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mercredi, 26 octobre 2016 - Université Frère Mentouri - Constantine 1
mercredi, 26 octobre 2016 15:19

AGENDA CONSTANTINE MEETING LOCATION

L’Université des Frères MENTOURI Constantine1 en sa qualité de partenaire du projet : South Mediterranean Welding Centre for Education, Training and Quality Control, SM Weld Project No. 561786-EPP-1-2015-1-SE-EPPKA2-CBHE-JP Organise les 26, 27 et 28 octobre 2016, la deuxième rencontre des pays partenaires du projet. Ces Partenaires sont des universités et des entreprises de plusieurs pays Européen : Suède, Allemagne, Belgique, Espagne, Portugal, Grèce et Roumanie, en plus des deux pays Magrébins l’Algérie et la Tunisie. Les objectifs de ce projet sont : 1. la mise en place d’une formation spécialisée en soudage de 45 crédits ; 2. la mise en œuvre d’un Centre de soudure pour l’éducation, la formation et le contrôle de qualité, dans les pays du Sud de la Méditerranée en l’occurrence l’Algérie et la Tunisie. L’ouverture officielle des travaux à 9h, Campus 500 Places ‘’Tidjani Haddam’’.

Agenda SM Weld Oct 2016 UFMC1

L’université des Frères Mentouri de Constantine (UFMC) prépare pour cette rentrée 2016-2017 un master à distance en administration locale. Le choix de cette filière n’est ni fortuit ni imposé par le ministère de tutelle.

L’UFMC a pris la décision fixer son choix, puisqu’il fallait le faire, pour une filière qui est dans une conjoncture favorable. La modernisation de l’administration et sa numérisation offrent certaines perspectives pour cette formation diplômante.

Le 2 septembre dernier, l’université a donc publié sur son site un appel à candidatures pour un master 2 à distance en administration locale. Selon le recteur de l’UFMC, Abdelhamid Djakoune, «ce master vise la promotion de la formation à distance en Algérie, qui offre des perspectives nouvelles pour les fonctionnaires et les étudiants par le biais de l’acquisition de compétences dans le domaine de cette spécialité».

Actuellement, le rectorat avec le concours de la faculté de droit planche sur l’opération de sélection des candidatures. Et ce n’est certainement pas chose aisée à la lumière du nombre important de postulants. Ils sont plus d’un millier à vouloir tenter leur chance dans cette nouvelle approche académique. Cela équivaut à plusieurs promotions dont la gestion s’annonce faisable, car ils ne seront pas tous pris en raison des moyens et conditions pédagogiques à observer. «Nous avons reçu 1200 candidatures, nous sommes dans la phase de tri pour n’en garder que quelque 600 pour le cursus 2016/ 2017», a indiqué le recteur.

C’est donc près de la moitié des postulants  qui ne seront pas retenus pour cette première formation inédite, car les critères de sélection, s’ils ne sont pas dissuasifs, demeurent toutefois drastiques. Selon le site de l’université, les étudiants ciblés sont ceux détenteurs d’une licence en droit, systèmes LMD et classique, ayant des connaissances de base en droit administratif, droit constitutionnel, activités locales et administratives, ainsi qu’en fonction publique. «Cela touche plusieurs catégories professionnelles, il leur permet de gravir les échelons de la hiérarchie tout en restant actifs», précisera notre interlocuteur.

C’est évident que pour les catégories actives, cette formation représente une aubaine dans la gestion de carrière. Il faudrait tout de même s’armer de suffisamment de motivation et d’enthousiasme pour concilier deux activités parallèles. «Suivre des cours à distance représente certainement beaucoup d’avantages», nous a confié un employé des collectivités locales, postulant lui-même à ce master à distance : «…cela peut être aussi difficile parce qu’on ne sera pas imprégnés par l’ambiance des amphis, chaque étudiant sera seul devant son ordinateur, la concentration pourrait manquer».

Si cela peut apaiser les craintes de certains, le cursus tel qu’il est présenté sur le site de l’UFMC ne semble pas hautement contraignant. Au préalable, l’étudiant doit être équipé d’un ordinateur et d’une connexion internet.

Les cours seront mis en ligne sur la plate-forme d’enseignement à distance de l’université des Frères Mentouri Constantine1. Les compléments de cours et les devoirs sont accessibles sur cette même plateforme. En référence toujours aux informations officielles, la charge de travail est fixée à 14 heures par semaine, avec trois regroupements présidentiels au sein du campus central : «Les regroupements obligatoires seront probablement d’un à deux par année», a rectifié Abdelhamid Djekoune.

UNE EXPÉRIENCE À RENOUVELER ?

A l’instar des quelques grandes universités du pays désignées pour lancer un master à distance, celle de Constantine a opté pour le pragmatisme. L’UFMC, qui a fait de la formation professionnelle son credo, a choisi un secteur où pourront se développer des vocations. Les disponibilités pédagogiques y sont naturellement prises en compte, toutefois, l’employabilité a été un paramètre décisif. «C’est une autre démarche dans la formation dans le milieu universitaire.

Une première à Constantine, elle consiste à créer et développer un espace universitaire en relation avec l’entreprise», rappellera le recteur. Le premier responsable de l’université de Aïn El Bey arguera ce choix par«la forte demande actuellement sur les services administratifs».
Il faut rappeler que depuis deux ans, la modernisation de l’administration est inscrite en tant que stratégie gouvernementale. Le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales, conduit depuis une politique offensive pour dépoussiérer les services administratifs et instaurer des techniques modernes de gestion dans le but d’offrir une meilleure prestation.

Ces nouveaux leviers ont impliqué non seulement l’acquisition d’équipements mais aussi le recours à des ressources humaines. D’où l’entrée en course de la formation académique «pratique pour fournir des compétences pour l’administration, en matière de techniques administratives et électroniques», explique-t-on.

Face à l’évolution de certains secteurs, l’université ne peut pas se complaire dans un rôle d’école-diplôme. D’ailleurs, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a martelé, ces derniers jours, la nécessité de s’orienter vers la formation pratique en adéquation avec les exigences du marché de l’emploi.

«L’université s’est engagée depuis plusieurs années dans la voie de l’insertion professionnelle des étudiants et cet engagement demeure une de ses préoccupations majeures», a rappelé le recteur de l’UFMC, pour lequel «l’université de Constantine a choisi d’exceller dans certains domaines, dont celui de la gestion de l’administration. Si nous pouvons aider ne serait-ce que par le biais de la formation diplômante, nous le ferons».Et ne pas écarter la reconduction de cette expérience avec d’autres filières dans l’avenir. L’important in fine est de baliser la voie de l’emploi.

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Un master à distance a été lancé cette année au niveau du département de langue arabe à la faculté des lettres et arts de l’université Oran 1 Ahmed Ben Bella. Ce projet, qui s’intitule «Didactique et pédagogie de la langue arabe», fait partie des cinq masters à distance qui seront expérimentés cette année dans cinq universités du pays, a indiqué Morsli Laaredj, professeur à l’université d’Oran.

En effet, le ministère de l’Enseignement supérieur a reproduit le système de l’enseignement continu (UFC) pour permettre à plus de diplômés de continuer leurs études en gardant leur emploi à l’extérieur de l’université.

Selon M. Morsli, le nombre élevé d’étudiants et le manque d’infrastructures ont favorisé cette option également. Cet enseignant, chargé de la communication et des relations publiques à l’université Ahmed Ben Bella, a rappelé qu’au maximum 40 étudiants devaient être retenus pour cette première expérience.

A présent, le nombre devra atteindre les 300, voire 400, étudiants si l’expérience est réussie, ou si le ministère décide de donner leur chance à plus de travailleurs qui veulent poursuivre leurs études. Selon nos informations, les titulaires d’une licence classique (4 ans) sont les plus intéressés par le master. Houari, un quadragénaire rencontré à Es Sénia, a exprimé sa satisfaction : «C’est vraiment une bonne chose. Nous n’avons plus besoin de réclamer des heures pour faire nos études, car les employeurs refusent souvent de signer le document stipulant que l’étudiant est autorisé par l’entreprise à assister aux cours.

C’est  cette autorisation qui m’a empêché d’étudier l’année dernière. Il me tient à cœur de continuer mes études et pourquoi pas faire de la recherche et aller plus loin encore.» Il faut savoir que beaucoup d’étudiants sont contraints d’abandonner leur master après le premier semestre ou même après l’inscription, en raison du problème de mobilité. «Nous avons chaque année plus de 20 étudiants qui abandonnent, pour des raisons professionnelles ou familiales. Je pense que cette formule va permettre de consolider chaque licence par un master et valoriser le travail universitaire», a commenté un enseignant. Interrogé à propos de la qualité de la formation, un autre étudiant,venu vérifier s’il a été retenu pour ce master déclare : «Je n’ai aucun doute à propos du contenu et du niveau de la formation. Vous savez, à l’université on a besoin seulement d’encadrement pour avancer dans le programme.

D’autant plus qu’avec les moyens de communication et les réseaux sociaux on sera en contact avec les profs et nous aurons toute la documentation.» Pour rappel, ce master sera assuré par des enseignants ayant suivi une formation spéciale en juillet 2016, afin de pouvoir maîtriser ce nouveau système introduit dans le cadre du développement de l’université algérienne. En plus d’Oran 1, les universités d’Alger 1 et 3, de Blida 2 et de Constantine 1 ont toutes lancé des masters à distance.

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Le secteur de l’Enseignement supérieur lance cette année un nouveau mode de cursus de graduation : le mastère à distance. Annoncée par Tahar Hadjar en mai dernier, une opération pilote est lancée dès cette année au niveau de cinq établissements universitaires à savoir : Alger1, Alger3, Blida2, Constantine1 et Oran1.

Devant la forte demande des étudiants pour le mastère, motivé essentiellement par le manque de débouchés professionnels pour les titulaires de licence LMD, le concept, largement répandu sous d’autres cieux, pourrait être cette bouée de sauvetage à même de résorber la frustration des postulants devant l’impossibilité de satisfaire toutes les demandes.

Le secteur de l’Enseignement supérieur lance cette année un nouveau mode de cursus de graduation : le mastère à distance. Annoncée par Tahar Hadjar en mai dernier, une opération pilote est lancée dès cette année au niveau de cinq établissements universitaires à savoir :

Alger1, Alger3, Blida2, Constantine1 et Oran1. Devant la forte demande des étudiants pour le mastère, motivé essentiellement par le manque de débouchés professionnels pour les titulaires de licence LMD, le concept, largement répandu sous d’autres cieux, pourrait être cette bouée de sauvetage à même de résorber la frustration des postulants devant l’impossibilité de satisfaire toutes les demandes. A l’université Alger3, la faculté des sciences économiques, des sciences de gestion et des sciences commerciales se lance dans le nouveau challenge et offre une formation de mastère en comptabilité à distance.

«L’option a été retenue pour combler le besoin en mastères. Il y a une forte demande nationale au niveau de notre établissement. On subit une véritable pression sur ce palier de graduation»,  atteste le doyen de la faculté. Lakhlef Athmane informe également que la faculté, qui compte quelque 36 000 étudiants et des promotions de plus de 6500 inscrits, enregistre chaque année environ 10 000 candidatures émanant non seulement des licenciés de l’établissement, mais également de ceux provenant du système dit classique ainsi que de candidats d’autres wilayas.

A l’arrivée, seul 2500 étudiants ont réussi à passer les différents filtres de sélection et décroché le sésame. «Nous avons également constaté que nombre d’étudiants inscrits en mastère, particulièrement la gent masculine, ne sont pas vraiment intéressés par les études. Beaucoup ne le sont que pour éviter le service militaire», ce qui, selon le doyen, réduit les chances pour d’autres plus volontaires.


Un autre constat établi par le responsable de la faculté fait état d’un taux de 30% d’étudiants en mastère qui travaillent. «Les études en mastère sont contraignantes. La présence physique des étudiants est impérative, ce qui n’arrange pas vraiment ceux qui ont un emploi», déplore M. Lakhlef. Face à ces constats, le recours à la formation à distance — une pratique très répandue à l’international — s’est imposé. «Grâce à cette formule, on élimine d’abord la problématique de la présence physique. Ensuite, cela permet d’élargir le nombre d’inscrits dans chaque filière ouverte», argue notre interlocuteur.

Comment se passent des études de mastère à distance ?

D’abord, il est bon de préciser que la formule «à distance» engage l’utilisation des nouvelles technologies de la communication. Tout se passe donc sur le Net, à commencer par le dépôt de candidature. «Nous avons enregistré plus de 4000 demandes pour le Master en comptabilité», instruit Aït-Mohammed Mourad, responsable du domaine LMD à la faculté des sciences économiques. Pour cette opération pilote, la faculté a retenu 1000 étudiants.

«Cela dépend des capacités de la plateforme mise en place par l’Université de formation continue (UFC)», explique le responsable du domaine LMD en vantant la «grande expérience de notre partenaire, l’ UFC, dans le domaine de l’enseignement à distance».

Ensuite, une fois retenu, le candidat devra s’acquitter de la somme de 10 000 DA pour avoir accès à un compte individuel sur ladite plateforme. Pour ce qui est du suivi des cours, l’étudiant en mastère devra consulter son compte régulièrement aux heures qui lui conviennent.

Sur la plateforme, il trouvera les cours mis en ligne par les enseignants et les exercices commandés. «L’enseignant, en plus du cours rédigé, donnera des exercices à faire avec des deadlines. L’étudiant pourra également poser des questions auxquelles le formateur répondra en ligne», développe Aït-Mohammed pour expliquer l’interactivité de la formation. Une interactivité qui n’est pas obligatoirement simultanée.

En ce qui concerne l’évaluation, l’étudiant sera estimé sur la base des travaux commandés et sur examen. «Les examens se dérouleront normalement, comme pour les étudiants en présentiel. Il y aura un planning prédéfini pour que les travailleurs puissent prendre leurs dispositions. Et ils passeront leurs examens au niveau de la faculté», éclaire-t-il.

S’agissant de la qualité de la formation, le responsable du domaine LMD rassure : «Ce sont nos enseignants qui assureront les cours et le suivi. Les mêmes que ceux qui enseignent dans les mastères ’normaux’.» «Peut-être que les encadreurs d’un certains âge, déconnectés du monde virtuel ou encore ceux qui n’ont pas pour méthode de préparer les cours écrits, ne participeront pas. Mais les autres seront mobilisés pour cette option», explique-t-il encore pour dire qu’en matière de qualité d’enseignement, les étudiants en mastère à distance auront le même niveau de prise en charge que les autres.

Pour ce qui est de la qualité du diplôme cette fois, M. Aït-Mohammed, tout en reconnaissant que les textes réglementaires entre autre pour déterminer la «forme» du diplôme (papier) n’existent pas encore, assure que le mastère à distance aura la même valeur que celui résidentiel. «C’est un diplôme qui émane de l’université Alger3. Ce n’est pas un mastère professionnel, c’est un mastère à part entière», insiste le doyen de la faculté.

Vantant les avantages des nouvelles technologies de la communication, Lakhlef Athmane tient à préciser un autre atout de taille, celui de la transparence. «Malgré tous les racontars, je peux dire que pour les concours de doctorat que nous avons organisés cette année, sur les 43 000 postulants, 18 000 admis au concours d’accès, seul 143 ont été retenus pour les 16 offres de formation. Sur cette énorme demande, nous n’avons enregistré à notre niveau aucune demande de recours. C’est dire l’importance de cet outil», conclut-il.

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