mur d'eau qui sera placé, à un endroit situé du côté de l'hôtel international qui fait face au square.

Selon M. Mahdi, l'enveloppe financière allouée à ce projet s'élève à 27 milliards de centimes. Invité à fournir des indications sur le genre d'aménagements qui seront faits, dans cet espace stratégique, situé en plein centre de la ‘ville des ponts', sur le côté gauche des allées Benboulaid, en montant vers la Brèche, notre interlocuteur a indiqué que le square aura un nouveau visage, plus amène et plus agréable. « Le projet comprend 3 niveaux : le premier comprendra des kiosques nouveaux qui remplaceront ceux qui étaient déjà installés et qui ont été délogés et installés sur l'autre coté des allées. Après trois ou quatre marches, nous aurons une esplanade qui comprendra, en son centre, un grand jet d'eau. Et après quelques marches supplémentaires, il y aura une placette qui sera aménagée de façon à pouvoir accueillir la célébration solennelle des fêtes nationales, avec à côté le mur d'eau que nous venons d'évoquer».

L'aménagement de cette place publique qu'est le square ‘Hadj Ahmed Bey' a été décidé, dans le sillage du programme de préparation de la ville à accueillir la grande manifestation de 2015 où Constantine sera la capitale de la Culture arabe. Auparavant, cet espace ne comportait aucun aménagement particulier, sinon qu'il était occupé par des commerces et jalonné par des kiosques de tabacs-journaux et autres. Mais au fil du temps, il était devenu une espèce de marché aux puces et une annexe du marché Boumezzou, tout proche, pour la vente des fruits et légumes.

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