Friday, April 19, 2024

novembre 2016 - Université Frère Mentouri - Constantine 1
 

par A. M.

  

Une équipe médicale pluridisciplinaire composée de chirurgiens, de généralistes, de viscéralistes de médecins internes et de réanimateurs du centre hospitalo-universitaire de Constantine (CHU Docteur Benbadis), se trouve depuis dimanche 6 novembre à l'hôpital de la ville d'El-Meghaier pour effectuer plusieurs opérations chirurgicales et donner des cours au personnel médical sur place. 

Cette mission médicale, a annoncé hier le directeur chargé de la communication au secteur sanitaire de Constantine, M. Aziz Kaabouche, rentre dans le cadre du jumelage entre les secteurs sanitaires de Constantine, Biskra et El-Oued. 

L'équipe de médecins et chirurgiens constantinois, a ajouté ce responsable que nous avons contacté hier, effectuent des opérations chirurgicales le matin et réunissent dans l'après-midi leurs collègues d'El-Meghaier pour leur dispenser des cours théoriques portant sur les nouvelles techniques de la chirurgie générale. Cours qui sont illustrés, au moyen de la vidéo, par des cas pratiques réels et compliqués de personnes opérées et que les chirurgiens du CHU sont arrivés à résoudre. Ensuite, cette même équipe de Constantine va inviter les chirurgiens d'El-Meghaier et de Biskra au CHU de Constantine à une date qui sera indiquée ultérieurement afin de leur permettre de participer à des opérations chirurgicales portant sur des cas difficiles. 

Ce jumelage entre les structures sanitaires de Constantine et de cette région du sud dépourvue de spécialistes en médecine et en chirurgie, a été mis en place afin de permettre aux chirurgiens du Sud de ne plus faire de longs déplacements jusqu'à Constantine, grâce à la technique de la télémédecine qui leur offre la possibilité de faire des opérations chirurgicales en live avec leurs collègues de Constantine qui les assisteront, a indiqué en dernier lieu M. Kaabouche. 
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au sein des Laboratoires Microsystèmes et Instrumentation (LMI) et   Etudes des Matériaux d’Electronique pour Applications Médicales (LEMEAMed)

 

Présentation activités bio électroniques au LMI

 

 

Conférence des Recteurs et Présidents des Universités Africaines. 

Arusho, Tanzanie (1-4, Février 1999)

 

Revitaliser les universités en Afrique: stratégies pour le 21 ème siècle août 1999

 

Le professeur Jamal Mimouni du département de physique de l’université Frères Mentouri (Constantine1), diplômé de l’université de Pennsylvanie (Etats-Unis), nous livre ses appréciations concernant le constat établi par le Conseil national économique et social à l’égard de l’université algérienne.

Quel est votre commentaire concernant le classement de l’université de Constantine?

L’université de Constantine, un conglomérat de trois grandes universités, Constantine 1,2 et 3, chacune avec ses propres vocations et vu l’effectif considérable de son corps enseignant se devait d’émerger dans le classement national. De plus sociologiquement parlant, les enseignants chercheurs matures préfèrent rester dans les grands centres urbains et ne se rendent dans les petites établissements universitaires que si contraints pour des raisons familiales ou de logement, ou bien en fin de carrière pour bénéficier de la prime de zone et améliorer leur régime de retraite. C’est bien là d’ailleurs tout le drame des petites universités et centres universitaires. Donc en bref, rien de trop spécial sur ce classement, et le contraire aurait été étonnant.

Concernant la recherche scientifique, il est constaté que l’Algérie a un potentiel d’universitaires quatre fois supérieur à celui de la Tunisie, mais sa production scientifique est nettement inférieure, qu’il s’agisse de qualité ou de nombre. Quelles en sont les causes?

La recherche scientifique de qualité nécessite un environnement matériel et humain particulier. Si les conditions matérielles sont globalement satisfaisantes dans nos universités grâce à l’immense effort consenti par la direction de la recherche à travers les centaines de laboratoires bien financés et la valorisation de la fonction d’enseignant chercheur, le côté humain n’a pas suivi.

Je me bornerais ici à pointer du doigt sans autre forme de procès deux facteurs hélas trop souvent présents au niveau de l’Université Algérienne et antinomiques à tout effort véritable de recherche:

- Le manque de rigueur académique, qui va de pair avec une complaisance dans l’évaluation des projets et des chercheurs.
- L’absence de méritocratie, avec comme conséquence le nivellement par le bas, alors qu’il ne saurait y avoir de démocratie dans le monde de la recherche.

Le système LMD mis en place depuis plus de dix pour l’adéquation des formations aux besoins du marché de l’emploi a in fine aggravé le problème des diplômés chômeurs. Pourquoi?

L’introduction du LMD en Algérie fut une décision politique prise par la tutelle pour des raisons certes compréhensibles, notamment l’adéquation de la formation universitaire algérienne avec celle qui se mettait en place en Europe et de par le monde, mais appliquée de manière bureaucratique. Aussi le système LMD a-t-il déferlé sur l’université algérienne pour se substituer au système classique sans préparation adéquate et sans que les principaux acteurs ne soient véritablement impliqués. Sa mise en œuvre au fil des ans a confirmé que notre mal aimé système LMD n’avait ni tête pensante ni âme.

Ce n’était finalement qu’une opération bureaucratique d’adéquation au LMD européen mais dégradé en lui soutirant ce qui faisait la force de ce dernier. Ainsi pour ne citer que les principales tares, il n’y a pas de passerelles entre les formations, pas de valorisation du travail personnel et, d’un autre côté, l’inexistence du tutorat pour les moins préparés, et finalement très peu de stages de formation en entreprise qui ouvriraient les étudiants au monde du travail. C’est en dernière analyse une reproduction du système classique mais en plus court, organisé différemment et affublé d’un autre nom. Aussi ne faut-il pas s’étonner qu’il n’ait pas résolu le problème des diplômés chômeurs.

Le nombre de licences professionnelles est à peine de 5 % alors qu’il est de 75% en Tunisie et 70% au Maroc. Comment expliquer ce retard?

Ce chiffre de 5% est effarant, et le pire c’est que cela n’est pas la traduction d’un «retard» par rapport aux autres pays Maghrébins mais bien un manque de vision chronique de ce que devrait être un développement équilibré des ressources humaines qualifiées, d’ou une mauvaise politique de gestion de la formation et ses choix inadéquats. Privilégier l’académique aux dépens du professionnel, c’est privilégier le chômage au dépend de l’emploi et de la performance économique.

Certes, beaucoup de jeunes préfèrent encore retarder l’échéance de la fin des études — qui est le seul «métier» qu’ils connaissent — et ce surtout avec la féminisation de la population estudiantine, mais une politique résolue d’information ciblée voire d’orientation rigoureuse en adéquation avec le marché du travail pourrait alléger le problème.

Après tout, j’imagine que les jeunes aujourd’hui, si on leur présentait l’alternative entre un petit diplôme qui leur ouvre droit à un emploi stable et un beau diplôme où figure l’adjectif «académique» mais avec le chômage à la clé en main parce que la voie du doctorat s’avérant si sinueuse que seule une minorité y accède, sauraient faire un choix rationnel.

L’université doit revoir sa carte de formation pour répondre aux exigences de développement durable ? C’est à dire adaptée à l’environnement, l’économie numérique et la transition énergétique. Où en est l’université de Constantine?
C’est une question qu’il faut poser à ses responsables.

Naima Djekhar
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mardi, 08 novembre 2016 08:56

PROJET ERASMUS+ COFFEE

 

 (Co-construction d’une Offre de Formation à Finalité d’Employabilité Elevée)

 

Journées intermédiaires COFFEE

Les 08 et 09 novembre 2016

Université des frères MENTOURI Constantine 1

 

 
Dans le cadre du programme ERASMU+, L’Université Frères Mentouri Constantine (UFMC) abrite, les 1ère Journées Intermédiaires du Projet COFFEE (Co-construction d’une offre de formation à finalité d’employabilité élevée) et ce  les 08 & 09 Novembre 2016, Campus 500 places Pédagogique à partir de 8h.

Tous les partenaires COFFEE (Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, neuf (9) universités algériennes, sept (7) universités européennes, la chambre algérienne de commerce et d’industrie (CACI) et l’association pour le développement et la promotion de l’entreprise (ADPE), centre de compétence le FOREM-environnement) seront réunis à l’UFMC  pour dresser un bilan de mi-parcours du projet et d’élaborer le plan d’action 2017.

 Ces journées intermédiaires permettront aussi aux partenaires de partager leurs expériences et compétences ainsi que les résultats et les problèmes rencontrés pendant la première année du projet. Pour cela, un programme et des tables rondes sont prévus pour discuter  les points suivants :

 

1.    Retours d’expertises et choix des Licences professionnalisantes de la  première vague.

2.    Méthodologie de la seconde vague des Licences professionnalisantes

3.    Partage des expériences de dissémination, de partage de compétences, etc., entre les partenaires

 

  1. Etablissement du Plan d’action 2017 et répartition des rôles.

 

          Préparer les jeunes diplômés à l’emploi est une question qui est pris en charge  au niveau de l’université frères Mentouri-Constantine 1 par le biais de plusieurs dispositifs tels que : les stages en entreprise, les  entrepreneuriales, les  portes ouvertes sur le monde socio –économique, les ateliers et conférences, les  programmes d’emploi…).  Parmi,  ces  dispositifs de préparation des étudiants à l’insertion professionnelle, il y’a lieu de  signaler aussi,  l’importance de la maîtrise des langues et  sa relation   avec le monde du travail et de l’emploi.  

         La maîtrise des langues est devenue de nos jours un atout majeur pour la réussite professionnelle. Investir dans le développement de l’enseignement, l’apprentissage et la pratique des langues est considéré comme une  mission importante au niveau de l’université. Cette mission a pour objectif de former un citoyen communiquant qui peut s’adapter à n’importe quelle situation professionnelle.

Pour ces raisons, il faut reconnaître que la question des langues et l’emploi est devenue aussi une préoccupation qui est intégrée  dans la construction et la déclinaison des parcours de formation qu’ils soient académiques ou  appliqués, mais aussi par la mise en place de programme de formations  permettant l’apprentissage des langues et les outils de la communication, du travail, et des échanges internationaux.

Il est admis que  les exigences liées aux profils et aux postes de travail font que souvent la maîtrise des langues permet d’accéder à un univers, souvent considéré comme  hautement codifié et complexe.

En partant de cela, l’Université Frères Mentouri Constantine 1 se propose à partir de cette rentrée universitaire (2016/2017) d’ouvrir un espace dédié aux langues et l’emploi.

Celui-ci sera doté de missions avec des activités et des formations, il sera soutenu par des outils  d’observation sur  l’évolution de cette question et des besoins des secteurs socio-économiques.

 Dans ce cadre, l’université frères Mentouri- Constantine1  organise :

Ø  Des activités, pour pratiquer couramment et de façon permanente les langues.

Ø  Des formations destinées à l’amélioration du niveau d’acquisition et de performance dans les langues.

Ø  Des ateliers, pour exercer, expérimenter et travailler sur des cas de figures appropriés (rédaction, rapport, communication, discours…).

Ø  Des écoles de perfectionnement dans l’usage et la maitrise des langues.

Aussi, cet espace sera un lieu où se pratique la  prospection, l’évaluation, la réflexion, des enquêtes et de la recherche académique, définissant les meilleures approches pédagogiques et didactiques des langues appliquées.

       L’espace langues et emploi va sans doute mobiliser beaucoup de moyens, de compétences, de personnes, et ouvrira des perspectives nouvelles au profit de la relation université / entreprise, particulièrement au profit du développement de  la ressource humaine.

Les langues qui seront au menu de cette nouvelle dynamique sont :     l’arabe, le français, l’anglais, l’allemand, l’espagnol, l’italien, le turc, et le chinois.

 

 

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lundi, 07 novembre 2016 10:18

La création d’emplois en hausse de 14%

Le marché national de l’emploi a enregistré une croissance de 14% au 30 septembre 2016, comparativement à la même période de l’année 2015, à la faveur du lancement des projets dans différents secteurs d’activité, a annoncé, dimanche,  le directeur général de l’Agence nationale de l’emploi (ANEM), Mohamed Tahar Chaallal. Le secteur privé continue de dominer le marché du travail en Algérie avec 77% d’offres d’emploi, selon le même responsable qui s'exprimait sur les ondes de la radio nationale. Il a, à ce propos, précisé que "sur les 351.000 offres d’emploi, déposées au niveau de l’Anem, 77% proviennent du privé".S'agissant du placement dans le cadre du Dispositif d’aide à l’insertion professionnelle (DIAP), Mohamed Tahar Chaallal a souligné que le secteur économique absorbe la part du lion avec 93% des recrutements contre 7% dans la fonction publique avant de préciser que 79% des emplois sont créés par le secteur privé.A propos des demandes d’emploi déposées au niveau de l’ANEM, le DG de l'ANEM a révélé que jusqu'au 30 septembre 2016, ses services ont recensé quelque 919.000 demandeurs d’emplois, dont 818.000 sont des jeunes fraîchement arrivés sur le marché de l’emploi et 105.000 sont des travailleurs ayant perdus leurs emplois.A une question relative à la précarité et la pénibilité de l’emploi chez  le privé,   Chaâllal a qualifié ces affirmations d'allégations en soutenant que "dans le secteur économique le problème ne se pose pas" en affirmant que la plupart des travailleurs y finissent par avoir un poste permanent. Et ce contrairement à la fonction publique où les contrats sont souvent renouvelés à cause du manque de postes budgétaires". Dans le même sillage, le DG de l'ANEM a reconnu que sur les 100.000 offres déclinées, 65% sont exprimées par des jeunes qui refusent de travailler dans le secteur privé. Par ailleurs, Chaâllal a rappelé que les contrats (DIAP) seront systématiquement renouvelés avant d'assurer que l’Etat maintient toujours ses dispositifs d’aide à l’Emploi.Il a ainsi précisé que "le Projet de la Loi de Finances 2017 prévoit les crédits nécessaires au financement de ces dispositifs".

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par A. E. A.

  

Dans le cadre du programme européen « Erasmus », l'Université des Frères Mentouri de Constantine (UFMC), abritera les 08 et 09 novembre, les 1res journées intermédiaires du projet ‘CoFFEE' (construction d'une offre de formation à finalité d'employabilité élevée), dans l campus 500 places ‘Tedjini Haddam'. Selon un communiqué de presse de l'université en question, parvenu à notre rédaction, hier, les partenaires ‘COFEE' (ministère de l'Enseignement supérieur, plusieurs universités algériennes et européennes, ainsi que d'autres associations, centres et chambres de commerce), seront réunis à l'UFMC pour faire le bilan, à mi-chemin, du projet et d'élaborer un plan d'action pour 2017. 

Ces journées permettront aux partenaires de partager leurs expériences, compétences, résultats et problèmes rencontrés durant la 1re année du projet. En sus, est-il noté, dans le même document, un programme de tables rondes est prévu pour débattre de plusieurs points, dont les retours d'expertise et choix des licences professionnalisantes de la 1re vague, la méthodologie de la 2ème vague des mêmes licences, le partage des expériences et compétences et l'établissement du plan d'action 2017, avec répartition des rôles.
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lundi, 07 novembre 2016 09:02

LES RENDEZ-VOUS À VENIR DE CONSTANTINE

Consultez le programme  DE L'AUTOMNE 2016 DE L’INSTITUT FRANÇAIS CONSTANTINE

 

Institut Français de Constantine
LES RENDEZ-VOUS À VENIR DE CONSTANTINE
  > Accèder au site
Art de la scène lundi 07 novembre 2016
CONCERT : SPEED CARAVAN
" Avec Speed Caravan, Mehdi Haddab marie l'austérité berbère à la puissance du métal. " Telerama
Concert : SPEED CARAVAN
 
Conférence jeudi 10 novembre 2016
LES ALGÉRIENS, SI MÉCONNUS !
Désenchantés, les Algériens ? Le qualificatif revient souvent et résume assez bien un sentiment national fait de fierté, mais aussi de colère et de frustrations...
LES ALGÉRIENS, SI MÉCONNUS !
 
Institut Français de Constantine |   
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