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dimanche, 08 mars 2015 - Université Frère Mentouri - Constantine 1

Le gouvernement algérien a donné son feu vert pour la création de l'Académie des sciences et de la technologie, a déclaré samedi Mohamed Mebarki, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, relayé par l'APS. Cette académie, "espace autonome et haute compétence en tant qu'autorité scientifique suprême du pays", contribuera au développement des sciences et de leurs applications. Cet établissement conseillera les autorités publique dans le domaine des sciences, et servira par la même occasion de pont avec les autres académies du monde", a déclaré M. Mebarki, à l'occasion de l'ouverture des travaux de la Conférence nationale des universités. Cette académie des sciences et de la technologie sera composée de 200 membres. Le ministre de l'Enseignement supérieur a précisé qu'un noyau fondateur d'une cinquantaine d'académiciens sera constitué, en attendant la promulgation du décret présidentiel lié à cette institution. La démarche de création de cette académie ainsi que son statut "ont déjà été proposés au gouvernement par le comité de suivi, a indiqué la même source, assurant "que tout sera fait avec un maximum de rigueur et de transparence, dès que le statut sera fixé par un décret présidentiel". Quant aux critères d'accès à cette académie,M. Mebarki a indiqué que des membres des académies les plus reconnues, à l'image de la Suède, la France et les Etats-Unis, les fixeront. Ces critères, a-t-il fait remarquer, concernent les domaines des mathématiques, de la physique, de la chimie, de l'informatique, des sciences de l'ingénieur, des sciences médicales, des sciences de la nature et de la vie et des sciences de la terre et de l'univers, a-t-il conclu.

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Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a présidé, hier après-midi à Alger, une cérémonie de distinction de 33 maîtres de conférences promus au grade de "professeur" et cinq chercheurs au grade de "directeur de recherche" et ce, dans les différentes spécialités scientifiques. Ont assisté à la cérémonie organisée à la faculté des sciences médicales de Ben Aknoun (Alger) des membres du gouvernement ainsi que des enseignants universitaires et des scientifiques venus de plusieurs universités nationales. Dans une allocution prononcée à cette occasion, M. Sellal a rappelé les acquis réalisés par l'Algérie dans l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique à travers le nombre d'étudiants qui a atteint près de 1,4 million au niveau de 92 universités. Ces chiffres représentent aujourd'hui "une fierté" parmi les réalisations de l'Algérie, a indiqué M. Sellal qui a relevé que "la production scientifique est le meilleur investissement qu'il soit". L'Etat poursuivra son soutien à la recherche scientifique et à la formation en toute circonstance Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, a affirmé hier à Alger, que l'Etat poursuivra sa politique de soutien à la recherche scientifique et à la formation "en toute circonstance". L'Etat algérien "poursuivra son soutien à l'enseignement et à la formation en toute circonstance ainsi qu'à la recherche scientifique et à l'enseignement supérieur dans le pays", a indiqué M. Sellal dans une allocution lors de la cérémonie de distinction des enseignants et chercheurs promus au niveau des universités algériennes. Il s'est dit fier des acquis réalisés par l'Algérie dans le secteur de l'enseignement supérieur, rappelant que le nombre des étudiants a atteint 1,4 million dans les 92 universités nationales. Il a cité, à ce propos, les universités réalisées dans plusieurs régions du pays comme à Tindouf, Illizi et Tamanrasset et d'autres dans la région des hauts plateaux. Après s'être félicité de "l'esprit de responsabilité" régnant au sein de l'université algérienne, M. Sellal a estimé qu'"il est temps qu'une élite scientifique émerge en Algérie et qui s'emploiera à éclairer les responsables et contribuera au développement du pays". Il a salué également le niveau atteint par l'université algérienne "ce qui, a-t-il dit, influera positivement sur l'évolution du pays dans tous les domaines notamment économique", citant à ce propos, une déclaration du Président de la République "le meilleur investissement réside dans la formation, l'enseignement et la recherche scientifique". Dans ce contexte, le Premier ministre a appelé les enseignants distingués et, à travers eux la corporation universitaire, à œuvrer à l'amélioration de la production et de la productivité en matière de recherche scientifique au seul service du citoyen et du pays". Ce qui est susceptible de contribuer à l'amélioration de la croissance économique "n'est autre que l'invention et la production scientifique", a-t-il encore souligné. Rappelant, à cette occasion, la chute des cours de pétrole sur le marché international, M. Sellal a souligné que l'Algérie "fera face à ce défi avec rationalité et sera à la hauteur des attentes des citoyens".

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Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Mohamed Mebarki, a annoncé hier à Alger que la prochaine rentrée universitaire 2015-2016 se déroulera dans de « bonnes conditions » et qu’il « n’existe aucun problème qui peut l’entraver ». Concernant les établissements non finis, le ministre précise qu’ils sont au nombre de sept, cependant, il indique à la presse que « J’ai reçu des assurances que la livraison sera faite au plus tard la mi-juillet ». Intervenant à l’ouverture des travaux de la conférence nationale des universités consacrée à la préparation de la prochaine rentrée universitaire 2015-2016, le ministre a estimé que les infrastructures pédagogiques et celles des œuvres universitaires qui connaissent des retards dans certaines wilayas recevront les nouveaux bacheliers dans de bonnes conditions. Quant à la tenue de la conférence, dont les travaux se tiennent à huis clos, M. Mebarki a fait savoir que celle-ci « intervient à une période charnière de l’évolution du secteur ».Il poursuit «elle intervient au moment où la réforme universitaire engagée depuis une dizaine d’années, arrive au terme d’une première étape de généralisation de l’architecture des diplômes Licence-Master-Doctorat (LMD) ». Par ailleurs, le ministre a précisé que cette rencontre « intervient à la veille d’une rentrée universitaire particulière caractérisée par le nombre très élevé de futurs bacheliers que nous apprêtons à accueillir, du fait de l’arrivée, cette année, d’un bon nombre de nouveaux bacheliers ».

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Les préparatifs de la prochaine rentrée universitaire 2015-2016 se déroulent dans de « bonnes conditions », a assuré, hier, à Alger le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, M. Mohamed Mebarki. « En dépit de quelques retards accusés dans la réception des infrastructures pédagogiques et d’œuvres universitaires au niveau de certaines wilayas, je constate avec beaucoup de satisfaction que les établissements ont pris toutes les dispositions nécessaires, afin de recevoir les nouveaux bacheliers dans les meilleures conditions », a souligné le ministre, à l’ouverture de la conférence nationale des établissements universitaire consacrée à la préparation de la rentrée universitaire 2015/2016. Selon le ministre, « les établissements non encore achevés, sont au nombre de sept. J’ai reçu des assurances que la livraison sera faite au plus tard la mi-juillet », a précisé M. Mebarki. Evoquant la tenue de la conférence, dont les travaux se tiennent à huis clos, M. Mebarki a fait savoir que celle-ci intervient à une période charnière de l’évolution du secteur. « Elle intervient au moment où la réforme universitaire engagée depuis une dizaine d’années, arrive au terme d’une première étape de généralisation de l’architecture des diplômes Licence-Master-Doctorat (LMD) », a-t-il relevé. Elle intervient d’autre part, à la veille d’une rentrée universitaire particulière, caractérisée par le nombre très élevé de futurs bacheliers que le secteur s’apprête à accueillir, du fait de l’arrivée d’une double cohorte d’étudiant. Concernant le premier point, à savoir la généralisation du système LMD, le ministre a expliqué que « plus d’une décennie après le lancement de la réforme, de nombreuses contraintes et tensions sont vécues au quotidien, du fait des dysfonctionnements qui surviennent dans son application, et en particulier, des difficultés dans l’articulation avec les secteurs utilisateurs de ses diplômes ». Il a rappelé à ce propos que la question de la visibilité des diplômes LMD, et de l’insertion professionnelle des diplômés a été à l’origine des perturbations. Une situation qui a suscité une réaction du Premier ministre qui a rappelé la responsabilité partagée entre toutes les institutions du pays, qu’elles soient publiques ou privées, dans la prise en charge de la problématique de l’insertion dans le marché du travail des diplômés LMD. Le ministre a souligné toutefois, que « l’Algérie a franchi une étape que nous devons évaluer à tous les niveaux, pour dégager les correctifs à apporter et poursuivre la mise en œuvre de ce système LMD, en l’adaptant aux réalités algériennes. » Il a annoncé, dans ce sens, la mise en place, prochainement, d’une commission pour « coordonner » avec les établissements et les conférences régionales, cette évaluation d’étape et proposer les mesures à même d’approfondir la réforme. Le ministre a indiqué qu’il sera question également de développer des mécanismes de gestion permettant la mobilisation des compétences du secteur, par « une interaction efficace de l’ensemble de ses composantes, autour d’un plan sectoriel. » Le ministre, qui a présenté un exposé sur les réalisations de son secteur, a cité certaines mesures adoptées, dont celles ayant trait à l’ouverture de quelques écoles normales supérieures à l’échelle nationale, à l’évaluation des filières à recrutement national et l’intérêt accordé aux points de formations situés dans des pôles voués à l’excellence. Il a fait savoir que d’autres actions « sont engagées et restent à consolider pour assurer une bonne rentrée universitaire. » Il s’agit, entre autres, du recrutement d’enseignants et personnels de soutien, l’organisation d’une meilleure coordination entre les établissements pédagogiques et les œuvres universitaires ainsi que l’optimisation de l’utilisation des moyens humains et matériels, mis à la disposition du secteur. « Un saut qualitatif réalisé par les universités algériennes » Par ailleurs, M. Mebarki a rappelé que son secteur s’était engagé à inscrire la visibilité de ses établissements parmi ses objectifs prioritaires, à travers notamment l’introduction d’une dynamique numérique par la généralisation des sites web des établissements. Il s’agit également de l’encouragement des enseignants et étudiants à intégrer les réseaux numériques et professionnels, « en tant qu’espaces d’expression et d’interaction avec la communauté scientifique nationale et internationale », ainsi que l’organisation et la dynamisation de la fonction « communication », afin d’améliorer l’image de l’établissement, par la mise en place des services spécialisés dotés en moyens humains et matériels adéquats. Ainsi, les premiers effets positifs des actions déjà entreprises dans ce cadre, même si selon le ministre les classements internationaux des universités ne tiennent pas compte que de critères objectifs, commencent à se faire sentir. Le ministre a rappelé, à titre indicatif, le résultat obtenu par l’université algérienne suite au dernier classement « Webometrics ». « Nous avons constaté un saut qualitatif réalisé par nos universités qui ont gagné plus de 200 places en moyenne, à l’échelle internationale », a-t-il relevé, précisant que les « cinq première universités du classement, au plan maghrébin, sont algériennes ». Au niveau du classement des pays africains et arabes, les universités algériennes, poursuivent leur progression et occupent une place appréciable », s’est réjouit le ministre. « Le gouvernement a donné son accord pour la mise en place de l’académie des sciences » Abordant par ailleurs, le projet de création d’une académie des sciences et de technologie d’Algérie, le ministre a affirmé à ce sujet, que le gouvernement avait donné son accord pour sa mise en place. « Nous nous réjouissons aujourd’hui de l’accord du gouvernement pour la mise en place de l’Académie des sciences et de la technologie, espace autonome et haute compétence, qui servira de pont avec les autres académies du monde », a-t-il annoncé. Il a précisé que cette académie, qui sera composée de 200 membres, contribuera en tant qu’autorité scientifique suprême du pays, au développement des sciences et de leurs applications, et conseillera les autorités publiques dans ce domaine vital. « Le comité de suivi a déjà proposé au gouvernement, un statut de l’académie et une démarche pour sa mise en place », a-t-il souligné. Il a assuré que cela va se faire avec un maximum de rigueur et de transparence, dès que le statut est fixé par un décret présidentiel. Un appel à candidature, pour la mise en place du noyau fondateur de l’académie des sciences et de technologie d’Algérie, a d’ores et déjà été lancé. Les critères d’inclusion sont fixés par les membres de plusieurs académies reconnues dans le monde, et concernent les domaines des mathématiques, physique, chimie, informatique, sciences de l’ingénieur, sciences médicales, science de la nature et de la vie et science de la terre et de l’univers. Salima Ettouahria

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L’université Constantine 1 a organisé le 12 février 2015 une journée d’étude sur L’environnement et la santé publique en Algérie : entre la vulnérabilité de la population et le cadre légal de sa protection. Cette manifestation a été coordonnée par la fondation nationale pour la promotion de la santé et le développement de la recherche FOREM, l’association pour la protection de la nature et de l’environnement ANPE, l’association accompagnement, développement et aménagement du territoire de la Wilaya de Constantine ADAT. 

Cette journée d’étude s’est appuyée sur les études effectuées par les enseignants universitaires, les experts dans le domaine et les experts en la matière et a visé l’évaluation du cadre légal et institutionnel de protection de l’environnement et de la santé publique, le dialogue et la mise en place d’une synergie entre les différents partenaires (pouvoir public, société civile, collectivités locales…). Plusieurs propositions ont été suggérées pour définir une stratégie fiable afin de promouvoir la culture du respect de l’environnement. 

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dimanche, 08 mars 2015 10:35

Les stars de l’entreprenariat

La faculté des sciences de la nature et de la vie de l’UC1 a abrité du 08 au 10 février 2015 la troisième édition des  stars de l’entreprenariat en collaboration avec la maison de l’entreprenariat et l’ANSEJ. Ce concours destiné à l’évaluation des meilleurs projets, sur les cinquante  présentés par les étudiants, a été dirigé par les cadres de l’ANSEJ dans le but d’accompagner et d’initier  les futurs diplômés à la réalisation de leurs projets. 

L’évaluation s’est effectuée devant un jury composé de représentants de plusieurs organismes : L’université constantine1, l’ANSEJ,  CNRC, la banque CPA, la chambre de l’agriculture et l’association de soutien de l’investissement des jeunes. 

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